Par notre chroniqueur judiciaire : Abdallah Lahfari
Un dangereux criminel dont le casier judiciaire est garni de condamnations pour divers délits où la violence revient le plus souvent, a été abattu Mardi 04 Juillet courant au quartier Kariat Oulad Moussa par deux éléments de la préfecture de police de Salé. Sous la menace de deux grands coutelas, ce sinistre énergumène s’attaquait aux passants en les dépouillant de leur bien sans aucune crainte.
Une scandaleuse et inadmissible situation qui a suscité l’intervention d’un inspecteur de police et d’un agent de paix qui se trouvaient dans les parages. Ils ont essayé dans un premier temps de le calmer en le priant de se débarrasser tout de suite de ses armes. Mais, rien à faire, toute discussion était inutile. Il s’agit d’une tête brûlée dans un état anormal qui ne voulait absolument rien entendre et qui n’avait peur de rien. Il décide alors de défier les deux policiers et de les affronter.
Par devoir professionnel, les policiers lancent un dernier avertissement avec des tirs de sommation en air afin d’attirer son attention qu’ils s’étaient sur le point de tirer en sa direction. Malheureusement, toutes les mesures de prévention ont échoué. Contraints de tirer une seconde fois, le malfaiteur a été touché et s’écroule par terre. Transporté d’extrême urgence à l’hôpital, le dangereux criminel a succombé à ses blessures et quittent le monde des vivants dès son arrivée aux urgences.
Ce n’est pas la première fois que des éléments de la police se font attaquer par des criminels sans scrupules. Dans la même semaine, d’autres policiers dans d’autres villes du Royaume, étaient contraints de faire usage de leurs armes de service notamment à Tèmara et Agadir où un individu sous un état de psychotropes, équipé d’armes blanches à vous provoquer la chair de poule, s’est attaqué à des policiers pendant leur intervention. Lui aussi a été abattu sur le champ.
En fait, dans le cadre de la lutte que mène la police nationale pour combattre la délinquance et la criminalité sous toutes ses forme et en même temps pour éviter aux policiers de faire usage de leurs armes de service, voici maintenant un an que la (DGSN) a équipé ses agents de Bolawrap, un dispositif capable d’immobiliser des individus dangereux sans occasionner de blessures.
Le Bolawrap se présente comme un lasso éjectable sous forme de télécommande pouvant propulser à une vitesse de 150 à 200 mètres par seconde une cordelette en kevlar ( matière utilisée pour gilets par balles) équipée de crochet en métal qui entrave les mouvements d’un individu le temps de lui faire passer les menottes. Au mois d’avril dernier, un inspecteur de la police judiciaire de Rabat, avait neutralisé un dangereux malfrat sans le moindre incident.
Le corps de la victime a été confié à la morgue pour une expertise médicale et en attendant le résultat de l’autopsie, une enquête a été ouverte par le parquet général pour mettre la lumière sur toute l’affaire.
Afin d’écarter tout soupçon de poursuite judiciaire et éviter toute mesure disciplinaire à l’encontre des deux policiers, la commission Nationale de la Conscience pour la défense des Droit de l’Homme, le Mouvement Fidélité au Trône pour la Défense des Droits de l’Homme et du Développement Durable et L’Organisation Nationale Sociale Libre accompagnés de plusieurs organes de presse, se sont présentés à la Direction Régionale de la Sûreté Nationale pour exprimer leur solidarité et manifester leur plein soutien audits policiers et à l’ensemble des hommes de l’autorité publique.
Une scandaleuse et inadmissible situation qui a suscité l’intervention d’un inspecteur de police et d’un agent de paix qui se trouvaient dans les parages. Ils ont essayé dans un premier temps de le calmer en le priant de se débarrasser tout de suite de ses armes. Mais, rien à faire, toute discussion était inutile. Il s’agit d’une tête brûlée dans un état anormal qui ne voulait absolument rien entendre et qui n’avait peur de rien. Il décide alors de défier les deux policiers et de les affronter.
Par devoir professionnel, les policiers lancent un dernier avertissement avec des tirs de sommation en air afin d’attirer son attention qu’ils s’étaient sur le point de tirer en sa direction. Malheureusement, toutes les mesures de prévention ont échoué. Contraints de tirer une seconde fois, le malfaiteur a été touché et s’écroule par terre. Transporté d’extrême urgence à l’hôpital, le dangereux criminel a succombé à ses blessures et quittent le monde des vivants dès son arrivée aux urgences.
Ce n’est pas la première fois que des éléments de la police se font attaquer par des criminels sans scrupules. Dans la même semaine, d’autres policiers dans d’autres villes du Royaume, étaient contraints de faire usage de leurs armes de service notamment à Tèmara et Agadir où un individu sous un état de psychotropes, équipé d’armes blanches à vous provoquer la chair de poule, s’est attaqué à des policiers pendant leur intervention. Lui aussi a été abattu sur le champ.
En fait, dans le cadre de la lutte que mène la police nationale pour combattre la délinquance et la criminalité sous toutes ses forme et en même temps pour éviter aux policiers de faire usage de leurs armes de service, voici maintenant un an que la (DGSN) a équipé ses agents de Bolawrap, un dispositif capable d’immobiliser des individus dangereux sans occasionner de blessures.
Le Bolawrap se présente comme un lasso éjectable sous forme de télécommande pouvant propulser à une vitesse de 150 à 200 mètres par seconde une cordelette en kevlar ( matière utilisée pour gilets par balles) équipée de crochet en métal qui entrave les mouvements d’un individu le temps de lui faire passer les menottes. Au mois d’avril dernier, un inspecteur de la police judiciaire de Rabat, avait neutralisé un dangereux malfrat sans le moindre incident.
Le corps de la victime a été confié à la morgue pour une expertise médicale et en attendant le résultat de l’autopsie, une enquête a été ouverte par le parquet général pour mettre la lumière sur toute l’affaire.
Afin d’écarter tout soupçon de poursuite judiciaire et éviter toute mesure disciplinaire à l’encontre des deux policiers, la commission Nationale de la Conscience pour la défense des Droit de l’Homme, le Mouvement Fidélité au Trône pour la Défense des Droits de l’Homme et du Développement Durable et L’Organisation Nationale Sociale Libre accompagnés de plusieurs organes de presse, se sont présentés à la Direction Régionale de la Sûreté Nationale pour exprimer leur solidarité et manifester leur plein soutien audits policiers et à l’ensemble des hommes de l’autorité publique.