Le communiqué de la Commission européenne souligne que l’UE assume publiquement «une politique migratoire légale tournée vers l’avenir” et qui entrera en vigueur très rapidement, d’ici cet été .
« La Commission européenne propose aujourd’hui une politique de migration légale ambitieuse et durable». Il est question de simplifier au maximum les démarches pour avoir un permis de travail et une résidence unique au sein de l’UE.
Les délais de traitement des dossiers seront également raccourcis. Par ailleurs le travailleur immigré ne sera plus à la merci de son premier employeur, il pourra le quitter et en trouver un autre dans les 27 pays de l’UE, indique la CE.
La Commission veut aussi mettre à la disposition des immigrés un statut de résident de longue durée et ce, dès qu’ils bouclent cinq ans de résidence légale dans un des pays de l’UE.
Ces années prennent en compte les courts séjours faits dans d’autres pays, le but de la manoeuvre est de lever tous les obstacles à la mobilité dans les 27 pays de l’UE.
Idem pour le temps passé dans les études dans l’un des pays de l’UE, il est également comptabilisé dans les 5 ans requis pour avoir droit à un statut de résident de longue durée.
C’est pareil pour la période d’accueil sous protection temporaire, d’une durée maximale de 3 ans, appliquée en ce moment aux réfugiés ukrainiens ; ce nouveau dispositif leur permettra d’avoir plus rapidement un statut de résident de longue durée, précise le communiqué de la CE
« La Commission européenne propose aujourd’hui une politique de migration légale ambitieuse et durable». Il est question de simplifier au maximum les démarches pour avoir un permis de travail et une résidence unique au sein de l’UE.
Les délais de traitement des dossiers seront également raccourcis. Par ailleurs le travailleur immigré ne sera plus à la merci de son premier employeur, il pourra le quitter et en trouver un autre dans les 27 pays de l’UE, indique la CE.
La Commission veut aussi mettre à la disposition des immigrés un statut de résident de longue durée et ce, dès qu’ils bouclent cinq ans de résidence légale dans un des pays de l’UE.
Ces années prennent en compte les courts séjours faits dans d’autres pays, le but de la manoeuvre est de lever tous les obstacles à la mobilité dans les 27 pays de l’UE.
Idem pour le temps passé dans les études dans l’un des pays de l’UE, il est également comptabilisé dans les 5 ans requis pour avoir droit à un statut de résident de longue durée.
C’est pareil pour la période d’accueil sous protection temporaire, d’une durée maximale de 3 ans, appliquée en ce moment aux réfugiés ukrainiens ; ce nouveau dispositif leur permettra d’avoir plus rapidement un statut de résident de longue durée, précise le communiqué de la CE
La fuite et le pillage légalisés des cerveaux s'organisent !
Maintenant , on est en droit de nous demander de manière légitime si cette nouvelle politique européenne en matière d'immigration ne va pas se traduire dans les faits par une fuite tous azimuts de nos cerveaux et un exode massif de nos meilleures profils formés au pays aussi .
Une fuite et un exode qui vont s'organiser de manière tout à fait légale .
Une fuite et un exode qui vont s'organiser de manière tout à fait légale .