Faisons un point d'histoire avant de buter sur ce bric-à-brac des "petits" temps que nous semons et traversons. Un modernisme, coupé du reste, auto-suffisant, imbu de confusions. "Malheur à moi, je suis nuance !" disait Nietzsche.
En remuant le philologue dans sa tombe, mettons de même les mots à leurs places. "Dictature des minorités" l'on a que cette "composition" à la bouche.
Avant d'embrayer sur l'essentiel de ce "travers", et en bons médecins de la connaissance, à la manière du moustachu, au scalpel ! ce mot " Dictature", soumettons-le à ce peu d'histoire qui trainaille dans notre besace de pédant improvisé.
Mettons un peu de "Rome" dans ce mot "Dictature" pour y voir tout ce qu'il y a d'hétéroclite. N'est-ce pas que le dictateur fut l'émanation du peuple ? élu, avalisé par lui, pour régler ses affaires un temps défini ?
Quel objet aurait cette transmutation linguistique, que vient supplanter celle des valeurs ? Oui, concédons au mauvais élève de Schopenhauer que le mot ne soit que l'ombre du sentiment, mais n'est-ce pas, ici, ce même sentiment que nous voulons modeler de par un mot...dictateur ?
Pour quelle visée ? Un ramollissement de structure sociétale ? Un révisionnisme historique mal avisé ? Ou plutôt un abêtissement qui fait fit des nuances, qui se vient superposer à toute pensée pour en chasser les subtilités.
Passez-moi ce préambule qui traine en "restitutions", alors que le sujet s'échauffe en coulisses. Droit au but ! plutôt que "Dictature des minorités", il sied, selon les longueurs précédentes, de dire " Tyrannie des minorités".
De quoi parlons-nous ? ou, pour les plus doctes, la fameuse phrase de Foch " De quoi s'agit-il ? ". Nous parlons d'un éveil un peu particulier, de la culture Woke, de la "Cancel Culture", en clair, de ces minorités appuyés, poussés dans le sens dogmatique, imposé à tous, au risque d'être ostracisé, damné ou presque, privé de gros contrats, rayé de la liste des partenaires...
Oui ça peut aller aussi loin qu'une...dictature. Bien que ce mot " Woke", clin d'oeil à mon préambule qui traine à propos, se soit écorné, égratigné...merci au "temps" de nous rire au nez et sa fourberie éternelle.
D'abord le mot "Woke" fut utilisé par Lincoln, à quel propos ? L'esclavage. En voilà chose qui se conçoit. mais dès lors, que l'on s'évertue à mettre de la "politique" celle d'avec un petit "p" ( Paix à l'âme de Chirac) dans des singularités sexuelles, in fine, instrumentalisé, pour que brille le cap diplomatique des "initiateurs"...
N'est-ce pas que la "diplomatie" s'adresse autant aux peuples, qu'à leurs chefs ? Le "tout" décuplé par les relais associatifs qui le portent au firmament.
Leur but ? Non pas de renforcer le vivre ensemble entre les différents appétits sexuels, preuve en est que ces pays initiateurs soient à l'abri d'une tension qui mériterait intervention...parle-t-on à tort de Lobbying ?
À juger de par ces déploiements grande pompe jusqu'aux offices des entreprises, avec tout le marchandage qui suit, certains ne manquent d'y voir un prosélytisme mal venu, une suprématie minoritaire qui fait son chemin, secondé de par sa seule inclination sexuelle.
Il n'est pas que les entreprises où l'on risque d'être "fiché", "jeté" si l'on renâcle à s'imbiber de "sociologies nouvelles". Ou fait-on appel au "professionnalisme" que quand ça arrange ?
De combien de collègues préfèrent se tenir au "nécessaire" plutôt que de pencher sur les "dessous" des leurs ? Et ceux-là, différents de nature, veulent-ils faire étalage de ce qu'ils sont "intimement " ? N'est-ce pas que derrière les minorités, se trouvent des ultra-minorités ?
Entreprises à part, face aux écoles où des parents gueulent à raison... leurs jeunes pousses envoyés pour instructions, confrontés à des tentatives de détournement d'identité sexuelle ? Théorie des genres et ce qui suit...
Quel trouble précoce que de signifier au petit germe enfantin " Ce n'est pas parce que tu es un mâle que tu es un garçon..." le fameux " On ne naît pas femme, on le devient" pris de travers.
Plus que cela, les pays initiateurs, Etats-Unis, Europe, ne peuvent, généreux qu'ils sont, s'empêcher d'apporter leur "lumière" aux pays abandonnés par la "grâce avancée".
Biden ne vient-il pas de nommer une envoyée spéciale pour défendre les droits LGBTQI+ de par le monde ? Ne nous leurrons pas, la diplomatie n'est pas cette main de velours, les sanctions s'y nichent confortablement.
N'est-ce pas façon nauséeuse, abusive que de voir fleurir les caprices impérialistes, qui mettent leur prosélytisme nouveau dans des contrats, des subventions, ou des appuis diplomatiques...
Ce marchandage des temps modernes. Puisque la vague, dans son sac et ressac, finit par arriver, déborder sur le "restant" du monde, nous serons curieux de voir comment seront ménagés ou pas nos pays musulmans.
En remuant le philologue dans sa tombe, mettons de même les mots à leurs places. "Dictature des minorités" l'on a que cette "composition" à la bouche.
Avant d'embrayer sur l'essentiel de ce "travers", et en bons médecins de la connaissance, à la manière du moustachu, au scalpel ! ce mot " Dictature", soumettons-le à ce peu d'histoire qui trainaille dans notre besace de pédant improvisé.
Mettons un peu de "Rome" dans ce mot "Dictature" pour y voir tout ce qu'il y a d'hétéroclite. N'est-ce pas que le dictateur fut l'émanation du peuple ? élu, avalisé par lui, pour régler ses affaires un temps défini ?
Quel objet aurait cette transmutation linguistique, que vient supplanter celle des valeurs ? Oui, concédons au mauvais élève de Schopenhauer que le mot ne soit que l'ombre du sentiment, mais n'est-ce pas, ici, ce même sentiment que nous voulons modeler de par un mot...dictateur ?
Pour quelle visée ? Un ramollissement de structure sociétale ? Un révisionnisme historique mal avisé ? Ou plutôt un abêtissement qui fait fit des nuances, qui se vient superposer à toute pensée pour en chasser les subtilités.
Passez-moi ce préambule qui traine en "restitutions", alors que le sujet s'échauffe en coulisses. Droit au but ! plutôt que "Dictature des minorités", il sied, selon les longueurs précédentes, de dire " Tyrannie des minorités".
De quoi parlons-nous ? ou, pour les plus doctes, la fameuse phrase de Foch " De quoi s'agit-il ? ". Nous parlons d'un éveil un peu particulier, de la culture Woke, de la "Cancel Culture", en clair, de ces minorités appuyés, poussés dans le sens dogmatique, imposé à tous, au risque d'être ostracisé, damné ou presque, privé de gros contrats, rayé de la liste des partenaires...
Oui ça peut aller aussi loin qu'une...dictature. Bien que ce mot " Woke", clin d'oeil à mon préambule qui traine à propos, se soit écorné, égratigné...merci au "temps" de nous rire au nez et sa fourberie éternelle.
D'abord le mot "Woke" fut utilisé par Lincoln, à quel propos ? L'esclavage. En voilà chose qui se conçoit. mais dès lors, que l'on s'évertue à mettre de la "politique" celle d'avec un petit "p" ( Paix à l'âme de Chirac) dans des singularités sexuelles, in fine, instrumentalisé, pour que brille le cap diplomatique des "initiateurs"...
N'est-ce pas que la "diplomatie" s'adresse autant aux peuples, qu'à leurs chefs ? Le "tout" décuplé par les relais associatifs qui le portent au firmament.
Leur but ? Non pas de renforcer le vivre ensemble entre les différents appétits sexuels, preuve en est que ces pays initiateurs soient à l'abri d'une tension qui mériterait intervention...parle-t-on à tort de Lobbying ?
À juger de par ces déploiements grande pompe jusqu'aux offices des entreprises, avec tout le marchandage qui suit, certains ne manquent d'y voir un prosélytisme mal venu, une suprématie minoritaire qui fait son chemin, secondé de par sa seule inclination sexuelle.
Il n'est pas que les entreprises où l'on risque d'être "fiché", "jeté" si l'on renâcle à s'imbiber de "sociologies nouvelles". Ou fait-on appel au "professionnalisme" que quand ça arrange ?
De combien de collègues préfèrent se tenir au "nécessaire" plutôt que de pencher sur les "dessous" des leurs ? Et ceux-là, différents de nature, veulent-ils faire étalage de ce qu'ils sont "intimement " ? N'est-ce pas que derrière les minorités, se trouvent des ultra-minorités ?
Entreprises à part, face aux écoles où des parents gueulent à raison... leurs jeunes pousses envoyés pour instructions, confrontés à des tentatives de détournement d'identité sexuelle ? Théorie des genres et ce qui suit...
Quel trouble précoce que de signifier au petit germe enfantin " Ce n'est pas parce que tu es un mâle que tu es un garçon..." le fameux " On ne naît pas femme, on le devient" pris de travers.
Plus que cela, les pays initiateurs, Etats-Unis, Europe, ne peuvent, généreux qu'ils sont, s'empêcher d'apporter leur "lumière" aux pays abandonnés par la "grâce avancée".
Biden ne vient-il pas de nommer une envoyée spéciale pour défendre les droits LGBTQI+ de par le monde ? Ne nous leurrons pas, la diplomatie n'est pas cette main de velours, les sanctions s'y nichent confortablement.
N'est-ce pas façon nauséeuse, abusive que de voir fleurir les caprices impérialistes, qui mettent leur prosélytisme nouveau dans des contrats, des subventions, ou des appuis diplomatiques...
Ce marchandage des temps modernes. Puisque la vague, dans son sac et ressac, finit par arriver, déborder sur le "restant" du monde, nous serons curieux de voir comment seront ménagés ou pas nos pays musulmans.