Les relations diplomatiques entre les États-Unis et l'Afrique du Sud ont connu une escalade de tensions avec la déclaration de l'ambassadeur sud-africain à Washington, Ebrahim Rasool, comme persona non grata. Cette décision, annoncée le 14 mars 2025 par le secrétaire d'État américain Marco Rubio, contraint le diplomate à quitter le territoire américain.
Marco Rubio a justifié cette mesure en accusant Ebrahim Rasool de « nourrir les tensions raciales, haïr les États-Unis et haïr le président » Donald Trump. Il a ajouté que le diplomate sud-africain n'était « plus le bienvenu » à Washington.
La présidence sud-africaine a réagi en qualifiant cette expulsion de « regrettable », tout en réaffirmant sa volonté de maintenir une relation « mutuellement bénéfique » avec les États-Unis.
Cette décision intervient dans un contexte de relations déjà tendues entre les deux nations. Depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier 2025, le président Donald Trump a critiqué Pretoria pour son traitement prétendument « injuste » des descendants de colons européens. Il a même mis en place une procédure d'asile aux États-Unis pour les « réfugiés afrikaners ».
Par ailleurs, Elon Musk, originaire d'Afrique du Sud et allié influent de Donald Trump, a accusé le gouvernement sud-africain de discrimination envers les populations blanches.
Un autre point de friction majeur est la plainte pour « génocide » déposée en 2023 par l'Afrique du Sud contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye. Cette action a été perçue négativement par Washington, renforçant les tensions diplomatiques.
En février, le président sud-africain Cyril Ramaphosa avait exprimé son souhait de se rendre aux États-Unis, reconnaissant que « tout a semblé dérailler » entre lui et Donald Trump depuis un premier appel entre les deux hommes, au moment du retour au pouvoir du président américain.
La déclaration de persona non grata à l'encontre d'Ebrahim Rasool marque une détérioration significative des relations diplomatiques entre les États-Unis et l'Afrique du Sud, laissant présager des défis accrus pour l'avenir des relations bilatérales.
Marco Rubio a justifié cette mesure en accusant Ebrahim Rasool de « nourrir les tensions raciales, haïr les États-Unis et haïr le président » Donald Trump. Il a ajouté que le diplomate sud-africain n'était « plus le bienvenu » à Washington.
La présidence sud-africaine a réagi en qualifiant cette expulsion de « regrettable », tout en réaffirmant sa volonté de maintenir une relation « mutuellement bénéfique » avec les États-Unis.
Cette décision intervient dans un contexte de relations déjà tendues entre les deux nations. Depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier 2025, le président Donald Trump a critiqué Pretoria pour son traitement prétendument « injuste » des descendants de colons européens. Il a même mis en place une procédure d'asile aux États-Unis pour les « réfugiés afrikaners ».
Par ailleurs, Elon Musk, originaire d'Afrique du Sud et allié influent de Donald Trump, a accusé le gouvernement sud-africain de discrimination envers les populations blanches.
Un autre point de friction majeur est la plainte pour « génocide » déposée en 2023 par l'Afrique du Sud contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye. Cette action a été perçue négativement par Washington, renforçant les tensions diplomatiques.
En février, le président sud-africain Cyril Ramaphosa avait exprimé son souhait de se rendre aux États-Unis, reconnaissant que « tout a semblé dérailler » entre lui et Donald Trump depuis un premier appel entre les deux hommes, au moment du retour au pouvoir du président américain.
La déclaration de persona non grata à l'encontre d'Ebrahim Rasool marque une détérioration significative des relations diplomatiques entre les États-Unis et l'Afrique du Sud, laissant présager des défis accrus pour l'avenir des relations bilatérales.