Ces attaques ont suscité des réactions contrastées parmi les républicains. Si certains, comme Lindsey Graham, appellent Trump à se recentrer sur les questions majeures, d’autres restent plus mesurés. Graham, tout en critiquant Harris pour son bilan à la frontière, a précisé qu'il ne la considère pas comme mentalement déficiente mais plutôt « excessivement libérale ». Il a encouragé Trump à se concentrer sur des sujets où il bénéficie d’une confiance large de l’électorat, comme l'économie et la sécurité des frontières.
Cette tactique de Trump est-elle un dérapage incontrôlé ou une stratégie électorale calculée ? Ses alliés républicains, bien que parfois en désaccord avec ses attaques personnelles, peinent à condamner publiquement ses propos. Kevin McCarthy continue de soutenir de Trump malgré des tensions passées, a ainsi refusé de dénoncer les insultes visant Harris, préférant réorienter la conversation sur les chiffres controversés de l’immigration.
Cette rhétorique, jugée divisante par certains républicains comme Larry Hogan, n’est pas nouvelle. Hogan, critique de longue date de Trump, a rappelé que ce type de discours ne fait qu'attiser les tensions politiques. Selon lui, les propos de Trump ne sont pas seulement insultants pour Harris, mais aussi pour les personnes réellement affectées par des troubles mentaux. Pourtant, Trump persiste, semblant compter sur ces provocations pour galvaniser une base électorale fidèle, tout en détournant l’attention des enjeux clés de sa campagne.
Sur la scène politique américaine, où chaque mot est minutieusement analysé, ces attaques contre Kamala Harris reflètent une polarisation croissante. Si certains républicains plaident pour un recentrage sur les questions concrètes, d’autres continuent d’adopter une ligne dure, espérant que les invectives de Trump trouveront un écho favorable auprès d’un électorat lassé des discours traditionnels.
La campagne présidentielle s’annonce donc aussi explosive que les précédentes, avec un Trump toujours aussi prompt à diviser les opinions et une opposition démocrate qui, malgré les attaques, reste concentrée sur l’impact concret de ses politiques.
"Et voici ce que je dirais au président Trump : lorsque les gens examinent la situation actuelle, ils vous font confiance sur l’économie, la frontière, l'inflation et la politique étrangère à des marges larges. Concentrez-vous là-dessus (...) Je ne dis pas qu'elle est folle. Je dis que votre parti, vos politiques sont complètement insensées" L. Graham
Cette tactique de Trump est-elle un dérapage incontrôlé ou une stratégie électorale calculée ? Ses alliés républicains, bien que parfois en désaccord avec ses attaques personnelles, peinent à condamner publiquement ses propos. Kevin McCarthy continue de soutenir de Trump malgré des tensions passées, a ainsi refusé de dénoncer les insultes visant Harris, préférant réorienter la conversation sur les chiffres controversés de l’immigration.
Cette rhétorique, jugée divisante par certains républicains comme Larry Hogan, n’est pas nouvelle. Hogan, critique de longue date de Trump, a rappelé que ce type de discours ne fait qu'attiser les tensions politiques. Selon lui, les propos de Trump ne sont pas seulement insultants pour Harris, mais aussi pour les personnes réellement affectées par des troubles mentaux. Pourtant, Trump persiste, semblant compter sur ces provocations pour galvaniser une base électorale fidèle, tout en détournant l’attention des enjeux clés de sa campagne.
" J'ai dit depuis des années que la rhétorique clivante de Trump est quelque chose dont nous pourrions nous passer" L. Hogan
Sur la scène politique américaine, où chaque mot est minutieusement analysé, ces attaques contre Kamala Harris reflètent une polarisation croissante. Si certains républicains plaident pour un recentrage sur les questions concrètes, d’autres continuent d’adopter une ligne dure, espérant que les invectives de Trump trouveront un écho favorable auprès d’un électorat lassé des discours traditionnels.
La campagne présidentielle s’annonce donc aussi explosive que les précédentes, avec un Trump toujours aussi prompt à diviser les opinions et une opposition démocrate qui, malgré les attaques, reste concentrée sur l’impact concret de ses politiques.