Selon le Bulletin mensuel de statistiques des finances publiques (BMSFP) publié par la Trésorerie Générale du Royaume (TGR), le déficit budgétaire du Maroc s'élève à 35,2 MMDH à la fin du mois de juillet 2024, par rapport au déficit de 27,7 MMDH enregistré au cours de la même période en 2023. Ce déficit inclut un solde positif de 16,3 MMDH provenant des comptes spéciaux du Trésor (CST) et des services de l’État gérés de manière autonome (SEGMA).
En ce qui concerne les recettes ordinaires brutes, celles-ci ont connu une augmentation de 11,4%, atteignant 202,3 MMDH. Cette croissance est attribuée à l'augmentation de plusieurs catégories d'impôts : les impôts directs ont progressé de 13,3%, les droits de douane de 10,8%, les impôts indirects de 12,4%, tandis que les droits d'enregistrement et de timbre ont enregistré une légère hausse de 1,5%. Les recettes non fiscales ont également augmenté de 7,8%.
Du côté des dépenses, celles émises au titre du Budget Général se sont élevées à 307,2 MMDH, en hausse de 4,5% par rapport à l'année précédente. Cette augmentation résulte principalement de la hausse de 6,5% des dépenses de fonctionnement et de 11,3% des dépenses d’investissement, tandis que les charges de la dette budgétisée ont diminué de 3,8%. Par ailleurs, les dépenses au titre de la compensation ont diminué de 42,5%, s’établissant à 8,1 MMDH à fin juillet 2024.
En ce qui concerne les recettes ordinaires brutes, celles-ci ont connu une augmentation de 11,4%, atteignant 202,3 MMDH. Cette croissance est attribuée à l'augmentation de plusieurs catégories d'impôts : les impôts directs ont progressé de 13,3%, les droits de douane de 10,8%, les impôts indirects de 12,4%, tandis que les droits d'enregistrement et de timbre ont enregistré une légère hausse de 1,5%. Les recettes non fiscales ont également augmenté de 7,8%.
Du côté des dépenses, celles émises au titre du Budget Général se sont élevées à 307,2 MMDH, en hausse de 4,5% par rapport à l'année précédente. Cette augmentation résulte principalement de la hausse de 6,5% des dépenses de fonctionnement et de 11,3% des dépenses d’investissement, tandis que les charges de la dette budgétisée ont diminué de 3,8%. Par ailleurs, les dépenses au titre de la compensation ont diminué de 42,5%, s’établissant à 8,1 MMDH à fin juillet 2024.