Dans un contexte où les défis climatiques deviennent de plus en plus pressants, le Maroc se tourne vers des réformes stratégiques pour assurer une économie plus résiliente et durable. Soutenu par la Banque africaine de développement, le PGRCC met en lumière la volonté de restructurer la gouvernance économique et sectorielle, avec un accent particulier sur les entreprises publiques.
L'objectif est clair : recentrer le secteur public sur ses fonctions essentielles tout en stimulant l'investissement privé et la compétitivité économique. Un défi de taille, mais essentiel pour maintenir la croissance économique du pays.
La première phase du programme se concentre sur la réduction de la volatilité macro-économique en réponse aux facteurs externes. En d'autres termes, il s'agit d'une stratégie pour stabiliser l'économie nationale face aux perturbations climatiques et autres chocs externes.
Dans ce cadre, le PGRCC soutient les efforts du gouvernement pour améliorer la gouvernance, optimiser les performances du secteur de l’eau et créer un environnement propice au développement des énergies renouvelables. Une approche globale qui pourrait bien devenir un modèle pour d'autres nations africaines.
Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité des réformes entreprises par le Royaume depuis 2010. En effet, le Maroc a massivement investi dans ses infrastructures, avec une enveloppe budgétaire d’investissement public ayant doublé entre 2011 et 2023, atteignant 335 milliards de dirhams.
Cette montée en puissance des investissements traduit une ambition nationale de se hisser au rang des économies les plus résilientes du continent, malgré les défis climatiques et économiques.
L'objectif est clair : recentrer le secteur public sur ses fonctions essentielles tout en stimulant l'investissement privé et la compétitivité économique. Un défi de taille, mais essentiel pour maintenir la croissance économique du pays.
La première phase du programme se concentre sur la réduction de la volatilité macro-économique en réponse aux facteurs externes. En d'autres termes, il s'agit d'une stratégie pour stabiliser l'économie nationale face aux perturbations climatiques et autres chocs externes.
Dans ce cadre, le PGRCC soutient les efforts du gouvernement pour améliorer la gouvernance, optimiser les performances du secteur de l’eau et créer un environnement propice au développement des énergies renouvelables. Une approche globale qui pourrait bien devenir un modèle pour d'autres nations africaines.
Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité des réformes entreprises par le Royaume depuis 2010. En effet, le Maroc a massivement investi dans ses infrastructures, avec une enveloppe budgétaire d’investissement public ayant doublé entre 2011 et 2023, atteignant 335 milliards de dirhams.
Cette montée en puissance des investissements traduit une ambition nationale de se hisser au rang des économies les plus résilientes du continent, malgré les défis climatiques et économiques.