Entre septembre 2023 et avril 2024, près de 244 495 doses ont été administrées, avec seulement 198 cas de pharmacovigilance signalés, dont 153 jugés graves. Cependant, l’ANSM souligne qu’aucun facteur de risque particulier n’a été identifié à ce stade.

Ce traitement, proposé aux parents de nouveau-nés, est un espoir dans la lutte contre cette maladie fréquente chez les nourrissons. Toutefois, les données à long terme restent encore à analyser pour s’assurer de l’innocuité du Beyfortus. D'autres traitements similaires à base d'anticorps ont montré par le passé des résultats positifs, mais des effets secondaires peuvent parfois émerger après plusieurs années d'utilisation.