Le 25 septembre, la chambre des crimes financiers de la Cour d’appel de Fès reprendra le procès d’un réseau impliqué dans une sordide affaire de trafic de nouveau-nés. 34 accusés, poursuivis par le procureur général du Roi, sont au centre de cette enquête qui a révélé de nombreuses violations graves, telles que la traite d’êtres humains, la falsification de documents médicaux et l’usurpation de fonctions. Le réseau a profité de complicités au sein des services de santé pour détourner des fonds publics et réaliser des avortements illégaux.
Ce scandale a mis en lumière des pratiques qui portent atteinte à la dignité humaine et posent des questions sur la corruption au sein des institutions médicales. La réouverture du dossier s'inscrit dans un contexte où le Maroc renforce ses dispositifs législatifs contre la traite d’êtres humains, un fléau mondial qui continue de toucher des vies innocentes. Le verdict attendu pourrait être un signal fort dans la lutte contre ces crimes au sein du royaume.
Ce scandale a mis en lumière des pratiques qui portent atteinte à la dignité humaine et posent des questions sur la corruption au sein des institutions médicales. La réouverture du dossier s'inscrit dans un contexte où le Maroc renforce ses dispositifs législatifs contre la traite d’êtres humains, un fléau mondial qui continue de toucher des vies innocentes. Le verdict attendu pourrait être un signal fort dans la lutte contre ces crimes au sein du royaume.