Lors de son intervention à l'ONU, le colonel Abdoulaye Maïga, porte-parole du gouvernement malien, a dénoncé avec force l’attitude de l’Algérie. Il a accusé Alger d'abriter des groupes terroristes et d'intervenir dans les affaires internes du Mali. Cette déclaration fait suite aux tensions croissantes après la fin de l’Accord d'Alger en janvier 2024, qui avait initialement pour but de pacifier le nord du Mali en proie aux conflits armés. Le ministre malien a réaffirmé que l'accord est désormais caduc et a critiqué les actions récentes des diplomates algériens.
Cette escalade verbale, marquée par des propos cinglants, pourrait nuire aux efforts de stabilisation de la région sahélienne, déjà déstabilisée par les violences persistantes. L’accusation malienne intervient dans un contexte où les relations entre les deux pays sont déjà fragilisées par des divergences sur la gestion des crises sahéliennes.
Cette escalade verbale, marquée par des propos cinglants, pourrait nuire aux efforts de stabilisation de la région sahélienne, déjà déstabilisée par les violences persistantes. L’accusation malienne intervient dans un contexte où les relations entre les deux pays sont déjà fragilisées par des divergences sur la gestion des crises sahéliennes.