La WTA, l’instance qui gère le circuit féminin de tennis, a fait part ce lundi 20 décembre, de son « inquiétude » au sujet du sort de Peng Shuai, au lendemain d’une interview de la joueuse chinoise qui s’exprimait pour la première fois sur des accusations de viol. Le 2 novembre, un long message publié sur le compte officiel Weibo de la joueuse (équivalent de Twitter en Chine) avait décrit une relation sentimentale sincère mais contrariée avec Zhang Gaoli, avant et après qu’il n’occupe de hautes fonctions au sommet du régime communiste.
Marié et de quarante ans son aîné, Zhang Gaoli a été de 2013 à 2018 l’un des sept hommes politiques les plus puissants de Chine.
Le message avait été promptement censuré et la joueuse de 35 ans avait disparu des écrans radar pendant trois semaines, suscitant l’inquiétude du monde du tennis. Pour sa première prise de parole publique sur cette affaire, Peng Shuai a réfuté toute agression sexuelle.
Le patron du tennis féminin « demeure profondément inquiet » pour la joueuse chinoise Peng Shuai
« D’abord, je veux insister sur un point très important : je n’ai jamais dit ni écrit que quiconque m’a agressée sexuellement », a déclaré Peng Shuai au journal singapourien « Lianhe Zaobao » en marge d’un événement sportif à Shanghai dimanche.
Il y a eu « beaucoup de malentendus » sur une affaire « d’ordre privé », a ajouté Peng Shuai, vêtue d’un t-shirt rouge et d’un blouson noir, dans une interview filmée au téléphone portable.
Une journaliste d’un média d’Etat chinois avait auparavant publié sur les réseaux sociaux une vidéo de la joueuse.
Qingqing Chen, journaliste au quotidien nationaliste Global Times, a tweeté dimanche une vidéo de sept secondes montrant l’ancienne N.1 mondiale du double en train de discuter avec l’ancien basketteur vedette Yao Ming.
Marié et de quarante ans son aîné, Zhang Gaoli a été de 2013 à 2018 l’un des sept hommes politiques les plus puissants de Chine.
Le message avait été promptement censuré et la joueuse de 35 ans avait disparu des écrans radar pendant trois semaines, suscitant l’inquiétude du monde du tennis. Pour sa première prise de parole publique sur cette affaire, Peng Shuai a réfuté toute agression sexuelle.
Le patron du tennis féminin « demeure profondément inquiet » pour la joueuse chinoise Peng Shuai
« D’abord, je veux insister sur un point très important : je n’ai jamais dit ni écrit que quiconque m’a agressée sexuellement », a déclaré Peng Shuai au journal singapourien « Lianhe Zaobao » en marge d’un événement sportif à Shanghai dimanche.
Il y a eu « beaucoup de malentendus » sur une affaire « d’ordre privé », a ajouté Peng Shuai, vêtue d’un t-shirt rouge et d’un blouson noir, dans une interview filmée au téléphone portable.
Une journaliste d’un média d’Etat chinois avait auparavant publié sur les réseaux sociaux une vidéo de la joueuse.
Qingqing Chen, journaliste au quotidien nationaliste Global Times, a tweeté dimanche une vidéo de sept secondes montrant l’ancienne N.1 mondiale du double en train de discuter avec l’ancien basketteur vedette Yao Ming.