Par Majd El Atouabi
Contrairement à la majorité des médias algériens, officieux et officiels, fourbis aux bassesses de la propagande et de l’impolitesse les plus abjectes, « L’Opinion », comme la plupart des médias marocains, s’est toujours fait un devoir de ne pas faillir à la bienséance et au respect de rigueur à l’égard des chefs d’Etats étrangers. Que ces Etats soient nos amis ou nos pires ennemis. Cette posture honorable a cependant ses limites que le comportement hostile et puérile du président algérien fantoche Abdelmajid Tebboune, nous oblige aujourd’hui à outrepasser.
Depuis son accession contestée, car usurpée, à la présidence de son pays au gré d’un coup de main militaire diligenté par son chaperon en képi, le non regretté général Gaïd Salah, et maquillé en un simulacre d’élections présidentielles boycottées par la grande majorité du peuple algérien, cet homme, foncièrement incompétent dont la carrière est une succession d’échecs et de limogeages sans ménagement, n’a eu de cesse d’ériger le Maroc en alibi principal de ses innombrables défaillances.
Après avoir récemment publié une étrange ordonnance où il désigne nommément le Royaume comme une entité hostile et demande de cesser toutes affaires avec les entreprises marocaines, le sieur Tebboune épanche aujourd’hui sa haine et sa jalousie maladives envers le Maroc et ses institutions au gré d’un entretien commandité auprès de l’hebdomadaire français «Le Point». Dans cette interview fleuve, bourrée de mensonges et d’imprécisions, que les journalistes algériens interviewers, pourtant pétris de talent, n’ont nullement pris la peine de contrer ou de relancer, ce président, sur la sellette au vu de son bilan catastrophique et de l’insistance du Hirak pour avoir sa tête, s’aventure dans une diatribe belliciste inédite dans les annales des relations historiquement tendues entre le Maroc et l’Algérie.
Il le fait certes pour plaire à ses commanditaires militaires qui le tiendraient en disgrâce depuis un certain temps, mais surtout pour masquer la faillite abyssale de son mandat à la tête d’un pays, pourtant immense et richement nanti par la nature, qui se retrouve sous sa présidence au bord du gouffre. Passons donc la teneur de ses propos mensongers concernant l’Algérie (voir notre article) et le Maroc qu’il désigne comme un pays agresseur avec lequel il refuse de rouvrir les frontières, et retenons surtout une seule phrase de sa réponse à la question finale de savoir s’il était possible de vivre heureux en Algérie ?
A cette question, Tebboune, qui sait pertinemment que ses concitoyens suffoquent sous les effets d’une crise structurelle et trouvent le plus grand mal à s’approvisionner en denrées aussi rudimentaires que le lait, l’huile, la semoule et dernièrement même en eau potable, répond sans ciller : «L’Algérie est un pays facile à vivre» ! Un mensonge grossier, parmi tant d’autres, qui en dit long sur ceux qui l’ont précédé, ainsi que sur ce personnage qui, à force de vouloir se targuer de ce fameux «Nif algérien» qu’il n’a jamais eu, se révèle aujourd’hui sous sa vraie face de «Pinocchio».
Rédigé par Majd EL ATOUABI sur https://lopinion.ma
Depuis son accession contestée, car usurpée, à la présidence de son pays au gré d’un coup de main militaire diligenté par son chaperon en képi, le non regretté général Gaïd Salah, et maquillé en un simulacre d’élections présidentielles boycottées par la grande majorité du peuple algérien, cet homme, foncièrement incompétent dont la carrière est une succession d’échecs et de limogeages sans ménagement, n’a eu de cesse d’ériger le Maroc en alibi principal de ses innombrables défaillances.
Après avoir récemment publié une étrange ordonnance où il désigne nommément le Royaume comme une entité hostile et demande de cesser toutes affaires avec les entreprises marocaines, le sieur Tebboune épanche aujourd’hui sa haine et sa jalousie maladives envers le Maroc et ses institutions au gré d’un entretien commandité auprès de l’hebdomadaire français «Le Point». Dans cette interview fleuve, bourrée de mensonges et d’imprécisions, que les journalistes algériens interviewers, pourtant pétris de talent, n’ont nullement pris la peine de contrer ou de relancer, ce président, sur la sellette au vu de son bilan catastrophique et de l’insistance du Hirak pour avoir sa tête, s’aventure dans une diatribe belliciste inédite dans les annales des relations historiquement tendues entre le Maroc et l’Algérie.
Il le fait certes pour plaire à ses commanditaires militaires qui le tiendraient en disgrâce depuis un certain temps, mais surtout pour masquer la faillite abyssale de son mandat à la tête d’un pays, pourtant immense et richement nanti par la nature, qui se retrouve sous sa présidence au bord du gouffre. Passons donc la teneur de ses propos mensongers concernant l’Algérie (voir notre article) et le Maroc qu’il désigne comme un pays agresseur avec lequel il refuse de rouvrir les frontières, et retenons surtout une seule phrase de sa réponse à la question finale de savoir s’il était possible de vivre heureux en Algérie ?
A cette question, Tebboune, qui sait pertinemment que ses concitoyens suffoquent sous les effets d’une crise structurelle et trouvent le plus grand mal à s’approvisionner en denrées aussi rudimentaires que le lait, l’huile, la semoule et dernièrement même en eau potable, répond sans ciller : «L’Algérie est un pays facile à vivre» ! Un mensonge grossier, parmi tant d’autres, qui en dit long sur ceux qui l’ont précédé, ainsi que sur ce personnage qui, à force de vouloir se targuer de ce fameux «Nif algérien» qu’il n’a jamais eu, se révèle aujourd’hui sous sa vraie face de «Pinocchio».
Rédigé par Majd EL ATOUABI sur https://lopinion.ma