Vers une coexistence harmonieuse ?
Lors d'une séance tenue devant la Chambre des conseillers le mardi 28 janvier dernier, Laftit a souligné l'importance de trouver un terrain d'entente entre les différents acteurs du secteur. « Il est impératif que toutes les parties prenantes s'assoient autour de la table pour discuter et aboutir à une solution équitable », a-t-il déclaré avec fermeté. Cette démarche vise à mettre fin à une situation où les applications de réservation opèrent dans une zone grise, sans véritable statut légal.
Le ministre a également reconnu que ces plateformes numériques sont incontournables dans le paysage moderne. « Nous ne pouvons pas les ignorer ni les intégrer pleinement tant qu'elles ne disposent pas d'un cadre juridique clair », a-t-il ajouté. Pour répondre à cette nécessité, son département travaille activement à l'élaboration de mesures concrètes qui permettront aux citoyens de choisir librement leur mode de transport sans compromettre la sécurité ou la réglementation.
Cette avancée intervient alors que les chauffeurs de taxi traditionnel se plaignent d'une concurrence jugée déloyale. Ils estiment que les VTC bénéficient d'avantages indus en raison de leur absence de régulation stricte. En revanche, les opérateurs de VTC réclament depuis longtemps un statut légal qui leur permettrait de travailler sans crainte de sanctions. L'adoption de nouvelles lois pourrait donc offrir une solution équilibrée, favorisant une concurrence saine tout en protégeant les intérêts des consommateurs.
Ce tournant pourrait marquer un moment crucial dans l'évolution du transport urbain au Maroc. En donnant aux citoyens plus de choix et en instaurant des règles claires, le gouvernement espère améliorer la qualité et l'efficacité du service public de transport. Une fois mise en œuvre, cette réforme pourrait inspirer d'autres pays confrontés aux mêmes défis.
Le ministre a également reconnu que ces plateformes numériques sont incontournables dans le paysage moderne. « Nous ne pouvons pas les ignorer ni les intégrer pleinement tant qu'elles ne disposent pas d'un cadre juridique clair », a-t-il ajouté. Pour répondre à cette nécessité, son département travaille activement à l'élaboration de mesures concrètes qui permettront aux citoyens de choisir librement leur mode de transport sans compromettre la sécurité ou la réglementation.
Cette avancée intervient alors que les chauffeurs de taxi traditionnel se plaignent d'une concurrence jugée déloyale. Ils estiment que les VTC bénéficient d'avantages indus en raison de leur absence de régulation stricte. En revanche, les opérateurs de VTC réclament depuis longtemps un statut légal qui leur permettrait de travailler sans crainte de sanctions. L'adoption de nouvelles lois pourrait donc offrir une solution équilibrée, favorisant une concurrence saine tout en protégeant les intérêts des consommateurs.
Ce tournant pourrait marquer un moment crucial dans l'évolution du transport urbain au Maroc. En donnant aux citoyens plus de choix et en instaurant des règles claires, le gouvernement espère améliorer la qualité et l'efficacité du service public de transport. Une fois mise en œuvre, cette réforme pourrait inspirer d'autres pays confrontés aux mêmes défis.