Le gouvernement français envisage d’introduire une nouvelle taxe sur les vols aériens, dans le cadre de sa politique environnementale visant à réduire l’empreinte carbone. Cette taxe pourrait toucher particulièrement les vols reliant la France au Maroc, très prisés par les touristes et les Marocains résidant à l’étranger.
Une telle mesure pourrait avoir des répercussions économiques notables sur les relations touristiques et commerciales entre les deux pays. En augmentant le coût des billets d’avion, le tourisme entre la France et le Maroc pourrait être freiné, ce qui impacterait directement l’industrie du tourisme marocain, déjà fragilisée par les crises précédentes. Sur le plan social, les Marocains résidant en France pourraient se retrouver limités dans leurs déplacements pour rendre visite à leur famille.
Cette situation n'est pas sans rappeler la hausse des prix des vols post-Covid, où une augmentation des taxes avait eu un effet similaire, freinant la reprise rapide du tourisme dans plusieurs pays.
Si cette taxe est mise en place, il faudra surveiller de près ses effets à court terme, notamment sur la fréquentation touristique et les budgets des familles marocaines. Une adaptation pourrait être nécessaire pour atténuer ces impacts, bien que des incertitudes planent encore sur la date et le montant de cette taxe.
Une telle mesure pourrait avoir des répercussions économiques notables sur les relations touristiques et commerciales entre les deux pays. En augmentant le coût des billets d’avion, le tourisme entre la France et le Maroc pourrait être freiné, ce qui impacterait directement l’industrie du tourisme marocain, déjà fragilisée par les crises précédentes. Sur le plan social, les Marocains résidant en France pourraient se retrouver limités dans leurs déplacements pour rendre visite à leur famille.
Cette situation n'est pas sans rappeler la hausse des prix des vols post-Covid, où une augmentation des taxes avait eu un effet similaire, freinant la reprise rapide du tourisme dans plusieurs pays.
Si cette taxe est mise en place, il faudra surveiller de près ses effets à court terme, notamment sur la fréquentation touristique et les budgets des familles marocaines. Une adaptation pourrait être nécessaire pour atténuer ces impacts, bien que des incertitudes planent encore sur la date et le montant de cette taxe.