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Cette fois-ci, ils ont franchi une nouvelle étape « révolutionnaire » en interdisant les voix et les visages des femmes dans l'espace public. Bien entendu, cette décision n'est qu'un énième exemple de leur volonté inébranlable de construire une société où l'égalité, l'éducation et la liberté sont reléguées au rang de concepts extraterrestres.
Désormais, entendre une femme parler en public est considéré comme une menace pour la sécurité nationale. Oui, vous avez bien lu! Le simple fait de prononcer des mots pourrait apparemment ébranler les fondements de ce régime ultra-conservateur. On se demande bien ce que les Talibans pensent des femmes qui chantent sous la douche – une subversion potentielle, peut-être?
Et n’oublions pas les visages féminins. Après tout, un visage de femme non voilé pourrait déclencher... quoi au juste? Une révolution esthétique? Peut-être que les Talibans craignent que la vue d’un sourire féminin puisse inspirer des pensées dangereusement progressistes chez les hommes. Ou pire, rappeler à certains que les femmes sont, en fait, des êtres humains avec des droits et des opinions. Mais ne nous inquiétons pas, les gardiens de la vertu sont là pour s'assurer que les femmes restent bien invisibles et inaudibles.
Le plus tragique dans cette situation est que ces décisions ne sont pas seulement ridicules, elles sont dévastatrices pour des millions de femmes qui voient chaque jour leurs espoirs et leurs droits piétinés. Les Talibans, dans leur infinie sagesse, ont pris sur eux de « protéger » la société en privant la moitié de la population de toute forme d'expression ou d'identité. Car après tout, pourquoi se soucier des droits des femmes quand on peut simplement les réduire au silence?
En fin de compte, cette nouvelle « avancée » des Talibans n'est qu'une étape supplémentaire dans leur mission de transformer l'Afghanistan en un musée vivant du patriarcat le plus archaïque. À quand la prochaine innovation? Peut-être l'interdiction du rire féminin? Ou des regards? Une chose est sûre : dans ce retour en arrière forcé, il ne reste plus qu’à espérer que les femmes afghanes trouveront un moyen de faire entendre leur voix, même dans le silence imposé.
Désormais, entendre une femme parler en public est considéré comme une menace pour la sécurité nationale. Oui, vous avez bien lu! Le simple fait de prononcer des mots pourrait apparemment ébranler les fondements de ce régime ultra-conservateur. On se demande bien ce que les Talibans pensent des femmes qui chantent sous la douche – une subversion potentielle, peut-être?
Et n’oublions pas les visages féminins. Après tout, un visage de femme non voilé pourrait déclencher... quoi au juste? Une révolution esthétique? Peut-être que les Talibans craignent que la vue d’un sourire féminin puisse inspirer des pensées dangereusement progressistes chez les hommes. Ou pire, rappeler à certains que les femmes sont, en fait, des êtres humains avec des droits et des opinions. Mais ne nous inquiétons pas, les gardiens de la vertu sont là pour s'assurer que les femmes restent bien invisibles et inaudibles.
Le plus tragique dans cette situation est que ces décisions ne sont pas seulement ridicules, elles sont dévastatrices pour des millions de femmes qui voient chaque jour leurs espoirs et leurs droits piétinés. Les Talibans, dans leur infinie sagesse, ont pris sur eux de « protéger » la société en privant la moitié de la population de toute forme d'expression ou d'identité. Car après tout, pourquoi se soucier des droits des femmes quand on peut simplement les réduire au silence?
En fin de compte, cette nouvelle « avancée » des Talibans n'est qu'une étape supplémentaire dans leur mission de transformer l'Afghanistan en un musée vivant du patriarcat le plus archaïque. À quand la prochaine innovation? Peut-être l'interdiction du rire féminin? Ou des regards? Une chose est sûre : dans ce retour en arrière forcé, il ne reste plus qu’à espérer que les femmes afghanes trouveront un moyen de faire entendre leur voix, même dans le silence imposé.