Les Jeux Olympiques débuteront dans  quelques jours à Paris  après leur rénovation par le français Pierre De Coubertin en  1893. Le Maroc y sera représenté par plusieurs disciplines, notamment le taekwondo  , l’un des sports qui a le plus progressé ces dix dernières années, avec des succès continentaux et internationaux comme c’était le cas en Argentine lors des jeux olympiques de la Jeunesse qui se sont déroulés à Buenos Aires en octobre 2018  et où Fatima Zahra Aboufiras  avait obtenu la médaille d’or alors que Safia Salah  a pris la médaille d’argent.
Ces résultats ont été réalisés  grâce à un travail méticuleux, rigoureux  et précis de l’ancien directeur technique national Philippe Bouedo, un technicien qui avait pour objectif de mettre le taekwondo marocain sur orbite  avec un plan d’action des plus ambitieux  au Royaume et à l’étranger car disposant d’un carnet d’adresses important et d’une crédibilité internationale reconnue., ce qui a abouti à la qualification de trois athlètes aux jeux olympiques de Tokyo  :Oumaima El Bouchti (- 49 kg) Laaraj Nada (-57 kg) et Mahboubi Achraf ( -80 kg) .
Avec ces résultats et le  projet élaboré par Mr. Bouedo  l’espoir d’une médaille aux jeux de Paris était de plus en plus grand. Mais en 2022 cet espoir allait s’affaiblir  avec le départ de Philippe Bouedo pour des raisons « coutumières »  à la gestion du sport national  et pour des considérations autres que sportives.
Mr. Driss El Hilali a beau insisté, le technicien français  était épuisé  par les différents courants ou plutôt contre –courants.
La direction technique fut confié à Mr Bahi qui quelques mois plus tard a jeté l’éponge  pour des raisons inconnues.
Apres ces défections le résultat ne s’est pas fait attendre, aux jeux de Paris il n’y’aura que Fatima Zahra Abou Firas(+ 67 kg)qui représentera le Maroc dans cette discipline qui promettait beaucoup mais qui termine un cycle en queue de poisson ;malheureusement.
M.K