01:23 🥊 Round #1 : Cherté de la vie / Qui est responsable ?
14:00 🥊 Round #2 : Emplois / Le PLF 2025 va t il réduire le taux de chômage ?
22:04 🥊 Round #3 : Remaniement politique ou Remaniement économique ?
L'émission #Surlering dans sa 3ème saison est un espace de débat sans concession et sans coup bas au profit de celles et ceux qui veulent en savoir plus sur l’actu...
Rendez-vous hebdomadaire incontournable, #Surlering / L'ODJ TV est un concept dynamique qui permettra à chacun(e) de se faire une idée précise sur les enjeux/ défis du Maroc.
Une fois par semaine, un décideur politique, économique,...enfilera les gants et montera sur le ring pour convaincre...
L'émission explore les enjeux économiques et politiques au Maroc, abordant l'inflation persistante des produits alimentaires, la montée du chômage et la nécessité d'une réforme économique.
Soufiane Chahid souligne l'importance d'un remaniement économique plutôt que politique pour stimuler l'investissement privé et créer des emplois. Le débat met en évidence les défis liés à l'attractivité économique du pays et à la mise en œuvre des politiques publiques.
Discussion sur la responsabilité de l'augmentation des prix des produits alimentaires et agricoles.- L'inflation est autour de 2% mais les citoyens se plaignent de la cherté de la vie.
- L'augmentation des prix est attribuée au stress hydrique et au déficit de pluie.
- Le secteur agricole a beaucoup souffert, entraînant des faillites et une hausse du chômage.
La nécessité de trouver un équilibre entre l'exportation agricole et la disponibilité des produits sur le marché local pour éviter des hausses de prix excessives.- Le Plan Maroc Vert encourage l'exportation agricole, mais pose la question de la disponibilité des produits localement.
- L'importance de résoudre les problèmes liés au modèle agricole et à l'approvisionnement des marchés pour éviter une inflation persistante.
- La décompensation du pétrole a un impact sur les prix en raison de l'augmentation des coûts de transport.
Les prix augmentent en raison de la décompensation des produits, affectant surtout la classe moyenne.- Les prix des hydrocarbures augmentent en raison de la décompensation, mais aucune solution n'est proposée pour la classe moyenne.
- La classe moyenne est la plus touchée par l'injustice économique, malgré les aides directes prévues pour les classes défavorisées.
- La décompensation prévue pour 2025 soulève des inquiétudes pour la classe moyenne en raison de l'absence de mesures spécifiques pour les aider.
Les économistes estiment que l'inflation agroalimentaire est là pour rester, ce qui pourrait entraîner des jours difficiles pour les citoyens marocains.- Les prix des bananes, de la viande rouge et de la viande blanche ont considérablement augmenté.
- Prévision d'un plan sur 5 à 10 ans pour lutter contre le chômage et créer des emplois.
- Le taux de chômage record de 13% est jugé catastrophique.
La nécessité d'une mobilisation du secteur privé pour créer des emplois et stimuler l'économie est soulignée.- Les économistes remettent en question l'efficacité des lois financières et des réformes du code du travail pour la création de richesse.
- Actuellement, 70% des investissements au Maroc proviennent du secteur public, soulignant le manque d'investissement du secteur privé.
- L'importance de l'investissement privé pour la création d'emplois est mise en avant comme solution principale pour lutter contre le chômage des jeunes.
Discussion sur la nécessité de revoir les politiques économiques plutôt que de simplement effectuer un remaniement politique.- La priorité est mise sur la relance économique par une refonte complète du modèle économique.
- Remise en question de la capacité de l'exécutif actuel à changer de cap économique.
- Appel à un changement de politique économique pour mobiliser le secteur privé vers des secteurs créateurs d'emplois.
- Remaniement politique pourrait être bénéfique s'il entraîne un changement dans la politique économique.
Le Maroc est classé 16e en Afrique en raison de l'insuffisance des investissements étrangers et des problèmes d'attractivité économique.- Le Maroc est positionné comme une destination pour les investissements directs étrangers.
- Le pays souffre d'une faible attractivité économique et de difficultés à attirer des investissements étrangers.
- Des problèmes d'investissement privé, d'efficacité des investissements publics et de cadre juridique entravent la croissance économique.
Discussion sur la responsabilité de l'augmentation des prix des produits alimentaires et agricoles.- L'inflation est autour de 2% mais les citoyens se plaignent de la cherté de la vie.
- L'augmentation des prix est attribuée au stress hydrique et au déficit de pluie.
- Le secteur agricole a beaucoup souffert, entraînant des faillites et une hausse du chômage.
La nécessité de trouver un équilibre entre l'exportation agricole et la disponibilité des produits sur le marché local pour éviter des hausses de prix excessives.- Le Plan Maroc Vert encourage l'exportation agricole, mais pose la question de la disponibilité des produits localement.
- L'importance de résoudre les problèmes liés au modèle agricole et à l'approvisionnement des marchés pour éviter une inflation persistante.
- La décompensation du pétrole a un impact sur les prix en raison de l'augmentation des coûts de transport.
Les prix augmentent en raison de la décompensation des produits, affectant surtout la classe moyenne.- Les prix des hydrocarbures augmentent en raison de la décompensation, mais aucune solution n'est proposée pour la classe moyenne.
- La classe moyenne est la plus touchée par l'injustice économique, malgré les aides directes prévues pour les classes défavorisées.
- La décompensation prévue pour 2025 soulève des inquiétudes pour la classe moyenne en raison de l'absence de mesures spécifiques pour les aider.
Les économistes estiment que l'inflation agroalimentaire est là pour rester, ce qui pourrait entraîner des jours difficiles pour les citoyens marocains.- Les prix des bananes, de la viande rouge et de la viande blanche ont considérablement augmenté.
- Prévision d'un plan sur 5 à 10 ans pour lutter contre le chômage et créer des emplois.
- Le taux de chômage record de 13% est jugé catastrophique.
La nécessité d'une mobilisation du secteur privé pour créer des emplois et stimuler l'économie est soulignée.- Les économistes remettent en question l'efficacité des lois financières et des réformes du code du travail pour la création de richesse.
- Actuellement, 70% des investissements au Maroc proviennent du secteur public, soulignant le manque d'investissement du secteur privé.
- L'importance de l'investissement privé pour la création d'emplois est mise en avant comme solution principale pour lutter contre le chômage des jeunes.
Discussion sur la nécessité de revoir les politiques économiques plutôt que de simplement effectuer un remaniement politique.- La priorité est mise sur la relance économique par une refonte complète du modèle économique.
- Remise en question de la capacité de l'exécutif actuel à changer de cap économique.
- Appel à un changement de politique économique pour mobiliser le secteur privé vers des secteurs créateurs d'emplois.
- Remaniement politique pourrait être bénéfique s'il entraîne un changement dans la politique économique.
Le Maroc est classé 16e en Afrique en raison de l'insuffisance des investissements étrangers et des problèmes d'attractivité économique.- Le Maroc est positionné comme une destination pour les investissements directs étrangers.
- Le pays souffre d'une faible attractivité économique et de difficultés à attirer des investissements étrangers.
- Des problèmes d'investissement privé, d'efficacité des investissements publics et de cadre juridique entravent la croissance économique.