Stop aux bombardements : non aux attaques contre les civils


Rédigé par le Jeudi 3 Octobre 2024

L’escalade de la violence entre Israël et la Palestine, à laquelle s'ajoutent des tensions régionales impliquant l’Iran, nous plonge dans une spirale de souffrances humaines insoutenables. Depuis le 7 octobre 2024, les affrontements ont pris une ampleur alarmante, faisant des milliers de victimes des deux côtés. Il est urgent de dénoncer les bombardements aveugles qui frappent des innocents, qu’ils soient Palestiniens ou Israéliens.



La population de Gaza, déjà sous blocus, est soumise à des frappes aériennes incessantes, détruisant maisons, écoles et hôpitaux. Plus de la moitié des habitations sont endommagées ou détruites, et les infrastructures médicales sont au bord de l’effondrement. En Israël, les roquettes de Hamas frappent également des civils, provoquant la mort et la peur au quotidien. Ces pertes humaines, dans chaque camp, sont inacceptables.

Il est primordial de rappeler que la guerre n’est jamais une solution. La légitime défense ne peut justifier l’indifférence envers les souffrances des populations civiles. Chaque bombe larguée, qu’elle soit israélienne ou palestinienne, détruit des vies, des familles, des espoirs.

Comment peut-on défendre la justice tout en réduisant en poussière les droits humains les plus fondamentaux ?

Nous ne devons pas nous laisser entraîner dans une vision simpliste et binaire de cette tragédie. Le combat contre l’oppression, contre l’injustice, ne doit jamais justifier la mort d’enfants, de femmes et d’hommes innocents. Refuser la violence, quelle que soit son origine, c’est porter un message universel de paix.

Il est essentiel de ne pas tomber dans une vision simpliste et binaire de cette tragédie. La lutte contre l’oppression et l’injustice ne peut en aucun cas justifier la mort d'enfants, de femmes et d'hommes innocents. Le rejet de la violence, quelle qu'en soit la provenance, constitue un message universel en faveur de la paix.

Actuellement, il faut s'opposer fermement à ces bombardements aveugles. Le sang versé ne mène ni à la paix ni à la justice. La priorité doit être accordée à la réconciliation, au dialogue et à la cessation des souffrances humaines. Chaque vie, qu'elle soit palestinienne ou israélienne, a la même valeur.

Il est important de faire entendre cette voix contre l'escalade de violence, afin de mettre un terme à ce cycle de destruction et d'ouvrir la voie vers une paix durable.


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Journaliste sportive et militante féministe, lauréate de l'ISIC En savoir plus sur cet auteur
Jeudi 3 Octobre 2024
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