Ce titre marque un retour aussi intense que sensible, révélant une introspection profonde et une esthétique sonore minutieusement travaillée. Snor, connu pour son style unique et sa capacité à mélanger des genres, continue de laisser une empreinte indélébile dans le paysage musical marocain.
Dès les premières notes, Snor plonge l'auditeur dans un univers de désespoir et de quête existentielle. Sa voix chuchotante murmure un désarroi palpable : « Tell me what you want from me, I’m tryin’a wake up/Men had Lhelma li khanqani ». Ces paroles traduisent une réalité troublée et un rêve étouffant, symboles d'une détresse universelle. Elles racontent l'histoire d'un homme en quête de sens, d'un artiste tourmenté par ses propres contradictions.
La chanson "Kelma" se distingue par un mélange habile de darija et d’anglais, où Snor délivre un texte chargé d'émotion brute. C'est une confession sans filtre sur le poids du passé, les douleurs silencieuses, et les sentiments qui perdurent malgré le temps. Les mots, parfois impossibles à prononcer, résonnent avec une sincérité désarmante : « Dazo yam w chhor w Awam maqdertch nssak. Kighaneich mchiti diti qalbi maak ».
Musicalement, Snor continue d'explorer de nouvelles directions artistiques. Il fusionne des sonorités urbaines, des textures électroniques, et des mélodies marocaines pour créer un paysage sonore unique. Ce mélange audacieux reflète sa capacité à repousser les limites de la musique contemporaine tout en restant fidèle à ses racines culturelles.
Pour la première fois, Snor a également pris en main la réalisation du clip de "Kelma", qu'il a conçu comme un voyage cinématographique à travers Casablanca. Ce clip, à la fois chaotique, onirique et romantique, met en scène les tourments d'une rupture amoureuse indélébile. En errant à travers des lieux emblématiques tels que le cinéma Rialto, le Don Quichotte, et l'Ancienne Médina, Snor traduit visuellement la violence d'une obsession amoureuse aussi belle que destructrice.
Avec "Kelma", Snor offre une création à la croisée du son et de l'image, une immersion dans ses profondeurs intimes. Il dévoile les nuances les plus enfouies de son imaginaire artistique, permettant au public de découvrir une nouvelle facette de son talent.
Dès les premières notes, Snor plonge l'auditeur dans un univers de désespoir et de quête existentielle. Sa voix chuchotante murmure un désarroi palpable : « Tell me what you want from me, I’m tryin’a wake up/Men had Lhelma li khanqani ». Ces paroles traduisent une réalité troublée et un rêve étouffant, symboles d'une détresse universelle. Elles racontent l'histoire d'un homme en quête de sens, d'un artiste tourmenté par ses propres contradictions.
La chanson "Kelma" se distingue par un mélange habile de darija et d’anglais, où Snor délivre un texte chargé d'émotion brute. C'est une confession sans filtre sur le poids du passé, les douleurs silencieuses, et les sentiments qui perdurent malgré le temps. Les mots, parfois impossibles à prononcer, résonnent avec une sincérité désarmante : « Dazo yam w chhor w Awam maqdertch nssak. Kighaneich mchiti diti qalbi maak ».
Musicalement, Snor continue d'explorer de nouvelles directions artistiques. Il fusionne des sonorités urbaines, des textures électroniques, et des mélodies marocaines pour créer un paysage sonore unique. Ce mélange audacieux reflète sa capacité à repousser les limites de la musique contemporaine tout en restant fidèle à ses racines culturelles.
Pour la première fois, Snor a également pris en main la réalisation du clip de "Kelma", qu'il a conçu comme un voyage cinématographique à travers Casablanca. Ce clip, à la fois chaotique, onirique et romantique, met en scène les tourments d'une rupture amoureuse indélébile. En errant à travers des lieux emblématiques tels que le cinéma Rialto, le Don Quichotte, et l'Ancienne Médina, Snor traduit visuellement la violence d'une obsession amoureuse aussi belle que destructrice.
Avec "Kelma", Snor offre une création à la croisée du son et de l'image, une immersion dans ses profondeurs intimes. Il dévoile les nuances les plus enfouies de son imaginaire artistique, permettant au public de découvrir une nouvelle facette de son talent.