Les conférences des entreprises tech américaines raffolent des «one more thing». Cette année, la surprise du chef chez le groupe Snap, éditeur du réseau social Snapchat, s'appelle Pixy. Il s'agit d'un mini-drone poids plume (100 grammes seulement), qui se glisse facilement dans un sac ou une poche, et à la prise en main intuitive.
Pixy permet de prendre des photos et des vidéos avec différents modes de prise de vue, puis de les transférer instantanément sur l'application mobile Snapchat.
De là, l'utilisateur peut, en quelques minutes à peine, appliquer des filtres, ajouter de la musique et des effets vidéos, puis partager le résultat sur n'importe quel réseau social.
De là, l'utilisateur peut, en quelques minutes à peine, appliquer des filtres, ajouter de la musique et des effets vidéos, puis partager le résultat sur n'importe quel réseau social.
Le Figaro a pu essayer en avant-première ce produit qui ne sera disponible qu'aux États-Unis et en France pour un tarif de 250 euros.
«Les quantités sont très limitées», prévient Evan Spiegel, patron de Snap. «Si la demande est là nous pourrons essayer d'en faire plus, mais nous sommes contraints par les pénuries de composants et les ralentissements des chaînes logistiques.»
Un design proche du jouet :
Pixy se démarque des autres drones du marché avec son plastique jaune vif, ses bruitages enfantins et son design qui fait penser à un jouet. «La citation du designer Charles Eames «les jouets sont les préludes aux idées sérieuses» nous a toujours inspiré chez Snap», poursuit Evan Spiegel.
La prise en main de Pixy est en effet d'une simplicité enfantine. La connexion entre le drone et l'application Snapchat se fait en quelques secondes. L'utilisateur doit ensuite tourner une molette sur Pixy pour choisir entre cinq modes de prise de vue :
Le drone revient ensuite se poser en douceur sur la main de l'utilisateur. Pixy ne vole ni très haut (5 mètres maximum) ni très loin (10 mètres), et il est impossible de l'utiliser pour espionner le jardin des voisins. Le bruit des hélices est de toute façon tout sauf discret !
L'odj avec presse-citron
«Les quantités sont très limitées», prévient Evan Spiegel, patron de Snap. «Si la demande est là nous pourrons essayer d'en faire plus, mais nous sommes contraints par les pénuries de composants et les ralentissements des chaînes logistiques.»
Un design proche du jouet :
Pixy se démarque des autres drones du marché avec son plastique jaune vif, ses bruitages enfantins et son design qui fait penser à un jouet. «La citation du designer Charles Eames «les jouets sont les préludes aux idées sérieuses» nous a toujours inspiré chez Snap», poursuit Evan Spiegel.
«Les drones peuvent faire peur, surtout les gros avec leurs grandes hélices et leur configuration complexe. Nous avons voulu au contraire créer un produit amusant et facile d'accès afin que les gens se sentent à l'aise avec. Cela nous a pris pas mal d'années de recherche.»
La prise en main de Pixy est en effet d'une simplicité enfantine. La connexion entre le drone et l'application Snapchat se fait en quelques secondes. L'utilisateur doit ensuite tourner une molette sur Pixy pour choisir entre cinq modes de prise de vue :
- un mode stationnaire
- un mode orbite, où Pixy tourne à 360° autour de vous
- un mode suivi, où Pixy se place derrière vous et avance en vous suivant
- un mode «révélation», où Pixy s'éloigne en prenant de la hauteur puis revient dans votre main
- un mode personnalisé
Le drone revient ensuite se poser en douceur sur la main de l'utilisateur. Pixy ne vole ni très haut (5 mètres maximum) ni très loin (10 mètres), et il est impossible de l'utiliser pour espionner le jardin des voisins. Le bruit des hélices est de toute façon tout sauf discret !
L'odj avec presse-citron