Après le choc, l’action :
Les défis logistiques rencontrés dans cette région montagneuse ont été nombreux. L’accès difficile aux zones sinistrées a retardé l’arrivée des secours, soulignant l’importance de renforcer les infrastructures dans les régions isolées. De plus, bien que des fonds importants – 190 millions de dirhams – aient été alloués à la reconstruction, la population locale s’interroge sur la transparence et l’efficacité de leur utilisation. Ces préoccupations rappellent que la communication et la coordination sont des piliers essentiels dans la gestion de crise.
Un autre point crucial est la formation en premiers secours. Dans une région exposée aux risques sismiques, la sensibilisation des habitants et la formation de volontaires peuvent sauver des vies. La société civile joue ici un rôle clé, tout comme les institutions éducatives qui devraient intégrer ces compétences dans leurs programmes.
Enfin, le séisme d’Al Haouz nous rappelle que la recherche scientifique et l’innovation doivent être au cœur des politiques publiques. Les efforts des chercheurs marocains pour comprendre et atténuer les risques sismiques méritent d’être soutenus et amplifiés. En parallèle, la mise en place d’une stratégie nationale de gestion des catastrophes, inspirée des expériences passées, est indispensable pour renforcer la résilience du pays.
Ce drame est une tragédie, mais il peut devenir une leçon. Le Maroc a l’opportunité de transformer cette épreuve en un tournant décisif vers une meilleure préparation et une gestion exemplaire des crises futures.
Un autre point crucial est la formation en premiers secours. Dans une région exposée aux risques sismiques, la sensibilisation des habitants et la formation de volontaires peuvent sauver des vies. La société civile joue ici un rôle clé, tout comme les institutions éducatives qui devraient intégrer ces compétences dans leurs programmes.
Enfin, le séisme d’Al Haouz nous rappelle que la recherche scientifique et l’innovation doivent être au cœur des politiques publiques. Les efforts des chercheurs marocains pour comprendre et atténuer les risques sismiques méritent d’être soutenus et amplifiés. En parallèle, la mise en place d’une stratégie nationale de gestion des catastrophes, inspirée des expériences passées, est indispensable pour renforcer la résilience du pays.
Ce drame est une tragédie, mais il peut devenir une leçon. Le Maroc a l’opportunité de transformer cette épreuve en un tournant décisif vers une meilleure préparation et une gestion exemplaire des crises futures.