La crise de la sécheresse frappe le Maroc de plein fouet, et les conséquences se font sentir jusque dans les assiettes. Les dernières données de la Fédération Nationale des Commerçants et Producteurs de Céréales et Légumineuses (FNCL) montrent une augmentation spectaculaire des importations de céréales pour le troisième trimestre de 2024. Quand la pluie ne tombe pas, les importations montent en flèche, et le Maroc n’a d’autre choix que de se tourner vers les marchés internationaux pour combler le déficit de production.
Avec des conditions climatiques de plus en plus imprévisibles et une agriculture nationale mise à rude épreuve, les importateurs ont dû redoubler d’efforts pour sécuriser l'approvisionnement en céréales essentielles comme le blé, l’orge et le maïs. Ces importations, bien qu'inévitables, pèsent lourdement sur la balance commerciale du pays et soulignent la vulnérabilité du secteur agricole marocain face aux aléas climatiques.
Les défis sont de taille pour un Royaume qui aspire à l’autosuffisance alimentaire, mais les solutions passent par une modernisation de l'agriculture et une gestion plus efficace des ressources en eau.
Avec des conditions climatiques de plus en plus imprévisibles et une agriculture nationale mise à rude épreuve, les importateurs ont dû redoubler d’efforts pour sécuriser l'approvisionnement en céréales essentielles comme le blé, l’orge et le maïs. Ces importations, bien qu'inévitables, pèsent lourdement sur la balance commerciale du pays et soulignent la vulnérabilité du secteur agricole marocain face aux aléas climatiques.
Les défis sont de taille pour un Royaume qui aspire à l’autosuffisance alimentaire, mais les solutions passent par une modernisation de l'agriculture et une gestion plus efficace des ressources en eau.