Samedi, le président Florentino Pérez avait convoqué une réunion extraordinaire du comité directeur du club madrilène le lendemain. L'objectif était de réagir à l'inculpation vendredi par la justice espagnole du Barça et de plusieurs de ses anciens dirigeants pour "corruption", "abus de confiance" et "faux en écritures de commerce" dans l'affaire des versements d'argent suspects du club catalan à Jose Maria Enriquez Negreira, ex-haut responsable de l'arbitrage espagnol, également poursuivi.
Dimanche, le Real a manifesté dans un communiqué "sa profonde préoccupation concernant la gravité des faits", et a convenu que "pour défendre ses intérêts légitimes, il demandera à faire partie de la procédure d'investigation quand le juge l'ouvrira aux parties lésées", ce qui se rapproche de la constitution en partie civile dans le droit français.
Ces poursuites, décidées par le parquet de Barcelone, visent le Barça en tant que personne morale, ainsi que Josep Maria Bartomeu, à la tête du FC Barcelone entre 2014 à 2020, et Sandro Rosell, président du club catalan entre 2010 et 2014. Oscar Grau et Albert Soler, membres de l'ancienne équipe de M. Bartomeu, sont également poursuivis.
Saisi par le fisc sur de possibles irrégularités dans le paiement des impôts d'une entreprise appartenant à Enriquez Negreira, le parquet avait ouvert une enquête préliminaire au printemps 2022 afin de vérifier le motif et le cadre de ces versements d'argent.
D'après le parquet, le club catalan a versé au total plus de 7,3 millions d'euros à José Maria Enriquez Negreira, ancien arbitre et ex-vice-président du comité technique arbitral de la fédération espagnole de football entre 1994 et 2018. Le Barça et M. Negreira ont nié toutes irrégularités.
Dimanche, le Real a manifesté dans un communiqué "sa profonde préoccupation concernant la gravité des faits", et a convenu que "pour défendre ses intérêts légitimes, il demandera à faire partie de la procédure d'investigation quand le juge l'ouvrira aux parties lésées", ce qui se rapproche de la constitution en partie civile dans le droit français.
Ces poursuites, décidées par le parquet de Barcelone, visent le Barça en tant que personne morale, ainsi que Josep Maria Bartomeu, à la tête du FC Barcelone entre 2014 à 2020, et Sandro Rosell, président du club catalan entre 2010 et 2014. Oscar Grau et Albert Soler, membres de l'ancienne équipe de M. Bartomeu, sont également poursuivis.
"Le FC Barcelone a obtenu et maintenu un accord verbal strictement confidentiel avec José Maria Enriquez Negreira afin que, en sa qualité de vice-président du comité technique arbitral (CTA) et en échange d'argent, ce dernier mène des actions tendant à avantager le FC Barcelone dans la prise de décision des arbitres", a expliqué le parquet vendredi.
Saisi par le fisc sur de possibles irrégularités dans le paiement des impôts d'une entreprise appartenant à Enriquez Negreira, le parquet avait ouvert une enquête préliminaire au printemps 2022 afin de vérifier le motif et le cadre de ces versements d'argent.
D'après le parquet, le club catalan a versé au total plus de 7,3 millions d'euros à José Maria Enriquez Negreira, ancien arbitre et ex-vice-président du comité technique arbitral de la fédération espagnole de football entre 1994 et 2018. Le Barça et M. Negreira ont nié toutes irrégularités.