Sauver l'année scolaire au Maroc d'une année blanche dévastatrice ?


Rédigé par La Rédaction le Jeudi 4 Janvier 2024



Après des négociations entre le gouvernement et les syndicats qui ont conduit à un accord sur le nouveau Statut Unifié des enseignants, le ministre de l'Éducation nationale, Chakib Benmoussa, s'efforce de compenser plus de 50 jours de cours perdus.

Pour l'année scolaire 2023/2024, une initiative a été mise en place, prolongeant l'année scolaire et adaptant les programmes d'études. Des mesures de soutien pédagogique, notamment via la plateforme "TelmidTICE", sont prévues pour faciliter cette transition.

La réussite de cette initiative de ratrapage dépend fortement de l'engagement de la communauté éducative. Le calendrier des examens a également été modifié, avec un report d'une semaine des dates prévues. Cette mesure est essentielle pour éviter une année blanche et garantir l'équité des opportunités éducatives pour tous les élèves.

La question demeure ?

Pourrait-on envisager que ces efforts soient suffisants pour sauver l'année scolaire au Maroc d'une année blanche dévastatrice ?

Les mesures prises, bien que prometteuses, pourraient-elles garantir la récupération efficace du temps d'enseignement perdu et assurer une éducation équitable pour tous les élèves dans ce contexte de crise prolongée ?




Jeudi 4 Janvier 2024
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