20 ans de diplomatie marocaine en Afrique, un ouvrage de référence sur vingt ans de politique marocaine en Afrique sous tous ses aspects, sous la houlette de SM le Roi Mohamed VI, qui a fait du continent une priorité nationale, régionale et géostratégique.
Au cours du dialogue, le président fondateur du Centre Omega pour la recherche économique et géopolitique a évoqué l’avancement des partenariats conclus par le Maroc avec de nombreux pays africains.
Au cours des vingt années qui se sont écoulées depuis que SM le Roi Mohamed VI a accédé au trône de ses prédécesseurs, le monarque marocain a pu jeter des bases diplomatiques orientées principalement vers l’Afrique.
Tandis que SM le Roi Mohamed VI a effectué une cinquantaine de visites dans de nombreux pays du continent, de diverses natures (visite d’État, visite de travail, visite d’amitié, visite spéciale) dans une trentaine de pays, ce qui a ouvert la voie à un retour triomphal à l’Union africaine après plus de trois décennies d’absence et la politique de la chaise vide, retrouvant ainsi sa position de leader sur le continent.
La politique royale en la matière était si habile et pragmatique qu’elle évoquait les intérêts économiques des États et des peuples, une priorité sur un continent de 1,2 milliard d’Africains confronté à d’innombrables défis.
Ainsi, le Maroc dans de nombreux pays a lancé des projets structurés auxquels le secteur privé marocain a contribué de manière significative à travers les soi-disant « héros nationaux » dans les domaines de la banque, de l’assurance, des télécommunications, de l’agriculture, des engrais, de l’immobilier, de l’aviation et du conseil.
Dans le domaine économique et financier, il faut rappeler que l’une des premières initiatives de SM le Roi Mohamed VI après son arrivée au pouvoir est l’annulation des dettes de plusieurs pays pauvres qui ne sont pas en mesure de payer. Le Maroc est également considéré comme le premier investisseur africain en Afrique de l’Ouest et le deuxième investisseur africain sur le continent après l’Afrique du Sud, puisque ses investissements annuels sont passés de 907 millions de dirhams en 2007 à 5,4 milliards de dirhams en 2019, et ce chiffre était susceptible d’augmenter sans la pandémie de Corona.
Dans le cadre de la politique win-win adoptée par le Maroc, ce dernier a adopté l’approche de partenariat Sud-Sud et a lancé des partenariats structurés dans de multiples secteurs tels que l’énergie et l’immobilier, notamment pour valoriser l’agriculture à travers la mise en place d’unités de fabrication d’engrais dans plusieurs pays pour contribuer à la sécurité alimentaire sur le continent.
Au cours du dialogue, le président fondateur du Centre Omega pour la recherche économique et géopolitique a évoqué l’avancement des partenariats conclus par le Maroc avec de nombreux pays africains.
Au cours des vingt années qui se sont écoulées depuis que SM le Roi Mohamed VI a accédé au trône de ses prédécesseurs, le monarque marocain a pu jeter des bases diplomatiques orientées principalement vers l’Afrique.
Tandis que SM le Roi Mohamed VI a effectué une cinquantaine de visites dans de nombreux pays du continent, de diverses natures (visite d’État, visite de travail, visite d’amitié, visite spéciale) dans une trentaine de pays, ce qui a ouvert la voie à un retour triomphal à l’Union africaine après plus de trois décennies d’absence et la politique de la chaise vide, retrouvant ainsi sa position de leader sur le continent.
La politique royale en la matière était si habile et pragmatique qu’elle évoquait les intérêts économiques des États et des peuples, une priorité sur un continent de 1,2 milliard d’Africains confronté à d’innombrables défis.
Ainsi, le Maroc dans de nombreux pays a lancé des projets structurés auxquels le secteur privé marocain a contribué de manière significative à travers les soi-disant « héros nationaux » dans les domaines de la banque, de l’assurance, des télécommunications, de l’agriculture, des engrais, de l’immobilier, de l’aviation et du conseil.
Dans le domaine économique et financier, il faut rappeler que l’une des premières initiatives de SM le Roi Mohamed VI après son arrivée au pouvoir est l’annulation des dettes de plusieurs pays pauvres qui ne sont pas en mesure de payer. Le Maroc est également considéré comme le premier investisseur africain en Afrique de l’Ouest et le deuxième investisseur africain sur le continent après l’Afrique du Sud, puisque ses investissements annuels sont passés de 907 millions de dirhams en 2007 à 5,4 milliards de dirhams en 2019, et ce chiffre était susceptible d’augmenter sans la pandémie de Corona.
Dans le cadre de la politique win-win adoptée par le Maroc, ce dernier a adopté l’approche de partenariat Sud-Sud et a lancé des partenariats structurés dans de multiples secteurs tels que l’énergie et l’immobilier, notamment pour valoriser l’agriculture à travers la mise en place d’unités de fabrication d’engrais dans plusieurs pays pour contribuer à la sécurité alimentaire sur le continent.
Publication: SM le Roi Mohammed VI et la transformation du Maroc : Un regard sur 25 ans
OMEGA Center for Economy & Geopolitics Researchs vient de publier un livre académique sur le 25ème anniversaire de l’intronisation du Roi Mohammed VI, intitulé :
«Mohammed VI, un quart de siècle de développement»
À cette occasion, nous avons le plaisir de vous transmettre la version électronique du livre, en attendant de vous faire parvenir la version papier à partir du 15 juillet 2024.
Cet ouvrage est le fruit d’un effort collégial de certains membre de OMEGA Center for Economy & Geopolitics Researchs :
Partie I : État social, une révolution
A – Code de la famille (réalisations et défis)
B – Prévoyance sociale (du RAMED à l’AMO)
C – L’initiative nationale de développement humain (Un modèle social au sud du globe)
D – Instance de l’Équité et de la Réconciliation (Une histoire marocaine)
Partie II : Économie, une diversification exemplaire
A – Infrastructures (Analyse de l’impact des investissements en infrastructure)
B – Accords de libre échange (Impact des relations économiques sur la croissance)
C – Industrie (Plan d’accélération industrielle et nouveaux métiers mondiaux)
D – Agriculture (Du Plan Maroc vert à Génération Green)
E – Marchés des capitauX (Bourse, Casa Finance City…)
Partie III : Développement durable, la démarche royale
A – La triple bottom line du développement durable (Exigence de durabilité et dimension sociale)
B – Les objectifs du développement durable pour transformer notre monde (Réponses à la pauvreté, aux inégalités et au changement climatique)
C – Accélérer les transitions positives et durables (Un projet royal de transformation)
D – L’innovation sociale et la transformation d’OCP (Le rayonnement du royaume à travers une entreprise)
PARTIE IV : Géopolitique, un pragmatisme royal
A – Maghreb : Un tournant dans l’affaire du Sahara
B – Afrique : Un retour intelligent et efficace
C – Monde arabe et Moyen-Orient : Une normalisation sans chèque à blanc
D – Occident : Des alliances et des divergences
E – Sud global : Les intérêts économiques d’abord
L’intronisation du Roi Mohammed VI en 1999 a marqué une rupture dans le style de gestion par une élaboration du concept de l’État social, une nouvelle approche géopolitique et une économie inclusive. Des chantiers qui ont été déployés tout au long de ces dernières vingt-cinq années, dont certains ont abouti et d’autres en cours de réalisation comme le méga projet de transition énergétique qui mettra le royaume sur les rails d’une autre dimension.
OMEGA Center for Economy & Geopolitics Researchs revient dans cet ouvrage sur les différentes étapes d’un quart de siècle de règne du Roi Mohammed VI, sans prétendre l’exhaustivité, avec un focus sur des volets sociaux dont des sujets susceptibles comme le nouveau code de la famille et l’Instance de l’équité et de la réconciliation, considérés comme les dossiers phares du début de règne. Les volets de sécurité sociale et de prévoyance ne sont pas en reste, ils ont franchi plusieurs étapes montant crescendo pour atteindre une couverture médicale généralisée. Dans le même registre, l’Initiative nationale de développement humain, de par ses particularités, est aujourd’hui reconnue comme un modèle d’inclusion sociale dans la région. Comme. Sur le plan économique, le royaume a renforcé l’infrastructure de base comme étant la clef du succès de sa nouvelle approche reposant sur des stratégies sectoriels, sur les métiers mondiaux, et permettant la croissance de production pour être au diapason des différents accords de libre-échange.
Parallèlement au développement économique, le royaume a élaboré un plan de transition énergétique se fixant un objectif volontariste d’assurer 52% de ses besoins énergétiques, à horizon 2030, exclusivement en énergies renouvelables. Un chantier supervisé par le souverain en personne de par son importance et sa dimension aujourd’hui citée comme l’un des plus grands programmes de développement durable dans le monde.
S’agissant de la carte géopolitique et des relations internationales, le Maroc a réussi à imposer une empreinte diplomatique spécifique basées sur deux volets. Un, la diversification des partenaires permettant au royaume d’étendre ses relations économiques et commerciales de par le globe dépassant ainsi une dépendance à l’Europe héritée au lendemain de l’indépendance du pays. Deux, l’élaboration d’une proposition de solution politique au conflit du Sahara incarnée par le plan d’autonomie proposé dès 2007, largement suivi et adopté aujourd’hui par la majorité des pays y compris des puissances mondiales comme les États-Unis et la France.
Diplomatiquement, le Maroc est respecté de par sa stabilité et la continuité du système. Une monarchie ancrée dans l’histoire, pilotée par la même dynastie depuis quatre siècles ce qui lui requiert du respect et de la considération. Cette posture est renforcée depuis l’avènement du Roi Mohammed VI qui a résolument fait le choix de l’Afrique comme un prolongement du royaume, tout en s’ouvrant à l’Asie notamment ses têtes de pont comme la Chine, la Russie et l’Inde, et l’Amérique latine incarnée par son leader économique, le Brésil.
Globalement, le Maroc en un quart de siècle est passé au troisième royaume à l’aube du troisième millénaire avec une avancée indéniable sur tous les aspects. Son PIB est passé de 46,27 milliards de dollars en 1999 à plus 140 milliards de dollars en 2023 soit une progression globales de +200% sur la période précitée. Les perspectives se présentent sous de bonnes auspices à horizon 2035 grâce à la mise en œuvre du nouveau modèle de développement et de la co-organisation de la coupe du monde en 2030, en matière de la requalification du capital humain et de la valorisation des infrastructures logistiques, industrielles …etc.
«Mohammed VI, un quart de siècle de développement»
À cette occasion, nous avons le plaisir de vous transmettre la version électronique du livre, en attendant de vous faire parvenir la version papier à partir du 15 juillet 2024.
Cet ouvrage est le fruit d’un effort collégial de certains membre de OMEGA Center for Economy & Geopolitics Researchs :
- Samir Chaouki, président fondateur du Centre
- Zouhair Lakhyar, senior researcher, docteur en économie et professeur universitaire
- Ahmed Hafnaoui, senior researcher, docteur en économie et professeur universitaire
- Yassine Hasnaoui, secrétaire général du Centre, doctorant
- Abdelmounim Amachraa, senior researcher, expert international en développement durable, doctorant
- Doha Amine, researcher, doctorante
Partie I : État social, une révolution
A – Code de la famille (réalisations et défis)
B – Prévoyance sociale (du RAMED à l’AMO)
C – L’initiative nationale de développement humain (Un modèle social au sud du globe)
D – Instance de l’Équité et de la Réconciliation (Une histoire marocaine)
Partie II : Économie, une diversification exemplaire
A – Infrastructures (Analyse de l’impact des investissements en infrastructure)
B – Accords de libre échange (Impact des relations économiques sur la croissance)
C – Industrie (Plan d’accélération industrielle et nouveaux métiers mondiaux)
D – Agriculture (Du Plan Maroc vert à Génération Green)
E – Marchés des capitauX (Bourse, Casa Finance City…)
Partie III : Développement durable, la démarche royale
A – La triple bottom line du développement durable (Exigence de durabilité et dimension sociale)
B – Les objectifs du développement durable pour transformer notre monde (Réponses à la pauvreté, aux inégalités et au changement climatique)
C – Accélérer les transitions positives et durables (Un projet royal de transformation)
D – L’innovation sociale et la transformation d’OCP (Le rayonnement du royaume à travers une entreprise)
PARTIE IV : Géopolitique, un pragmatisme royal
A – Maghreb : Un tournant dans l’affaire du Sahara
B – Afrique : Un retour intelligent et efficace
C – Monde arabe et Moyen-Orient : Une normalisation sans chèque à blanc
D – Occident : Des alliances et des divergences
E – Sud global : Les intérêts économiques d’abord
L’intronisation du Roi Mohammed VI en 1999 a marqué une rupture dans le style de gestion par une élaboration du concept de l’État social, une nouvelle approche géopolitique et une économie inclusive. Des chantiers qui ont été déployés tout au long de ces dernières vingt-cinq années, dont certains ont abouti et d’autres en cours de réalisation comme le méga projet de transition énergétique qui mettra le royaume sur les rails d’une autre dimension.
OMEGA Center for Economy & Geopolitics Researchs revient dans cet ouvrage sur les différentes étapes d’un quart de siècle de règne du Roi Mohammed VI, sans prétendre l’exhaustivité, avec un focus sur des volets sociaux dont des sujets susceptibles comme le nouveau code de la famille et l’Instance de l’équité et de la réconciliation, considérés comme les dossiers phares du début de règne. Les volets de sécurité sociale et de prévoyance ne sont pas en reste, ils ont franchi plusieurs étapes montant crescendo pour atteindre une couverture médicale généralisée. Dans le même registre, l’Initiative nationale de développement humain, de par ses particularités, est aujourd’hui reconnue comme un modèle d’inclusion sociale dans la région. Comme. Sur le plan économique, le royaume a renforcé l’infrastructure de base comme étant la clef du succès de sa nouvelle approche reposant sur des stratégies sectoriels, sur les métiers mondiaux, et permettant la croissance de production pour être au diapason des différents accords de libre-échange.
Parallèlement au développement économique, le royaume a élaboré un plan de transition énergétique se fixant un objectif volontariste d’assurer 52% de ses besoins énergétiques, à horizon 2030, exclusivement en énergies renouvelables. Un chantier supervisé par le souverain en personne de par son importance et sa dimension aujourd’hui citée comme l’un des plus grands programmes de développement durable dans le monde.
S’agissant de la carte géopolitique et des relations internationales, le Maroc a réussi à imposer une empreinte diplomatique spécifique basées sur deux volets. Un, la diversification des partenaires permettant au royaume d’étendre ses relations économiques et commerciales de par le globe dépassant ainsi une dépendance à l’Europe héritée au lendemain de l’indépendance du pays. Deux, l’élaboration d’une proposition de solution politique au conflit du Sahara incarnée par le plan d’autonomie proposé dès 2007, largement suivi et adopté aujourd’hui par la majorité des pays y compris des puissances mondiales comme les États-Unis et la France.
Diplomatiquement, le Maroc est respecté de par sa stabilité et la continuité du système. Une monarchie ancrée dans l’histoire, pilotée par la même dynastie depuis quatre siècles ce qui lui requiert du respect et de la considération. Cette posture est renforcée depuis l’avènement du Roi Mohammed VI qui a résolument fait le choix de l’Afrique comme un prolongement du royaume, tout en s’ouvrant à l’Asie notamment ses têtes de pont comme la Chine, la Russie et l’Inde, et l’Amérique latine incarnée par son leader économique, le Brésil.
Globalement, le Maroc en un quart de siècle est passé au troisième royaume à l’aube du troisième millénaire avec une avancée indéniable sur tous les aspects. Son PIB est passé de 46,27 milliards de dollars en 1999 à plus 140 milliards de dollars en 2023 soit une progression globales de +200% sur la période précitée. Les perspectives se présentent sous de bonnes auspices à horizon 2035 grâce à la mise en œuvre du nouveau modèle de développement et de la co-organisation de la coupe du monde en 2030, en matière de la requalification du capital humain et de la valorisation des infrastructures logistiques, industrielles …etc.