Une cérémonie de transfert des installations s'est déroulée ce lundi en présence d'officiers des deux pays. "Ce retrait ne signifie pas la fin de la coopération militaire entre les deux pays", a déclaré le chef d’état-major de l’armée de terre, le colonel-major Mamane Sani Kiaou. La cérémonie s’est clôturée avec le décollage du dernier avion de l’armée américaine.
Récemment, 200 militaires se trouvaient encore sur ce site stratégique, d'où étaient effectués des vols de surveillance et de reconnaissance à travers le Sahel. En juillet, 800 soldats avaient déjà quitté la base de Niamey.
"Une vingtaine de personnes sont encore présentes au Niger", a précisé Sabrina Singh, la porte-parole adjointe du Pentagone, le 5 août. Le personnel restant se trouve à l'ambassade des États-Unis à Niamey pour "préparer la fin du retrait", a-t-elle ajouté. Les États-Unis s'étaient engagés à quitter le pays avant le 15 septembre.
Depuis le coup d’État qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum le 26 juillet 2023, le régime militaire nigérien s’est rapproché de ses voisins malien et burkinabè, avec qui il a formé la confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES). Il a également dénoncé l’accord militaire avec la France et les États-Unis, le qualifiant d'« illégal » et d'« injuste ».
Récemment, 200 militaires se trouvaient encore sur ce site stratégique, d'où étaient effectués des vols de surveillance et de reconnaissance à travers le Sahel. En juillet, 800 soldats avaient déjà quitté la base de Niamey.
"Une vingtaine de personnes sont encore présentes au Niger", a précisé Sabrina Singh, la porte-parole adjointe du Pentagone, le 5 août. Le personnel restant se trouve à l'ambassade des États-Unis à Niamey pour "préparer la fin du retrait", a-t-elle ajouté. Les États-Unis s'étaient engagés à quitter le pays avant le 15 septembre.
Depuis le coup d’État qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum le 26 juillet 2023, le régime militaire nigérien s’est rapproché de ses voisins malien et burkinabè, avec qui il a formé la confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES). Il a également dénoncé l’accord militaire avec la France et les États-Unis, le qualifiant d'« illégal » et d'« injuste ».