Par Souad Mekkaoui
M. Christopher Ross,
Il convient, avant toute chose, de rappeler que le théâtre des opérations diplomatiques n’est pas exempt de ses dramaturgies, où certains excellent dans l’art du déguisement idéologique, revêtant le masque de l’équité avec une virtuosité qui, loin de confiner au génie, frôle l’illusionnisme.
L’article de Hassan Alaoui, directeur de publication de MAROC DIPLOMATIQUE, loin de simplement vous avoir « sorti de votre retraite », a plutôt ravivé le souvenir d’un chapitre de votre carrière où vos démarches diplomatiques semblaient davantage servir les agendas de ceux qui contestent l’intégrité territoriale du Maroc, plutôt que la noble cause de la paix et de la justice. Votre tentative de polir votre image dans ce contexte s’apparente à une valse où chaque pas est mesuré pour esquiver les vérités dérangeantes.
Votre démarche, teintée d’une quête désespérée de réhabilitation est à peine voilée. Vous avez tenté, par cette manœuvre, de vous redessiner en parangon de neutralité et de justice, omettant sciemment que dans le jeu d’échecs géopolitique, les pièces ne sont pas toujours aussi blanches ou noires qu’elles voudraient paraître. Votre réponse, loin d’être la contre-attaque éclairante que certains auraient pu espérer, s’apparente davantage à une pirouette verbale destinée à esquiver les projecteurs braqués sur les zones d’ombre de votre parcours.
La mémoire collective marocaine, gardienne infaillible de son intégrité territoriale, n’a guère besoin de rappels pour se souvenir des tentatives de sape auxquelles elle a dû faire face, tentatives dans lesquelles votre rôle n’a pas toujours été celui de l’arbitre impartial que vous prétendez avoir été.
Rappelez-vous de votre réapparition sur la scène, à travers un message à la portée incendiaire diffusé sur Facebook en juillet 2022, et qui n’a fait que renforcer cette perception. Elle a rappelé à ceux qui auraient pu l’oublier que votre intérêt pour le dossier du Sahara était loin d’être éteint. Vous vous présentiez une fois de plus comme le protagoniste d’une pièce shakespearienne, où les intentions véritables se dissimulaient sous le voile de la bienveillance.
Rappelez-vous que malgré une série d’efforts qui se sont révélés infructueux pour légitimer et conférer de la crédibilité au mouvement séparatiste du Polisario, façonné et soutenu par l’Algérie, votre implication persistante dans ce dossier, même après avoir été officiellement écarté, souligne une obstination qui aurait forcé presque l’admiration dans d’autres circonstances. Cette persévérance dénote une fascination pour un dossier qui a visiblement marqué votre parcours diplomatique plus profondément qu’on ne pourrait le supposer à première vue.
Votre parcours dans le dossier du Sahara, marqué par des tentatives de réécriture de l’histoire, révèle une préférence pour une narration qui semble ignorer les faits historiques attestant indéniablement de l’appartenance du Sahara au Maroc. Cette inclination à soutenir une version des faits favorable aux intérêts de l’Algérie et du Polisario vous éloigne considérablement de l’image d’un médiateur impartial et équilibré que vous auriez dû incarner. Bien au contraire, elle vous peint comme un acteur engagé dans une pièce complexe, dont les enjeux et les répercussions dépassaient le cadre d’une simple médiation.
M. Ross,
Rappelez-vous, votre appel à un projet d’indépendance, orchestré de facto par le Polisario et fondé sur un référendum aux conditions contestables, interroge sur votre interprétation de la diplomatie et de la justice. Votre poursuite inflexible de la cause pro-Polisario, malgré les changements significatifs survenus tant sur le terrain que sur la scène internationale concernant le Sahara marocain, témoigne d’un engagement qui frôle le quichottisme. En novembre 2021, alors que les dynamiques autour du Sahara marocain évoluaient, vous avez semblé opter pour une position de retrait derrière les remparts d’une forteresse d’illusions, refusant d’admettre les évolutions et les reconnaissances croissantes de la souveraineté marocaine sur ces territoires.
Rappelez-vous, votre intervention, précédant de peu l’adoption de la résolution 2602 par le Conseil de sécurité, a mis en lumière un écart considérable entre votre perception du conflit du Sahara marocain et la réalité actuelle du dossier. Votre plaidoyer sur PassBlue pour l’ajout de la surveillance des droits de l’Homme au mandat de la MINURSO trahissait une vision singulièrement orientée, marquée par des accusations envers le Maroc d’entraver de telles initiatives afin de réprimer les voix sahraouies dissidentes. Cette analyse simpliste, voire manichéenne, négligeait les efforts déployés par le Maroc pour promouvoir les droits de l’Homme dans la région.
Il convient, avant toute chose, de rappeler que le théâtre des opérations diplomatiques n’est pas exempt de ses dramaturgies, où certains excellent dans l’art du déguisement idéologique, revêtant le masque de l’équité avec une virtuosité qui, loin de confiner au génie, frôle l’illusionnisme.
L’article de Hassan Alaoui, directeur de publication de MAROC DIPLOMATIQUE, loin de simplement vous avoir « sorti de votre retraite », a plutôt ravivé le souvenir d’un chapitre de votre carrière où vos démarches diplomatiques semblaient davantage servir les agendas de ceux qui contestent l’intégrité territoriale du Maroc, plutôt que la noble cause de la paix et de la justice. Votre tentative de polir votre image dans ce contexte s’apparente à une valse où chaque pas est mesuré pour esquiver les vérités dérangeantes.
Votre démarche, teintée d’une quête désespérée de réhabilitation est à peine voilée. Vous avez tenté, par cette manœuvre, de vous redessiner en parangon de neutralité et de justice, omettant sciemment que dans le jeu d’échecs géopolitique, les pièces ne sont pas toujours aussi blanches ou noires qu’elles voudraient paraître. Votre réponse, loin d’être la contre-attaque éclairante que certains auraient pu espérer, s’apparente davantage à une pirouette verbale destinée à esquiver les projecteurs braqués sur les zones d’ombre de votre parcours.
La mémoire collective marocaine, gardienne infaillible de son intégrité territoriale, n’a guère besoin de rappels pour se souvenir des tentatives de sape auxquelles elle a dû faire face, tentatives dans lesquelles votre rôle n’a pas toujours été celui de l’arbitre impartial que vous prétendez avoir été.
Rappelez-vous de votre réapparition sur la scène, à travers un message à la portée incendiaire diffusé sur Facebook en juillet 2022, et qui n’a fait que renforcer cette perception. Elle a rappelé à ceux qui auraient pu l’oublier que votre intérêt pour le dossier du Sahara était loin d’être éteint. Vous vous présentiez une fois de plus comme le protagoniste d’une pièce shakespearienne, où les intentions véritables se dissimulaient sous le voile de la bienveillance.
Rappelez-vous que malgré une série d’efforts qui se sont révélés infructueux pour légitimer et conférer de la crédibilité au mouvement séparatiste du Polisario, façonné et soutenu par l’Algérie, votre implication persistante dans ce dossier, même après avoir été officiellement écarté, souligne une obstination qui aurait forcé presque l’admiration dans d’autres circonstances. Cette persévérance dénote une fascination pour un dossier qui a visiblement marqué votre parcours diplomatique plus profondément qu’on ne pourrait le supposer à première vue.
Votre parcours dans le dossier du Sahara, marqué par des tentatives de réécriture de l’histoire, révèle une préférence pour une narration qui semble ignorer les faits historiques attestant indéniablement de l’appartenance du Sahara au Maroc. Cette inclination à soutenir une version des faits favorable aux intérêts de l’Algérie et du Polisario vous éloigne considérablement de l’image d’un médiateur impartial et équilibré que vous auriez dû incarner. Bien au contraire, elle vous peint comme un acteur engagé dans une pièce complexe, dont les enjeux et les répercussions dépassaient le cadre d’une simple médiation.
M. Ross,
Rappelez-vous, votre appel à un projet d’indépendance, orchestré de facto par le Polisario et fondé sur un référendum aux conditions contestables, interroge sur votre interprétation de la diplomatie et de la justice. Votre poursuite inflexible de la cause pro-Polisario, malgré les changements significatifs survenus tant sur le terrain que sur la scène internationale concernant le Sahara marocain, témoigne d’un engagement qui frôle le quichottisme. En novembre 2021, alors que les dynamiques autour du Sahara marocain évoluaient, vous avez semblé opter pour une position de retrait derrière les remparts d’une forteresse d’illusions, refusant d’admettre les évolutions et les reconnaissances croissantes de la souveraineté marocaine sur ces territoires.
Rappelez-vous, votre intervention, précédant de peu l’adoption de la résolution 2602 par le Conseil de sécurité, a mis en lumière un écart considérable entre votre perception du conflit du Sahara marocain et la réalité actuelle du dossier. Votre plaidoyer sur PassBlue pour l’ajout de la surveillance des droits de l’Homme au mandat de la MINURSO trahissait une vision singulièrement orientée, marquée par des accusations envers le Maroc d’entraver de telles initiatives afin de réprimer les voix sahraouies dissidentes. Cette analyse simpliste, voire manichéenne, négligeait les efforts déployés par le Maroc pour promouvoir les droits de l’Homme dans la région.
Rappelez-vous, votre critique, suggérant que le Maroc a « court-circuité » les négociations par sa proposition d’autonomie, excluant ainsi le référendum soutenu par le Polisario, dénotait une méprise évidente des dynamiques diplomatiques et des réalités en jeu. Cette perspective unidimensionnelle a passé sous silence la légitimité et la pertinence de l’initiative marocaine d’autonomie comme contribution valable au dialogue et à une résolution pacifique du conflit.
Rappelez-vous, votre réaction en décembre 2020, à la reconnaissance par l’Administration Trump de la souveraineté marocaine sur le Sahara, qualifiée d’« insensée » et d’« irréfléchie », s’inscrivait dans une continuité de positions controversées. Cette déclaration, bien que cohérente avec vos prises de position antérieures, éclairait d’un jour nouveau la partialité qui a souvent coloré votre approche du dossier du Sahara.
Vos mots, teintés d’une amertume indéniable, ont révélé une opposition marquée à cette décision politique, mais également une animosité prononcée envers le Maroc. Cette hostilité, loin d’être voilée, a imprégné vos interventions publiques, suggérant que vos actions et déclarations ont été davantage dictées par des ressentiments personnels que par les principes de diplomatie et de médiation.
Rappelez-vous, votre implication dans le dossier du Sahara a été marquée par des controverses et des prises de position qui ont, à maintes reprises, exacerbé les tensions au lieu de les apaiser. L’épisode où vous avez tenté de convaincre l’ancien Secrétaire d’État américain, John Kerry, d’appuyer une résolution onusienne visant à étendre le mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara marocain est emblématique de votre engagement partial.
Cette initiative, qui a finalement échoué suite à une intervention diplomatique marocaine en 2013, témoigne de votre volonté d’influencer la politique internationale dans une direction clairement favorable aux positions algériennes et au Polisario.
Rappelez-vous, le Maroc avait exprimé son mécontentement envers votre personne, retirant sa confiance pour cause de partialité manifeste. Un tel acte, rarissime dans les annales diplomatiques, met en évidence l’ampleur du fossé qui s’était creusé entre vous et le Royaume, suite à vos actions provocatrices telles que votre visite directe à Laâyoune sans coordination préalable avec les autorités marocaines.
Rappelez-vous, avril 2017 a été le théâtre d’un moment révélateur, lorsque les paroles d’Omar Hilale, prononcées avec une intensité palpable lors d’une conférence de presse, avaient jeté une lumière crue sur le bilan de votre mission. À la suite de l’adoption de la résolution 2351 par le Conseil de sécurité, Hilale vous a désigné comme « homme du passé« , soulignant une vérité indéniable : loin de faciliter le chemin vers une résolution du conflit du Sahara, vous avez incarné les entraves à ce processus.
Votre position, perçue comme un obstacle plutôt qu’un pont vers la négociation, cristallise les défis inhérents aux missions de médiation internationale. L’exigence de neutralité et d’impartialité, principe sacrosaint de votre mandat, semble avoir été éclipsée par une réalité moins clémente, marquée par une impasse où la méfiance a érodé le dialogue.
Votre parcours dans le dossier du Sahara a suscité d’intenses critiques, notamment de la part du Maroc, critiques centrées sur des actions et des prises de positions jugées partiales. Parmi ces moments clés, votre implication dans l’organisation de la visite controversée de l’ex-Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, à Tindouf et à l’est du mur de défense marocain, en février 2016, marque un tournant.
Cette initiative a été perçue comme un affront, altérant gravement l’image de votre neutralité et de votre impartialité. Au Maroc, cette visite a déclenché une onde de choc, une indignation profonde, ressentie comme une trahison.
Et puis rappelez-vous, la visite que vous avez effectuée dans les camps de réfugiés à Tindouf fin octobre 2019, où vous avez rencontré des acteurs clés du mouvement séparatiste, semble confirmer une inclination pour des positions adverses aux aspirations marocaines d’une résolution pacifique et équitable du conflit. En engageant le dialogue avec des éléments du Polisario, vous avez privilégié des perspectives qui, aux yeux de nombreux observateurs, vont à l’encontre des principes d’une médiation neutre et équilibrée.
Le constat que, durant votre mandat, aucune avancée significative n’a été réalisée, ni en termes de facilitation de négociations ni de progression vers une résolution du conflit, dessine un bilan amer. L’accusation de collusion avec les adversaires de l’intégrité territoriale du Maroc met en lumière une orientation ayant potentiellement favorisé les intérêts d’une partie aux dépens de la mission de médiation qui vous était confiée.
M. Ross, la leçon que les Nations unies doivent retenir de votre mandat est qu’il est essentiel de réfléchir aux mécanismes de nomination et de supervision des médiateurs internationaux pour garantir que leur action favorise réellement la paix et la résolution des conflits. La mission de médiation au Sahara, comme dans tous les dossiers sensibles, requiert un engagement inébranlable pour la paix, la justice et l’équité, à l’abri des préférences personnelles et des influences extérieures.
Pour restaurer la confiance dans le processus de négociation et progresser vers une solution durable, il est crucial de s’appuyer sur des médiateurs dont l’intégrité, l’impartialité et le dévouement aux principes de la Charte des Nations Unies sont indiscutables.
Rédigé par Souad Mekkaoui sur Maroc diplomatique
Rappelez-vous, votre réaction en décembre 2020, à la reconnaissance par l’Administration Trump de la souveraineté marocaine sur le Sahara, qualifiée d’« insensée » et d’« irréfléchie », s’inscrivait dans une continuité de positions controversées. Cette déclaration, bien que cohérente avec vos prises de position antérieures, éclairait d’un jour nouveau la partialité qui a souvent coloré votre approche du dossier du Sahara.
Vos mots, teintés d’une amertume indéniable, ont révélé une opposition marquée à cette décision politique, mais également une animosité prononcée envers le Maroc. Cette hostilité, loin d’être voilée, a imprégné vos interventions publiques, suggérant que vos actions et déclarations ont été davantage dictées par des ressentiments personnels que par les principes de diplomatie et de médiation.
Rappelez-vous, votre implication dans le dossier du Sahara a été marquée par des controverses et des prises de position qui ont, à maintes reprises, exacerbé les tensions au lieu de les apaiser. L’épisode où vous avez tenté de convaincre l’ancien Secrétaire d’État américain, John Kerry, d’appuyer une résolution onusienne visant à étendre le mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara marocain est emblématique de votre engagement partial.
Cette initiative, qui a finalement échoué suite à une intervention diplomatique marocaine en 2013, témoigne de votre volonté d’influencer la politique internationale dans une direction clairement favorable aux positions algériennes et au Polisario.
Rappelez-vous, le Maroc avait exprimé son mécontentement envers votre personne, retirant sa confiance pour cause de partialité manifeste. Un tel acte, rarissime dans les annales diplomatiques, met en évidence l’ampleur du fossé qui s’était creusé entre vous et le Royaume, suite à vos actions provocatrices telles que votre visite directe à Laâyoune sans coordination préalable avec les autorités marocaines.
Rappelez-vous, avril 2017 a été le théâtre d’un moment révélateur, lorsque les paroles d’Omar Hilale, prononcées avec une intensité palpable lors d’une conférence de presse, avaient jeté une lumière crue sur le bilan de votre mission. À la suite de l’adoption de la résolution 2351 par le Conseil de sécurité, Hilale vous a désigné comme « homme du passé« , soulignant une vérité indéniable : loin de faciliter le chemin vers une résolution du conflit du Sahara, vous avez incarné les entraves à ce processus.
Votre position, perçue comme un obstacle plutôt qu’un pont vers la négociation, cristallise les défis inhérents aux missions de médiation internationale. L’exigence de neutralité et d’impartialité, principe sacrosaint de votre mandat, semble avoir été éclipsée par une réalité moins clémente, marquée par une impasse où la méfiance a érodé le dialogue.
Votre parcours dans le dossier du Sahara a suscité d’intenses critiques, notamment de la part du Maroc, critiques centrées sur des actions et des prises de positions jugées partiales. Parmi ces moments clés, votre implication dans l’organisation de la visite controversée de l’ex-Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, à Tindouf et à l’est du mur de défense marocain, en février 2016, marque un tournant.
Cette initiative a été perçue comme un affront, altérant gravement l’image de votre neutralité et de votre impartialité. Au Maroc, cette visite a déclenché une onde de choc, une indignation profonde, ressentie comme une trahison.
Et puis rappelez-vous, la visite que vous avez effectuée dans les camps de réfugiés à Tindouf fin octobre 2019, où vous avez rencontré des acteurs clés du mouvement séparatiste, semble confirmer une inclination pour des positions adverses aux aspirations marocaines d’une résolution pacifique et équitable du conflit. En engageant le dialogue avec des éléments du Polisario, vous avez privilégié des perspectives qui, aux yeux de nombreux observateurs, vont à l’encontre des principes d’une médiation neutre et équilibrée.
Le constat que, durant votre mandat, aucune avancée significative n’a été réalisée, ni en termes de facilitation de négociations ni de progression vers une résolution du conflit, dessine un bilan amer. L’accusation de collusion avec les adversaires de l’intégrité territoriale du Maroc met en lumière une orientation ayant potentiellement favorisé les intérêts d’une partie aux dépens de la mission de médiation qui vous était confiée.
M. Ross, la leçon que les Nations unies doivent retenir de votre mandat est qu’il est essentiel de réfléchir aux mécanismes de nomination et de supervision des médiateurs internationaux pour garantir que leur action favorise réellement la paix et la résolution des conflits. La mission de médiation au Sahara, comme dans tous les dossiers sensibles, requiert un engagement inébranlable pour la paix, la justice et l’équité, à l’abri des préférences personnelles et des influences extérieures.
Pour restaurer la confiance dans le processus de négociation et progresser vers une solution durable, il est crucial de s’appuyer sur des médiateurs dont l’intégrité, l’impartialité et le dévouement aux principes de la Charte des Nations Unies sont indiscutables.
Rédigé par Souad Mekkaoui sur Maroc diplomatique