L'hydrogène à la croisée des chemins :
Malgré un prototype fonctionnel développé en interne, Ineos a décidé de laisser son SUV à hydrogène au stade expérimental. La directrice générale d'Ineos Automotive, Lynn Calder, reconnait que si la création de ce prototype était une évidence pour une entreprise tournée vers l'innovation, la réalité du marché impose une approche plus pragmatique.
Plusieurs facteurs expliquent cette décision : Des coûts de développement et d'industrialisation trop élevés pour une technologie encore balbutiante. Un manque d'infrastructures de recharge en hydrogène à l'échelle mondiale, limitant l'attrait commercial d'un tel véhicule. Ineos préfère donc temporiser et se concentrer sur son développement dans le domaine de l'électrique avec le Fusilier, attendu pour 2027. Le groupe n'abandonne pas pour autant l'hydrogène et table sur un déploiement à plus long terme, à l'horizon 2030. Cette décision reflète les défis auxquels est confrontée la filière hydrogène, notamment dans le secteur automobile : La complexité technologique et les coûts associés à la production et au stockage de l'hydrogène. La nécessité de déployer un réseau de distribution dense et coûteux. La concurrence des véhicules électriques à batterie, qui bénéficient d'une avance considérable en termes d'infrastructures et d'offre. Ineos choisit donc une stratégie prudente en attendant que l'hydrogène s'impose comme une alternative crédible sur le marché automobile.
Plusieurs facteurs expliquent cette décision : Des coûts de développement et d'industrialisation trop élevés pour une technologie encore balbutiante. Un manque d'infrastructures de recharge en hydrogène à l'échelle mondiale, limitant l'attrait commercial d'un tel véhicule. Ineos préfère donc temporiser et se concentrer sur son développement dans le domaine de l'électrique avec le Fusilier, attendu pour 2027. Le groupe n'abandonne pas pour autant l'hydrogène et table sur un déploiement à plus long terme, à l'horizon 2030. Cette décision reflète les défis auxquels est confrontée la filière hydrogène, notamment dans le secteur automobile : La complexité technologique et les coûts associés à la production et au stockage de l'hydrogène. La nécessité de déployer un réseau de distribution dense et coûteux. La concurrence des véhicules électriques à batterie, qui bénéficient d'une avance considérable en termes d'infrastructures et d'offre. Ineos choisit donc une stratégie prudente en attendant que l'hydrogène s'impose comme une alternative crédible sur le marché automobile.