La Russie cible les produits Apple
Au début de l'année, les administrations ont exprimé leur mécontentement envers TikTok.
Il est maintenant interdit aux fonctionnaires américains ou européens d'utiliser l'application chinoise sur leurs appareils de travail. La Russie suit une voie similaire, mais cette fois-ci en ciblant les produits Apple au lieu de TikTok.
À partir du lundi 17 juillet, les autorités russes ont requis des fonctionnaires du pays qu'ils renoncent à utiliser leur iPhone, iPad et autres dispositifs de l'entreprise américaine. Cette mesure fait partie des efforts déployés par la Russie pour s'opposer au fabricant en question.
Le Kremlin et l'agence de renseignement du Service fédéral de sécurité russe (FSB) ont évalué qu'il y avait une intensification des activités d'espionnage menées par les agences de renseignement américaines.
Par conséquent, la Russie cherche à empêcher la présence d'appareils Apple au sein des institutions russes, y compris les principaux ministères.
Il est maintenant interdit aux fonctionnaires américains ou européens d'utiliser l'application chinoise sur leurs appareils de travail. La Russie suit une voie similaire, mais cette fois-ci en ciblant les produits Apple au lieu de TikTok.
À partir du lundi 17 juillet, les autorités russes ont requis des fonctionnaires du pays qu'ils renoncent à utiliser leur iPhone, iPad et autres dispositifs de l'entreprise américaine. Cette mesure fait partie des efforts déployés par la Russie pour s'opposer au fabricant en question.
Le Kremlin et l'agence de renseignement du Service fédéral de sécurité russe (FSB) ont évalué qu'il y avait une intensification des activités d'espionnage menées par les agences de renseignement américaines.
Par conséquent, la Russie cherche à empêcher la présence d'appareils Apple au sein des institutions russes, y compris les principaux ministères.
"Les responsables de la sécurité dans les ministères ont annoncé que les iPhone n'étaient plus considérés comme sûrs et qu'il fallait chercher d'autres solutions", précise une source proche d'une agence gouvernementale ayant banni les produits Apple.
Apple nie tout espionnage
Actuellement, l'utilisation personnelle d'un produit Apple est autorisée, mais elle engendre divers inconvénients. Une source proche d'un ministère, citée dans un journal financier, exprime des critiques sur le manque de praticité de ces produits, soulignant la nécessité de transporter un autre téléphone ou une autre tablette.
Cette initiative est également en accord avec l'objectif de la Russie de transférer ses institutions vers des technologies nationales, dans le but de réduire sa dépendance vis-à-vis des solutions étrangères.
Peu de temps après l'invasion de l'Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a promulgué un décret exigeant que les "infrastructures d'informations critiques" adoptent des logiciels nationaux d'ici à 2025.
Selon le FSB, un nombre important d'iPhone, équipés de cartes SIM russes ou enregistrés auprès de missions diplomatiques russes dans les pays de l'OTAN, auraient été compromis par un logiciel de surveillance.
Du point de vue russe, cela suggère une possible collaboration entre Apple et l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA).
Pour sa part, Apple a catégoriquement nié ces accusations en déclarant n'avoir jamais collaboré avec aucun gouvernement pour instaurer un accès à l'intérieur de ses produits. L'entreprise affirme également qu'elle ne le fera jamais.
L'odj avec BFMTV
Cette initiative est également en accord avec l'objectif de la Russie de transférer ses institutions vers des technologies nationales, dans le but de réduire sa dépendance vis-à-vis des solutions étrangères.
Peu de temps après l'invasion de l'Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a promulgué un décret exigeant que les "infrastructures d'informations critiques" adoptent des logiciels nationaux d'ici à 2025.
Selon le FSB, un nombre important d'iPhone, équipés de cartes SIM russes ou enregistrés auprès de missions diplomatiques russes dans les pays de l'OTAN, auraient été compromis par un logiciel de surveillance.
Du point de vue russe, cela suggère une possible collaboration entre Apple et l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA).
Pour sa part, Apple a catégoriquement nié ces accusations en déclarant n'avoir jamais collaboré avec aucun gouvernement pour instaurer un accès à l'intérieur de ses produits. L'entreprise affirme également qu'elle ne le fera jamais.
L'odj avec BFMTV