Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) vient de publier des chiffres qui confirment ce que beaucoup soupçonnaient déjà : le Maroc, c’est un peu comme un match de foot où seules trois équipes jouent réellement. En 2022, les régions de Casablanca-Settat, Rabat-Salé-Kénitra et Tanger-Tétouan-Al Hoceima ont généré 57,9 % de la richesse nationale aux prix courants. Autant dire que le reste du Royaume se contente de jouer les seconds rôles.
Casablanca-Settat, sans surprise, conserve son titre de champion incontesté avec son dynamisme économique effréné, suivi de près par la capitale administrative et son pôle industriel, et enfin, le Nord qui surfe sur une vague de croissance industrielle et touristique. Cette concentration de la richesse soulève des questions sur la disparité régionale et l'impact sur le développement économique équilibré du Maroc.
Malgré ces chiffres impressionnants, il reste des défis à relever : les autres régions doivent trouver un moyen de tirer leur épingle du jeu, car un Maroc prospère ne peut reposer uniquement sur trois piliers.
Casablanca-Settat, sans surprise, conserve son titre de champion incontesté avec son dynamisme économique effréné, suivi de près par la capitale administrative et son pôle industriel, et enfin, le Nord qui surfe sur une vague de croissance industrielle et touristique. Cette concentration de la richesse soulève des questions sur la disparité régionale et l'impact sur le développement économique équilibré du Maroc.
Malgré ces chiffres impressionnants, il reste des défis à relever : les autres régions doivent trouver un moyen de tirer leur épingle du jeu, car un Maroc prospère ne peut reposer uniquement sur trois piliers.