Le dernier sondage de l’Arab Barometer révèle un chiffre inquiétant : 35% des Marocains envisagent de quitter le pays, poussés par des raisons principalement économiques.
L’Amérique du Nord reste la destination préférée, suivie par l’Europe et les pays du Golfe. Cette tendance migratoire met en lumière un profond malaise socio-économique au sein de la population, où le chômage, la précarité, et le manque de perspectives d’avenir pèsent lourdement.
Pour de nombreux Marocains, l'émigration est perçue comme une échappatoire à une réalité difficile, marquée par l’insécurité économique et l'instabilité sociale.
Les jeunes, en particulier, sont les plus enclins à vouloir partir, rêvant d’un avenir meilleur ailleurs. Ce désir d’émigration soulève des questions cruciales sur la capacité du Maroc à retenir ses talents et à offrir des opportunités suffisantes à sa jeunesse.
L’Amérique du Nord reste la destination préférée, suivie par l’Europe et les pays du Golfe. Cette tendance migratoire met en lumière un profond malaise socio-économique au sein de la population, où le chômage, la précarité, et le manque de perspectives d’avenir pèsent lourdement.
Pour de nombreux Marocains, l'émigration est perçue comme une échappatoire à une réalité difficile, marquée par l’insécurité économique et l'instabilité sociale.
Les jeunes, en particulier, sont les plus enclins à vouloir partir, rêvant d’un avenir meilleur ailleurs. Ce désir d’émigration soulève des questions cruciales sur la capacité du Maroc à retenir ses talents et à offrir des opportunités suffisantes à sa jeunesse.