par Majd El Atouabi
A tous ceux qui considéraient que les expressions «République fantoche, fantomatique ou chimérique» utilisées depuis des décennies dans la littérature officielle et officieuse marocaine pour désigner le mirage de la RASD, étaient de simples éléments de langage propagandistes, un “ministre” de ladite république vient d’opposer une réponse claire et cinglante à l’occasion d’un meeting organisé dans la commune de Mantes-la-Jolie, en banlieue parisienne.
Actuellement en charge du portefeuille supposé des non moins supposés «territoires occupés», le “ministre” en question s’appelle Mustapha Sidi El Bachir. Une qualité qu’il se renie à lui-même comme à ses homologues du gouvernement imaginaire de la RASD, ainsi qu’à son hypothétique président, le criminel Brahim Ghali, alias Ben Battouche, qui semble collectionner les noms d’emprunt, puisqu’il serait inscrit selon la même source sous le patronyme Ghali Sid El Mustapha sur les listes du HCR.
Se définissant plutôt comme un simple réfugié contraint de vivre en dehors de son pays par la force des manigances des généraux algériens qui avaient créé sur le papier cette entité fantomatique au milieu des années 1970 dans l’unique but de contrarier le processus de décolonisation et donc de développement du Maroc, notre “ministre” polisarien révèle à travers son «coming out» les ficelles d’une gigantesque supercherie qui a induit en erreur beaucoup de pays et de gouvernements, retenant au passage en situation d’otage d’un conflit imaginaire, l’ensemble de la région du Maghreb.
Si l’on imagine facilement l’embarras que cette sortie suscitera parmi les généraux algériens dont l’ire ne manquera pas de s’abattre sur le pauvre et sincère responsable polisarien, il importe de s’interroger sur ses suites au niveau international et surtout continental. Comment la vénérable Union Africaine pourrait-elle en effet continuer à justifier la présence parmi ses rangs d’une entité reconnue fantoche par ses propres dirigeants ? Que comptent faire les gouvernements, institutions et pays induits en erreur ou carrément corrompus par l’Algérie pour reconnaître cette pseudo république ?
En attendant des réponses et des positions claires, le Maroc, quoique conscient et convaincu depuis des lustres de l’illégitimité de la RASD et de ses dirigeants, continuera à tendre une main pacifiste à ses enfants égarés pour un retour à la raison et à la nation clémente et miséricordieuse, dans le cadre de sa proposition d’une large autonomie.
Actuellement en charge du portefeuille supposé des non moins supposés «territoires occupés», le “ministre” en question s’appelle Mustapha Sidi El Bachir. Une qualité qu’il se renie à lui-même comme à ses homologues du gouvernement imaginaire de la RASD, ainsi qu’à son hypothétique président, le criminel Brahim Ghali, alias Ben Battouche, qui semble collectionner les noms d’emprunt, puisqu’il serait inscrit selon la même source sous le patronyme Ghali Sid El Mustapha sur les listes du HCR.
Se définissant plutôt comme un simple réfugié contraint de vivre en dehors de son pays par la force des manigances des généraux algériens qui avaient créé sur le papier cette entité fantomatique au milieu des années 1970 dans l’unique but de contrarier le processus de décolonisation et donc de développement du Maroc, notre “ministre” polisarien révèle à travers son «coming out» les ficelles d’une gigantesque supercherie qui a induit en erreur beaucoup de pays et de gouvernements, retenant au passage en situation d’otage d’un conflit imaginaire, l’ensemble de la région du Maghreb.
Si l’on imagine facilement l’embarras que cette sortie suscitera parmi les généraux algériens dont l’ire ne manquera pas de s’abattre sur le pauvre et sincère responsable polisarien, il importe de s’interroger sur ses suites au niveau international et surtout continental. Comment la vénérable Union Africaine pourrait-elle en effet continuer à justifier la présence parmi ses rangs d’une entité reconnue fantoche par ses propres dirigeants ? Que comptent faire les gouvernements, institutions et pays induits en erreur ou carrément corrompus par l’Algérie pour reconnaître cette pseudo république ?
En attendant des réponses et des positions claires, le Maroc, quoique conscient et convaincu depuis des lustres de l’illégitimité de la RASD et de ses dirigeants, continuera à tendre une main pacifiste à ses enfants égarés pour un retour à la raison et à la nation clémente et miséricordieuse, dans le cadre de sa proposition d’une large autonomie.