Il commence en exprimant sa profonde admiration pour le peuple marocain et sa capacité à agir de manière disciplinée et solidaire, notamment en temps de crise. Il salue la coopération entre les citoyens et les services de l'État, l'armée, les médecins et tous ceux qui ont apporté leur aide après la catastrophe du séisme.
Jean-Luc Mélenchon aborde ensuite la question du capitalisme. Il affirme que le capitalisme, qui était immoral à ses débuts, est devenu suicidaire aujourd'hui avec la surpopulation mondiale. Il insiste sur la nécessité de rompre avec le capitalisme pour éviter la destruction de l'écosystème.
Il aborde également le rôle central des villes et des réseaux dans la société moderne, soulignant que nos vies dépendent des infrastructures urbaines et des réseaux collectifs tels que l'eau, l'électricité, le gaz et les routes. Il voit la migration comme une opportunité pour l'humanité, favorisant l'apprentissage et le partage de connaissances entre les cultures.
Jean-Luc Mélenchon souligne également le rôle crucial de la langue commune dans la création de liens entre les individus et l'importance de la solidarité collective pour faire face aux défis futurs. Il critique la croyance aveugle dans le marché, qui a conduit à la prolifération de déserts médicaux, éducatifs et alimentaires en France et dans le monde. Il plaide en faveur de solutions collectivistes basées sur la réflexion, la discussion et l'entraide.
Il évoque également les besoins fondamentaux de l'humanité tels que le sommeil, le silence, l'eau et l'alimentation, et insiste sur leur importance en tant que biens communs.
Jean-Luc Mélenchon termine par un appel à la jeunesse pour faire preuve de compassion et de solidarité envers les autres afin de construire un monde meilleur.
Jean-Luc Mélenchon aborde ensuite la question du capitalisme. Il affirme que le capitalisme, qui était immoral à ses débuts, est devenu suicidaire aujourd'hui avec la surpopulation mondiale. Il insiste sur la nécessité de rompre avec le capitalisme pour éviter la destruction de l'écosystème.
Il aborde également le rôle central des villes et des réseaux dans la société moderne, soulignant que nos vies dépendent des infrastructures urbaines et des réseaux collectifs tels que l'eau, l'électricité, le gaz et les routes. Il voit la migration comme une opportunité pour l'humanité, favorisant l'apprentissage et le partage de connaissances entre les cultures.
Jean-Luc Mélenchon souligne également le rôle crucial de la langue commune dans la création de liens entre les individus et l'importance de la solidarité collective pour faire face aux défis futurs. Il critique la croyance aveugle dans le marché, qui a conduit à la prolifération de déserts médicaux, éducatifs et alimentaires en France et dans le monde. Il plaide en faveur de solutions collectivistes basées sur la réflexion, la discussion et l'entraide.
Il évoque également les besoins fondamentaux de l'humanité tels que le sommeil, le silence, l'eau et l'alimentation, et insiste sur leur importance en tant que biens communs.
Jean-Luc Mélenchon termine par un appel à la jeunesse pour faire preuve de compassion et de solidarité envers les autres afin de construire un monde meilleur.