Dans le cadre de l'activation de la commission permanente qui vise à renforcer la collaboration entre le ministère et les instances de l'enseignement privé. Lundi à Rabat, Chakib Benmoussa, ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports a tenu une réunion importante avec les représentants du secteur de l'enseignement privé au Maroc.
Selon un communiqué du ministère, la réunion s'est déroulée au siège central de ce département, avec la participation de plusieurs figures clés. Parmi elles, le président de l’Alliance de l’enseignement privé au Maroc, le président de l’Union de l’enseignement et de la formation libre au Maroc, le président de l’Organisation nationale des établissements d’enseignement et de formation privés au Maroc, le vice-président de la Fédération de l’enseignement privé affiliée à la Confédération générale des entreprises du Maroc, ainsi que des représentants de ces organisations, le secrétaire général du ministère et une équipe centrale de responsables des directions concernées.
Chakib Benmoussa a souligné que le secteur de l'enseignement privé constitue une composante essentielle du système éducatif marocain. Il a précisé que le ministère s'engage à réglementer et accompagner ce secteur pour améliorer sa performance et son efficacité éducative, tout en tenant compte des relations avec les familles et de l'intérêt supérieur des élèves.
Le ministre a rappelé l'importance du contrat type qui régit les relations entre les familles et les établissements privés. Ce document de référence garantit les droits de toutes les parties et place l'intérêt des élèves au-dessus de tout. Il permet d'assurer que les élèves puissent suivre leurs études sans interruption due à des conflits entre les parties. Une version mise à jour de ce contrat sera introduite lors de la prochaine rentrée scolaire, encadrée par une note ministérielle pour en garantir les finalités.
M. Benmoussa a également exhorté les représentants de l'enseignement privé à ne pas augmenter les frais de scolarité afin de ne pas alourdir le fardeau des parents et des tuteurs des élèves. Il a insisté sur la nécessité de veiller à ce que les frais de scolarité soient proportionnels aux services éducatifs fournis.Le ministère a élaboré des propositions pour enrichir le projet de loi sur l’enseignement scolaire, actuellement en cours d’approbation, en collaboration avec les instances représentatives de l’enseignement privé.
Les résultats positifs de ce travail conjoint ouvrent la voie à l’établissement d’un contrat stratégique visant à renforcer la coopération, stimuler les investissements, faciliter les procédures, améliorer la gouvernance et gérer les ressources humaines formées. Tout cela dans le but d’apporter des changements au sein des salles de classe et de développer l’offre éducative dans ce secteur.
Avec ces mesures, le ministère et les représentants de l'enseignement privé espèrent non seulement améliorer la qualité de l'éducation, mais aussi instaurer une relation de confiance et de transparence avec les familles marocaines. La rentrée scolaire 2024-2025 approche à grands pas, les représentants de l'enseignements privé est plus que jamais engagé à jouer un rôle pivot dans la réforme éducative, faisant de l'éducation marocaine un modèle d'excellence et d'innovation.
Selon un communiqué du ministère, la réunion s'est déroulée au siège central de ce département, avec la participation de plusieurs figures clés. Parmi elles, le président de l’Alliance de l’enseignement privé au Maroc, le président de l’Union de l’enseignement et de la formation libre au Maroc, le président de l’Organisation nationale des établissements d’enseignement et de formation privés au Maroc, le vice-président de la Fédération de l’enseignement privé affiliée à la Confédération générale des entreprises du Maroc, ainsi que des représentants de ces organisations, le secrétaire général du ministère et une équipe centrale de responsables des directions concernées.
Chakib Benmoussa a souligné que le secteur de l'enseignement privé constitue une composante essentielle du système éducatif marocain. Il a précisé que le ministère s'engage à réglementer et accompagner ce secteur pour améliorer sa performance et son efficacité éducative, tout en tenant compte des relations avec les familles et de l'intérêt supérieur des élèves.
Le ministre a rappelé l'importance du contrat type qui régit les relations entre les familles et les établissements privés. Ce document de référence garantit les droits de toutes les parties et place l'intérêt des élèves au-dessus de tout. Il permet d'assurer que les élèves puissent suivre leurs études sans interruption due à des conflits entre les parties. Une version mise à jour de ce contrat sera introduite lors de la prochaine rentrée scolaire, encadrée par une note ministérielle pour en garantir les finalités.
M. Benmoussa a également exhorté les représentants de l'enseignement privé à ne pas augmenter les frais de scolarité afin de ne pas alourdir le fardeau des parents et des tuteurs des élèves. Il a insisté sur la nécessité de veiller à ce que les frais de scolarité soient proportionnels aux services éducatifs fournis.Le ministère a élaboré des propositions pour enrichir le projet de loi sur l’enseignement scolaire, actuellement en cours d’approbation, en collaboration avec les instances représentatives de l’enseignement privé.
Les résultats positifs de ce travail conjoint ouvrent la voie à l’établissement d’un contrat stratégique visant à renforcer la coopération, stimuler les investissements, faciliter les procédures, améliorer la gouvernance et gérer les ressources humaines formées. Tout cela dans le but d’apporter des changements au sein des salles de classe et de développer l’offre éducative dans ce secteur.
Avec ces mesures, le ministère et les représentants de l'enseignement privé espèrent non seulement améliorer la qualité de l'éducation, mais aussi instaurer une relation de confiance et de transparence avec les familles marocaines. La rentrée scolaire 2024-2025 approche à grands pas, les représentants de l'enseignements privé est plus que jamais engagé à jouer un rôle pivot dans la réforme éducative, faisant de l'éducation marocaine un modèle d'excellence et d'innovation.