Les événements tels que les protestations anti-israéliennes à Malmö et l'exclusion du candidat néerlandais, Joost Klein, ont marqué la dernière édition, incitant l'UER à envisager des ajustements significatifs.
Jean Philip De Tender, directeur général adjoint de l'UER, a souligné à Variety que les tensions géopolitiques peuvent perturber l'événement et affecter les artistes, affirmant la neutralité politique essentielle de l'Eurovision.

Parmi les nouvelles mesures envisagées, l'UER envisage de restreindre l'accès aux coulisses et d'établir une équipe de gestion de crise. Un nouveau directeur du concours sera nommé pour superviser ces changements, travaillant sous la direction de Jean Philip De Tender et du superviseur exécutif Martin Österdahl.

Le gagnant de l'édition précédente, Nemo de la Suisse, avait déjà plaidé pour des ajustements nécessaires, rapporte BFMTV. En outre, un soutien accru aux artistes sera mis en place pour mieux gérer la pression médiatique, avec la possible nomination d'un producteur de bien-être.

Les recommandations d'un rapport indépendant dirigé par Pernille Gaardbo, basées sur les témoignages de plus de 50 personnes impliquées dans le concours, seront examinées par un groupe de travail de l'UER. Ces changements seront appliqués pour l'Eurovision 2025 en Suisse, assurant que le concours continue d'évoluer positivement, selon Jean Philip De Tender.