Ce jeudi, l’Algérie a annoncé que les Marocains devront désormais obtenir un visa pour entrer sur son territoire, une mesure qui prend effet immédiatement. Cette décision suscite de vives interrogations quant aux motivations réelles du gouvernement algérien. Officiellement, Alger accuse Rabat de mener des « actions attentatoires » à la stabilité du pays. Une allégation autant grave qu'ambiguë, laissant planer le doute sur la nature des actes reprochés au royaume.
L'absence de précisions soulève plusieurs questions : quelles sont ces actions supposées ? Ont-elles conduit à des arrestations de Marocains ? Ou s’agit-il d’une riposte à la récente série de succès diplomatiques marocains, notamment avec le soutien de la France ? Derrière cette décision, se cache peut-être une stratégie politique visant à détourner l'attention des difficultés internes algériennes, en créant un ennemi extérieur. Le Maroc, quant à lui, répondra-t-il à cette escalade ou optera-t-il pour une posture plus conciliante ?
En fin de compte, cette restriction soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Et si au final c'était le but recherché ? Cette politique, au lieu de favoriser la paix, semble en fait renforcer la méfiance entre les deux nations. Si cette dynamique persiste, la région risque de sombrer dans une crise encore plus profonde, freinant toute tentative de coopération entre les peuples du Maghreb, pourtant cruciale pour leur avenir commun.
L'absence de précisions soulève plusieurs questions : quelles sont ces actions supposées ? Ont-elles conduit à des arrestations de Marocains ? Ou s’agit-il d’une riposte à la récente série de succès diplomatiques marocains, notamment avec le soutien de la France ? Derrière cette décision, se cache peut-être une stratégie politique visant à détourner l'attention des difficultés internes algériennes, en créant un ennemi extérieur. Le Maroc, quant à lui, répondra-t-il à cette escalade ou optera-t-il pour une posture plus conciliante ?
En fin de compte, cette restriction soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Et si au final c'était le but recherché ? Cette politique, au lieu de favoriser la paix, semble en fait renforcer la méfiance entre les deux nations. Si cette dynamique persiste, la région risque de sombrer dans une crise encore plus profonde, freinant toute tentative de coopération entre les peuples du Maghreb, pourtant cruciale pour leur avenir commun.