Le festival organisé à Reims, dans l'Est de la France, se tenait l'an dernier en ligne en raison de la pandémie, et avait remis son grand prix à "La Loi de Téhéran", du réalisateur iranien Saeed Roustaee. Cette année, dix films sont en compétition.
"Le festival va permettre de découvrir 50 films, signés par des cinéastes de 20 nationalités", a déclaré à l'AFP son président, Bruno Barde, également à la barre du festival du film américain de Deauville et du film fantastique de Gérardmer.
Au total, il a visionné avec ses équipes 180 films, candidats, pour une sélection montrant "une maturité cinématographique et une forme de retour au cinéma classique, qui dit les choses, mais les dit avec la mise en scène".
Le jury de la compétition est présidé par l'acteur français Niels Arestrup, césarisé notamment pour deux films de Jacques Audiard qui empruntent au genre, "Un Prophète" et "De battre mon cœur s'est arrêté". "Policier ou non, un film est surtout une vision d'un scénariste, d'un metteur en scène, interprété par des acteurs. Quand j'ai fait des films considérés comme des polars, je ne m'en suis pas vraiment aperçu", a expliqué l'acteur à l'AFP. D'une manière générale, "ce qui m'intéresse à chaque fois dans les films, c'est que ça parle de notre humanité difficile, complexe, étrange, qui part dans tous les sens", a-t-il poursuivi.
L'ODJ avec cinenews.be
"Le festival va permettre de découvrir 50 films, signés par des cinéastes de 20 nationalités", a déclaré à l'AFP son président, Bruno Barde, également à la barre du festival du film américain de Deauville et du film fantastique de Gérardmer.
Au total, il a visionné avec ses équipes 180 films, candidats, pour une sélection montrant "une maturité cinématographique et une forme de retour au cinéma classique, qui dit les choses, mais les dit avec la mise en scène".
Le jury de la compétition est présidé par l'acteur français Niels Arestrup, césarisé notamment pour deux films de Jacques Audiard qui empruntent au genre, "Un Prophète" et "De battre mon cœur s'est arrêté". "Policier ou non, un film est surtout une vision d'un scénariste, d'un metteur en scène, interprété par des acteurs. Quand j'ai fait des films considérés comme des polars, je ne m'en suis pas vraiment aperçu", a expliqué l'acteur à l'AFP. D'une manière générale, "ce qui m'intéresse à chaque fois dans les films, c'est que ça parle de notre humanité difficile, complexe, étrange, qui part dans tous les sens", a-t-il poursuivi.
L'ODJ avec cinenews.be