Lors de cet événement initié sous le thème « le football du plaisir au hooliganisme », en partenariat avec le Club des magistrats du Maroc, la province de Berkane, le Conseil provincial et la Direction provinciale du département de la Jeunesse, les intervenant ont passé en revue les constats répétés de l’insuffisance des politiques précédentes, notamment l’approche sécuritaire et répressive pour endiguer ce phénomène, plaidant pour l’adoption d’une stratégie nationale intégrée et globale.
A cette occasion, le président du Centre Afro-méditerranéen d’études juridiques et socio-économique, Ouadie El Hamel a fait savoir que les pouvoirs publics et la société civile sont préoccupés par la violence dans les stades qui demeure un phénomène délicat qui «nous interpelle tous».
«Il faut agir rapidement et démythifier les motifs de la propagation de ce phénomène en dehors des terrains, causant ainsi des dégâts matériels et humains déplorables», a-t-il dit dans une déclaration à M24, la chaîne télévisée de l’information en continu de la MAP, ajoutant que cette rencontre est une occasion pour se livrer à des regards croisés sur les différentes approches (juridiques, judiciaires, sécuritaires, sociologiques, psychologiques, religieux, éthiques et éducatifs…) à même de penser des solutions efficaces pour remédier à cette situation.
De son côté, le président du bureau régional du Club des magistrats du Maroc à Oujda, Abdeljalil Laaroussi a indiqué, dans une déclaration similaire, que le football est un sport, en dépit de sa contribution comme facteur de rayonnement du Royaume à l’échelle internationale, devient une source d’ennuis, notamment le hooliganisme dans les stades.
Pour sa part, le magistrat à la direction des affaires pénales et des grâces et au ministère de la Justice, Ayoub Aboujaafar, s’est attardé sur les nouveautés apportées par la politique pénale pour faire face à la violence dans les stades, soulignant, dans ce sens, l’adoption de nouvelles mesures préventives à l’encontre des présumés casseurs.
Dans la foulée, il a fait remarquer que les approches répressives et sécuritaires ne suffisent pas pour éradiquer ce fléau, plaidant ainsi pour une convergence efficace des politiques, notamment pénales et les autres politiques publiques de l’État.
Par ailleurs, les autres interventions ont abordé d’autres questions liées au phénomène du hooliganisme, notamment l’accès des mineurs aux stades et la nécessité d’entreprendre d’autres approches globales et participatives, basées essentiellement sur l’éducation et la formation, ainsi que l’intensification des programmes de sensibilisation à grande échelle.
Les intervenants ont, aussi, appelé à mettre à niveau les infrastructures des stades et à améliorer les conditions d’accueil du public, à travers la mise en place des installations sanitaires et des moyens de divertissement, la numérotation des sièges et l’orientation du public, tout en modernisant les systèmes de surveillance et de billetterie.
A cette occasion, le président du Centre Afro-méditerranéen d’études juridiques et socio-économique, Ouadie El Hamel a fait savoir que les pouvoirs publics et la société civile sont préoccupés par la violence dans les stades qui demeure un phénomène délicat qui «nous interpelle tous».
«Il faut agir rapidement et démythifier les motifs de la propagation de ce phénomène en dehors des terrains, causant ainsi des dégâts matériels et humains déplorables», a-t-il dit dans une déclaration à M24, la chaîne télévisée de l’information en continu de la MAP, ajoutant que cette rencontre est une occasion pour se livrer à des regards croisés sur les différentes approches (juridiques, judiciaires, sécuritaires, sociologiques, psychologiques, religieux, éthiques et éducatifs…) à même de penser des solutions efficaces pour remédier à cette situation.
De son côté, le président du bureau régional du Club des magistrats du Maroc à Oujda, Abdeljalil Laaroussi a indiqué, dans une déclaration similaire, que le football est un sport, en dépit de sa contribution comme facteur de rayonnement du Royaume à l’échelle internationale, devient une source d’ennuis, notamment le hooliganisme dans les stades.
«Le Club des magistrats du Maroc, de par ses contributions citoyennes, ne cesse de porter une attention particulière à ce phénomène, en se penchant sur les problématiques juridiques et judiciaires y afférentes, notamment la loi 09-09 relative aux violences commises lors ou à l’occasion des compétitions ou des manifestations sportives» a-t-il argué.
Pour sa part, le magistrat à la direction des affaires pénales et des grâces et au ministère de la Justice, Ayoub Aboujaafar, s’est attardé sur les nouveautés apportées par la politique pénale pour faire face à la violence dans les stades, soulignant, dans ce sens, l’adoption de nouvelles mesures préventives à l’encontre des présumés casseurs.
Dans la foulée, il a fait remarquer que les approches répressives et sécuritaires ne suffisent pas pour éradiquer ce fléau, plaidant ainsi pour une convergence efficace des politiques, notamment pénales et les autres politiques publiques de l’État.
Par ailleurs, les autres interventions ont abordé d’autres questions liées au phénomène du hooliganisme, notamment l’accès des mineurs aux stades et la nécessité d’entreprendre d’autres approches globales et participatives, basées essentiellement sur l’éducation et la formation, ainsi que l’intensification des programmes de sensibilisation à grande échelle.
Les intervenants ont, aussi, appelé à mettre à niveau les infrastructures des stades et à améliorer les conditions d’accueil du public, à travers la mise en place des installations sanitaires et des moyens de divertissement, la numérotation des sièges et l’orientation du public, tout en modernisant les systèmes de surveillance et de billetterie.