La session parlementaire qui débute le 11 octobre pourrait bien marquer un tournant historique pour le Maroc. Les députés se préparent à affronter des réformes majeures qui impacteront directement la société, allant du code pénal aux retraites, en passant par des ajustements dans le système éducatif. L'une des réformes les plus attendues concerne la révision du code pénal, jugé dépassé.
Des voix s’élèvent pour plaider en faveur de la liberté d’expression et des droits des femmes, alors que d'autres appellent à dépénaliser certaines infractions. De plus, la réforme des retraites, vitale dans un pays où la population vieillit, est scrutée de près. Le système actuel est perçu comme insoutenable, et le gouvernement doit agir pour garantir sa pérennité tout en respectant les attentes des syndicats. La réforme du droit de grève, jugée trop permissive par certains employeurs, pourrait enfin cristalliser les tensions sociales dans les mois à venir.
Des voix s’élèvent pour plaider en faveur de la liberté d’expression et des droits des femmes, alors que d'autres appellent à dépénaliser certaines infractions. De plus, la réforme des retraites, vitale dans un pays où la population vieillit, est scrutée de près. Le système actuel est perçu comme insoutenable, et le gouvernement doit agir pour garantir sa pérennité tout en respectant les attentes des syndicats. La réforme du droit de grève, jugée trop permissive par certains employeurs, pourrait enfin cristalliser les tensions sociales dans les mois à venir.