Regroupées au sein de la Fédération de la ligue des droits des femmes, ces organisations dénoncent plusieurs aspects de la réforme, qu'elles jugent contraires au principe d’un procès équitable. Elles critiquent notamment le plafonnement des recours en appel et en cassation, ainsi que l'accès à la justice, qu'elles estiment de plus en plus restreint pour les femmes, en particulier celles issues des milieux défavorisés.
Ces ONG militent pour un accès élargi à l'assistance judiciaire et l'élimination des barrières financières et procédurales qui empêchent les femmes de faire valoir leurs droits. Leur mobilisation met en lumière les tensions entre les efforts de modernisation du système judiciaire marocain et la nécessité de garantir l'égalité des sexes devant la loi. Cette contestation pourrait bien raviver le débat sur la place des femmes dans le système judiciaire marocain et la nécessité de réformes plus inclusives.
Ces ONG militent pour un accès élargi à l'assistance judiciaire et l'élimination des barrières financières et procédurales qui empêchent les femmes de faire valoir leurs droits. Leur mobilisation met en lumière les tensions entre les efforts de modernisation du système judiciaire marocain et la nécessité de garantir l'égalité des sexes devant la loi. Cette contestation pourrait bien raviver le débat sur la place des femmes dans le système judiciaire marocain et la nécessité de réformes plus inclusives.