Par El Montacir Bensaid
L'âme de Rayane, ce petit ange, les ailes froissées, s'est envolée vers son Créateur.
Pourquoi lui ? Pourquoi maintenant?
Les voies du Seigneur sont impénétrables.
Allahou Akbar!
Son petit corps brisé, desarticulé à été retrouvé au fond de ce puits, de cet abîme de tristesse et de désespoir.
Tout a été fait pour le sauver, tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés .
Des hommes et des femmes, parfois au prix de leur vie, se sont jetées dans le mêlée pour le sauver:
Médecins, forces de l'ordre ,autorités, chauffeurs, ouvriers...
Rayane est parti seul après avoir pendant plusieurs jours soulevé l'immense espoir de le voir survivre à cette
longue agonie.
Je ne cesse de penser à lui, ses parents et ses proches.
Aucun mot, aucun geste ,ne pourraient les consoler.
Que Dieu leur vienne en aide.
Pourtant sa mort n'a pas été vaine .
Peut-être à t il été envoyé puis sacrifié pour que les marocains se redressent avec fierté.
Un Peuple, une Nation, un Roi !
Nous avons, pendant 5 jours prouvé au monde entier que nous sommes solidaires, pleins de compassion.
Que nous ne connaissons qui ségrégation ethnique, ni différences.
Que dans l'urgence, nous sommes capables de déplacer des montagnes, de travailler comme un seul homme la
main dans la main.
Rayane nous a unis au moment où nous étions, nous aussi, dans le gouffre de la pandémie et de nos misérables
problèmes quotidiens.
Rayan a montré au monde entier, que nous prions ensemble, que nous chantons l'hymne national ensemble et
savons nous entraider quand l'un de nous se croit abandonné.
Si Rayane pouvait nous passer un message de la haut, ce serait:
Faites ce que vous avez fait pour moi, tous les jours et dans tous les domaines.
Soyez forts, tolérants, unis travailleurs, mobilisés, engagés, ne laissez pas notre pays sombrer dans le désespoir,
nous avons un grand roi, une grande nation.
Nous avons forcé le respect du monde entier.
Merci Rayane, Allah yerhamek.
Merci d'être venu sur cette terre, merci pour tout ce que tu as fait pour nous
Prions pour toi, dans toutes les langues et toutes les religions.
Pourquoi lui ? Pourquoi maintenant?
Les voies du Seigneur sont impénétrables.
Allahou Akbar!
Son petit corps brisé, desarticulé à été retrouvé au fond de ce puits, de cet abîme de tristesse et de désespoir.
Tout a été fait pour le sauver, tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés .
Des hommes et des femmes, parfois au prix de leur vie, se sont jetées dans le mêlée pour le sauver:
Médecins, forces de l'ordre ,autorités, chauffeurs, ouvriers...
Rayane est parti seul après avoir pendant plusieurs jours soulevé l'immense espoir de le voir survivre à cette
longue agonie.
Je ne cesse de penser à lui, ses parents et ses proches.
Aucun mot, aucun geste ,ne pourraient les consoler.
Que Dieu leur vienne en aide.
Pourtant sa mort n'a pas été vaine .
Peut-être à t il été envoyé puis sacrifié pour que les marocains se redressent avec fierté.
Un Peuple, une Nation, un Roi !
Nous avons, pendant 5 jours prouvé au monde entier que nous sommes solidaires, pleins de compassion.
Que nous ne connaissons qui ségrégation ethnique, ni différences.
Que dans l'urgence, nous sommes capables de déplacer des montagnes, de travailler comme un seul homme la
main dans la main.
Rayane nous a unis au moment où nous étions, nous aussi, dans le gouffre de la pandémie et de nos misérables
problèmes quotidiens.
Rayan a montré au monde entier, que nous prions ensemble, que nous chantons l'hymne national ensemble et
savons nous entraider quand l'un de nous se croit abandonné.
Si Rayane pouvait nous passer un message de la haut, ce serait:
Faites ce que vous avez fait pour moi, tous les jours et dans tous les domaines.
Soyez forts, tolérants, unis travailleurs, mobilisés, engagés, ne laissez pas notre pays sombrer dans le désespoir,
nous avons un grand roi, une grande nation.
Nous avons forcé le respect du monde entier.
Merci Rayane, Allah yerhamek.
Merci d'être venu sur cette terre, merci pour tout ce que tu as fait pour nous
Prions pour toi, dans toutes les langues et toutes les religions.
Par El Montacir Bensaid