Après son élection mercredi en tant que président du Raja de Casablanca par 95 voix, devant Jamal Eddine Khalfaoui (44 voix) et Redouane Rami (17 voix). Il a annoncé que «Le travail commence maintenant et dorénavant il n’y a plus que le Raja». Mahfoud connaît bien les arcanes du Raja vu qu’il était l’ancien secrétaire général du club.
Certes, il arrive à la présidence au moment idéal, compte tenu de l’amélioration de la situation financière du club après les victoires en Coupe de la CAF et Coupe Mohammed VI des clubs ainsi que la vente de Ben Malango et Soufiane Rahimi. Donc nous pouvons dire que Mahfoud a plus de chance que ses prédécesseurs, Rachid El Andaloussi et Jawad Ziat, eux, qui avaient géré la crise et avaient pourtant eu des résultats sportifs probants.
Quant à Mahfoud il arrive dans une période que l’on peut qualifier de «faste», car les caisses du club ne sont pas vides et le nombre de litiges a sensiblement baissé. Ceci dit, les chantiers qui l’attendent sont immenses. Du 1er juillet au 27 octobre 2021, le club casablancais a enregistré 111.240.319,70 DH. Donc Mahfoud a suffisamment de liquidités afin de gérer cette période.
La première mission de Anis Mahfoud c’est de réfléchir à un modèle de développement sain du club. Un modèle qui permettra l’adaptation à l’environnement de crise qui entoure le football national et mondial.
Le nouveau président doit apporter une nouvelle technique de management qui lui permettra de grandir économiquement et sportivement. Il doit développer de nouvelles sources de revenus afin que le Raja ne revive plus de crises financières comme celles de ces dernières années.
Quant à la question du recrutement, cette question a été toujours un véritable casse-tête pour tous les présidents du Raja. Les supporters, qui ne veulent que les victoires, réclament à chaque période de mercato un recrutement XXL digne du standing du Raja. La crise financière en a décidé autrement.
Pour Mahfoud, l’argument de la crise ne trouve pas écho auprès des supporters. Il aura donc la lourde mission de réussir un excellent recrutement sans compromettre l’équilibre financier du club, parce que les recrutements effectués l’été ne trouvent pas grâce auprès des supporters.
Décrié par une grande frange des supporters, malgré ses bons résultats depuis son arrivée à la tête du club. L’entraîneur des Verts, Lassaad Chabbi se retrouve sur la sellette. Le nouveau président a laissé entendre à plusieurs reprises lors de sa campagne électorale qu’il était en contact avec un grand entraîneur pour reprendre le Raja.
Chabbi pourra se séparer du club dans les prochains jours pour deux raisons : la première est que Chabbi est hérité de l’ancien bureau et il faut donc qu’il s’en sépare afin d’amener un entraîneur de son choix. La deuxième raison est qu’il veut séduire le noyau dur des supporters qui réclame la tête du technicien tunisien. Il jugé responsable de la mauvaise qualité de jeu de l’équipe.
A noter que le mercredi 27 octobre, le Raja de Casablanca a donné une leçon de démocratie à l’ensemble des clubs du Royaume. Les adhérents du club ont donné du début des travaux de l’assemblée générale ordinaire (AGO) jusqu’à sa fin, c’est un exemple de civisme et de responsabilité qui en dit long sur la qualité des hommes et des femmes qui composent ce club.
Notons qu’il n’y avait pas d’insultes, comme on avait l’habitude de le voir lors des AGO des autres clubs. Les interventions aussi ont été d’un bon niveau. Les candidats à la présidence ont fait preuve d’un fair-play exemplaire.
Certes, il arrive à la présidence au moment idéal, compte tenu de l’amélioration de la situation financière du club après les victoires en Coupe de la CAF et Coupe Mohammed VI des clubs ainsi que la vente de Ben Malango et Soufiane Rahimi. Donc nous pouvons dire que Mahfoud a plus de chance que ses prédécesseurs, Rachid El Andaloussi et Jawad Ziat, eux, qui avaient géré la crise et avaient pourtant eu des résultats sportifs probants.
Quant à Mahfoud il arrive dans une période que l’on peut qualifier de «faste», car les caisses du club ne sont pas vides et le nombre de litiges a sensiblement baissé. Ceci dit, les chantiers qui l’attendent sont immenses. Du 1er juillet au 27 octobre 2021, le club casablancais a enregistré 111.240.319,70 DH. Donc Mahfoud a suffisamment de liquidités afin de gérer cette période.
La première mission de Anis Mahfoud c’est de réfléchir à un modèle de développement sain du club. Un modèle qui permettra l’adaptation à l’environnement de crise qui entoure le football national et mondial.
Le nouveau président doit apporter une nouvelle technique de management qui lui permettra de grandir économiquement et sportivement. Il doit développer de nouvelles sources de revenus afin que le Raja ne revive plus de crises financières comme celles de ces dernières années.
Quant à la question du recrutement, cette question a été toujours un véritable casse-tête pour tous les présidents du Raja. Les supporters, qui ne veulent que les victoires, réclament à chaque période de mercato un recrutement XXL digne du standing du Raja. La crise financière en a décidé autrement.
Pour Mahfoud, l’argument de la crise ne trouve pas écho auprès des supporters. Il aura donc la lourde mission de réussir un excellent recrutement sans compromettre l’équilibre financier du club, parce que les recrutements effectués l’été ne trouvent pas grâce auprès des supporters.
Décrié par une grande frange des supporters, malgré ses bons résultats depuis son arrivée à la tête du club. L’entraîneur des Verts, Lassaad Chabbi se retrouve sur la sellette. Le nouveau président a laissé entendre à plusieurs reprises lors de sa campagne électorale qu’il était en contact avec un grand entraîneur pour reprendre le Raja.
Chabbi pourra se séparer du club dans les prochains jours pour deux raisons : la première est que Chabbi est hérité de l’ancien bureau et il faut donc qu’il s’en sépare afin d’amener un entraîneur de son choix. La deuxième raison est qu’il veut séduire le noyau dur des supporters qui réclame la tête du technicien tunisien. Il jugé responsable de la mauvaise qualité de jeu de l’équipe.
A noter que le mercredi 27 octobre, le Raja de Casablanca a donné une leçon de démocratie à l’ensemble des clubs du Royaume. Les adhérents du club ont donné du début des travaux de l’assemblée générale ordinaire (AGO) jusqu’à sa fin, c’est un exemple de civisme et de responsabilité qui en dit long sur la qualité des hommes et des femmes qui composent ce club.
Notons qu’il n’y avait pas d’insultes, comme on avait l’habitude de le voir lors des AGO des autres clubs. Les interventions aussi ont été d’un bon niveau. Les candidats à la présidence ont fait preuve d’un fair-play exemplaire.