L’Ambassade d’Italie et l’Institut culturel italien de Rabat, en la personne de sa directrice Carmela Callea, organisent, le 18 mars à 20 h à la Renaissance, en la collaboration de la Fondation Hiba et Poiesis Éditrice, le spectacle théâtral «Dans les voix de la mer perdue» (L'aile qui arrive et l'aile de ceux qui doivent atteindre la rive). Fusionnant voix, piano et danse, ce spectacle théâtral raconte des hommes, des femmes et des enfants fuyant sans terre ni ville, des êtres humains coulés par l'espèce entre les rives de la Méditerranée.
Cette œuvre est occasion pour recomposer son humanité et trouver le mystère inexprimable qui imprègne chaque être humain. Et ce afin de toucher l'idée d'errance et de naufrage de ceux qui sont contraints de quitter leurs terres à la recherche d'un avenir meilleur.
Stefano Battaglia, Giuseppe Goffredo, Elsa Martin et Vincenzo Lapertosa, ensemble, veulent penser, repenser, descendre, redescendre dans la substance poétique et humaine du monde dans une tentative extrême de recomposer l'aile de ceux qui arrivent et l'aile de ceux qui doivent atteindre la rive.
Dans «Les voix de la mer perdue» se rassemblent, ainsi, la poésie de Giuseppe Goffredo et la maîtrise pianistique de Stefano Battaglia auxquelles se lient la voix chantée d'Elsa Martin et la danse de Vincenzo Lapertosa.
Le spectacle raconte l’histoire d’une famille, en fuite d’Aleppo détruite par la guerre, sur une plage isolée de la Libye attendant de partir pour Lampedusa à la recherche d’une nouvelle vie. Pendant la traversée, une violente tempête va s’abattre sur le bateau et la mère verra glisser son enfant avalé par les eaux avec d’autres migrants. Une femme sera sauvée et à l’aube, sur l’autre rive de la Méditerranée, accouchera de Nour (Luce), une petite fille qui annonce la nouvelle vie des naufragés survivants. L’œuvre raconte de manière poétique et humaine, la solitude extrême de celui qui est forcé de laisser sa propre terre à la recherche du pain et des droits humains. Ce spectacle se déroulera en présence de S.E. l’Ambassadeur d'Italie au Royaume du Maroc, Armando Barucco.
Fiche technique
Poésie et voix : Giuseppe Goffredo
Musique et piano : Stefano Battaglia
Chorégraphie et danse : Vincenzo Lapertosa
Musicienne chanteuse : Elsa Martin
Vidéo et scénographie : Ahmad Kaddour
L'ODJ avec arabnews
Cette œuvre est occasion pour recomposer son humanité et trouver le mystère inexprimable qui imprègne chaque être humain. Et ce afin de toucher l'idée d'errance et de naufrage de ceux qui sont contraints de quitter leurs terres à la recherche d'un avenir meilleur.
Stefano Battaglia, Giuseppe Goffredo, Elsa Martin et Vincenzo Lapertosa, ensemble, veulent penser, repenser, descendre, redescendre dans la substance poétique et humaine du monde dans une tentative extrême de recomposer l'aile de ceux qui arrivent et l'aile de ceux qui doivent atteindre la rive.
Dans «Les voix de la mer perdue» se rassemblent, ainsi, la poésie de Giuseppe Goffredo et la maîtrise pianistique de Stefano Battaglia auxquelles se lient la voix chantée d'Elsa Martin et la danse de Vincenzo Lapertosa.
Le spectacle raconte l’histoire d’une famille, en fuite d’Aleppo détruite par la guerre, sur une plage isolée de la Libye attendant de partir pour Lampedusa à la recherche d’une nouvelle vie. Pendant la traversée, une violente tempête va s’abattre sur le bateau et la mère verra glisser son enfant avalé par les eaux avec d’autres migrants. Une femme sera sauvée et à l’aube, sur l’autre rive de la Méditerranée, accouchera de Nour (Luce), une petite fille qui annonce la nouvelle vie des naufragés survivants. L’œuvre raconte de manière poétique et humaine, la solitude extrême de celui qui est forcé de laisser sa propre terre à la recherche du pain et des droits humains. Ce spectacle se déroulera en présence de S.E. l’Ambassadeur d'Italie au Royaume du Maroc, Armando Barucco.
Fiche technique
Poésie et voix : Giuseppe Goffredo
Musique et piano : Stefano Battaglia
Chorégraphie et danse : Vincenzo Lapertosa
Musicienne chanteuse : Elsa Martin
Vidéo et scénographie : Ahmad Kaddour
L'ODJ avec arabnews