Une convention-cadre a été signée, vendredi à Rabat, entre le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et le ministère de la Transition énergétique et du Développement durable dans l'objectif de protéger les sites patrimoniaux géologiques et les échantillons qui y sont prélevés.
La convention a été paraphée par le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohammed Mehdi Bensaid, et la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, en marge de la conférence et l’exposition « Le lion de l’atlas : les échos d’un rugissement millénaire », où ont été présenter pour la première fois les fossiles des lions de l’Atlas qui ont été découvertes dans les sites archéologues marocains tout en mettant en lumière l’histoire de ce félin et qui est ancrée dans le temps.
S’exprimant à cette occasion, M. Bensaid a indiqué que cette convention s’inscrit dans le cadre des efforts et de l’intérêt grandissant pour le patrimoine, qui doivent être accompagnés de mesures institutionnelles visant à structurer ce domaine et à préserver davantage cet héritage. Cette convention permet donc de contrer le trafic illicite et de créer des centres d’interprétation du patrimoine afin de rapprocher le grand public de cette science inépuisable, a-t-il relevé.
L’accroissement des compétences et la richesse des ressources patrimoniales relative à l’humain ou à la faune et la flore, font du Maroc un terrain fertile pour davantage de découvertes et de volonté de compréhension des ères d’antan, car, comme dit l’adage « comprendre son passé, c’est mieux appréhender son futur », a-t-il souligné. À cette occasion, le ministre a salué les efforts des chercheurs marocains de l’Institut National des Sciences de l’Archéologie et du Patrimoine, pour la cristallisation de la forte coopération internationale qui s’est inscrite dans ce domaine de grande importance.
« Les ossements qui se trouvent en face de nous, découverts dans la grotte de Bizmoune, étaient jadis, des lions qui jonchaient les forêts marocaines, de Tétouan à Essaouira, déterminés à garder leurs traces et à marquer leur territoire d’origine dans tous les recoins du Royaume », a-t-il dit. Et d’ajouter que ces trouvailles sont dune grande valeur scientifique et patrimoniale. Elles révèlent tout d'abord l' ancienneté de la présence des Lions de l’Atlas sur ses terres, mais également une évolution sans interruption jusqu’en 1942, date de disparition du dernier lion de l’atlas à l’état sauvage.
Le Maroc est le berceau de plusieurs sites archéologiques dans la valeur universelle est reconnue, plusieurs d’entre eux ont mis en évidence la richesse et la diversité d’une faune qui date de plusieurs milliers d’années.
Parmi les fossiles découverts figurent ceux des lions et sont permis de retracer l’histoire de ce félin depuis plus de 2 millions d’années, lit-on dans l’argumentaire de cette conférence et exposition organisées par le ministère de la Jeunesse et de la Culture au Jardin zoologique de Rabat.
L'ODJ avec Hespress
La convention a été paraphée par le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohammed Mehdi Bensaid, et la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, en marge de la conférence et l’exposition « Le lion de l’atlas : les échos d’un rugissement millénaire », où ont été présenter pour la première fois les fossiles des lions de l’Atlas qui ont été découvertes dans les sites archéologues marocains tout en mettant en lumière l’histoire de ce félin et qui est ancrée dans le temps.
S’exprimant à cette occasion, M. Bensaid a indiqué que cette convention s’inscrit dans le cadre des efforts et de l’intérêt grandissant pour le patrimoine, qui doivent être accompagnés de mesures institutionnelles visant à structurer ce domaine et à préserver davantage cet héritage. Cette convention permet donc de contrer le trafic illicite et de créer des centres d’interprétation du patrimoine afin de rapprocher le grand public de cette science inépuisable, a-t-il relevé.
L’accroissement des compétences et la richesse des ressources patrimoniales relative à l’humain ou à la faune et la flore, font du Maroc un terrain fertile pour davantage de découvertes et de volonté de compréhension des ères d’antan, car, comme dit l’adage « comprendre son passé, c’est mieux appréhender son futur », a-t-il souligné. À cette occasion, le ministre a salué les efforts des chercheurs marocains de l’Institut National des Sciences de l’Archéologie et du Patrimoine, pour la cristallisation de la forte coopération internationale qui s’est inscrite dans ce domaine de grande importance.
« Les ossements qui se trouvent en face de nous, découverts dans la grotte de Bizmoune, étaient jadis, des lions qui jonchaient les forêts marocaines, de Tétouan à Essaouira, déterminés à garder leurs traces et à marquer leur territoire d’origine dans tous les recoins du Royaume », a-t-il dit. Et d’ajouter que ces trouvailles sont dune grande valeur scientifique et patrimoniale. Elles révèlent tout d'abord l' ancienneté de la présence des Lions de l’Atlas sur ses terres, mais également une évolution sans interruption jusqu’en 1942, date de disparition du dernier lion de l’atlas à l’état sauvage.
Le Maroc est le berceau de plusieurs sites archéologiques dans la valeur universelle est reconnue, plusieurs d’entre eux ont mis en évidence la richesse et la diversité d’une faune qui date de plusieurs milliers d’années.
Parmi les fossiles découverts figurent ceux des lions et sont permis de retracer l’histoire de ce félin depuis plus de 2 millions d’années, lit-on dans l’argumentaire de cette conférence et exposition organisées par le ministère de la Jeunesse et de la Culture au Jardin zoologique de Rabat.
L'ODJ avec Hespress