Les protestataires ont vivement critiqué le remplacement des arbres existants par des palmiers ou d’autres végétaux moins volumineux. Ils ont exprimé leur préoccupation concernant la réduction des arbres à leur forme minimale, ce qui prive les villes de leur couverture végétale naturelle ainsi que des nombreux avantages écologiques associés aux arbres.
Selon les activistes, cette tendance à la « palmisation » nuit à la biodiversité urbaine et compromet la qualité de vie des habitants. Les militants ont appelé à une gestion plus écologique des espaces verts, demandant une réglementation plus stricte sur l'élagage et l'entretien des arbres. Ils ont plaidé pour l'élaboration de plans d’aménagement paysager adaptés aux spécificités bioclimatiques de chaque ville marocaine, afin de préserver et enrichir le patrimoine arboré de manière durable et respectueuse de l'environnement.
Selon les activistes, cette tendance à la « palmisation » nuit à la biodiversité urbaine et compromet la qualité de vie des habitants. Les militants ont appelé à une gestion plus écologique des espaces verts, demandant une réglementation plus stricte sur l'élagage et l'entretien des arbres. Ils ont plaidé pour l'élaboration de plans d’aménagement paysager adaptés aux spécificités bioclimatiques de chaque ville marocaine, afin de préserver et enrichir le patrimoine arboré de manière durable et respectueuse de l'environnement.
Avec cette première « marche de l’arbre », Maroc Environnement 2050 vise à sensibiliser le public et les décideurs à l’importance de maintenir des espaces verts diversifiés et durables dans les villes marocaines. Les organisateurs espèrent que cet événement marquera le début d'une série de mobilisations pour protéger et améliorer l'environnement urbain au Maroc, en promouvant des pratiques de gestion des espaces verts qui profitent aux écosystèmes et aux communautés locales.