Face au stress hydrique croissant, le Maroc étudie la possibilité d'alimenter en eau non conventionnelle plusieurs zones, notamment la région de Fès-Meknès. Le ministère de l'Eau mène des études pour déterminer la faisabilité technique et financière de l’utilisation de l’eau dessalée. Avec une nappe phréatique de plus en plus fragilisée par les aléas climatiques, cette option semble cruciale pour sécuriser les besoins en eau potable, industrielle et touristique de la région.
Cette approche s’inscrit dans une stratégie nationale de gestion durable des ressources hydriques, où le dessalement de l’eau pourrait devenir une alternative viable face aux faibles précipitations et à la variabilité climatique. Sur le plan économique, ces projets représentent un investissement majeur, qui pourrait également ouvrir la voie à des partenariats publics-privés pour financer ces infrastructures.
Cette approche s’inscrit dans une stratégie nationale de gestion durable des ressources hydriques, où le dessalement de l’eau pourrait devenir une alternative viable face aux faibles précipitations et à la variabilité climatique. Sur le plan économique, ces projets représentent un investissement majeur, qui pourrait également ouvrir la voie à des partenariats publics-privés pour financer ces infrastructures.