Par Mohammed Yassir Mouline
La différence entre le Maroc et l'Algérie est que le royaume est clair dans ses alliances et ferme dans ses positions, il ne se cache pas derrière des slogans creux. Mais ceux qui trafiquent la cause palestinienne pour des fins de propagande, voilà qu'ils envoient des navires chargés de marchandises au même "ennemi" qu'ils attaquent dans les médias… Deux poids, deux mesures ne fait pas avancer une cause... et les faits éteignent les slogans…
Les Algériens qui ont fait beaucoup de bruit avec des accusations infondées contre le Maroc à propos d'un "navire israélien" qui n'a jamais accosté dans les ports du royaume... Où êtes-vous maintenant ? Les militaires ont transformé Israël en partenaire stratégique dans l'ombre, tandis qu'ils distribuent des rôles de "résistants" sur les plateformes médiatiques pour que le peuple reste immergé dans les illusions du "combat"…
En cette époque de marchandage bon marché sur la cause palestinienne, le régime algérien sombre à nouveau dans un scandale retentissant qui révèle l'ampleur de l'hypocrisie politique et de la dualité morale qui caractérise son comportement.
Le navire de charge "Captain Christos", dont la dernière escale était le port de Béjaïa en Algérie le 11 avril, est apparu ensuite en train d'accoster directement au port israélien d'Ashdod le 18 avril !
Qu'est-ce que le navire MSC Patricia V transporte du port d'Alger au port d'Ashdod en Israël ? Continuez-vous à répéter des mensonges ou est-ce que la "patriotique sélective" s'effondre lorsque les faits sont révélés ?
Qu'est-ce que ce navire a transporté d'Algérie vers Israël ? Qu'ils disent la vérité à l'opinion publique ! Quelle hypocrisie est-ce là ? Quelle trahison du discours que le régime a toujours brandi sur les tribunes internationales ?
En public, le régime algérien ne cesse de crier des slogans de "soutien à la Palestine" et de "lutte contre la normalisation", tandis qu'en secret, c'est le contraire qui se produit et les ports algériens voient des navires partir vers les ports israéliens !
Dans les médias officiels algériens, les expressions de "trahison" et de "normalisation" sont prêtes à condamner les peuples et les pays… Ce qui est arrivé au navire "Captain Christos" révèle sans aucun doute que le discours de l'armée algérienne est une chose, et ses pratiques en sont une autre totalement différente.
Les Algériens qui ont fait beaucoup de bruit avec des accusations infondées contre le Maroc à propos d'un "navire israélien" qui n'a jamais accosté dans les ports du royaume... Où êtes-vous maintenant ? Les militaires ont transformé Israël en partenaire stratégique dans l'ombre, tandis qu'ils distribuent des rôles de "résistants" sur les plateformes médiatiques pour que le peuple reste immergé dans les illusions du "combat"…
En cette époque de marchandage bon marché sur la cause palestinienne, le régime algérien sombre à nouveau dans un scandale retentissant qui révèle l'ampleur de l'hypocrisie politique et de la dualité morale qui caractérise son comportement.
Le navire de charge "Captain Christos", dont la dernière escale était le port de Béjaïa en Algérie le 11 avril, est apparu ensuite en train d'accoster directement au port israélien d'Ashdod le 18 avril !
Qu'est-ce que le navire MSC Patricia V transporte du port d'Alger au port d'Ashdod en Israël ? Continuez-vous à répéter des mensonges ou est-ce que la "patriotique sélective" s'effondre lorsque les faits sont révélés ?
Qu'est-ce que ce navire a transporté d'Algérie vers Israël ? Qu'ils disent la vérité à l'opinion publique ! Quelle hypocrisie est-ce là ? Quelle trahison du discours que le régime a toujours brandi sur les tribunes internationales ?
En public, le régime algérien ne cesse de crier des slogans de "soutien à la Palestine" et de "lutte contre la normalisation", tandis qu'en secret, c'est le contraire qui se produit et les ports algériens voient des navires partir vers les ports israéliens !
Dans les médias officiels algériens, les expressions de "trahison" et de "normalisation" sont prêtes à condamner les peuples et les pays… Ce qui est arrivé au navire "Captain Christos" révèle sans aucun doute que le discours de l'armée algérienne est une chose, et ses pratiques en sont une autre totalement différente.
Un navire de charge israélien révèle l'essor des échanges commerciaux entre Tel-Aviv et l'Algérie...
Le navire de charge "Captain Christos", qui a accosté au port de Béjaïa en Algérie le 11 avril 2025 avant d'apparaître plus tard au port israélien d'Ashdod le 18 du même mois, a suscité une vive controverse sur les réseaux sociaux, avec des questions pointues sur les motivations du voyage, sa cargaison et si cela reflète un changement dans la politique d'ouverture économique ou une contradiction avec le discours officiel de l'État algérien.
Les informations disponibles proviennent de sites de suivi du trafic maritime international, qui ont montré la route maritime du navire. Cette route a suscité de nombreuses interrogations parmi les observateurs, notamment compte tenu de la position officielle algérienne qui "affirme son rejet catégorique de toute normalisation avec Israël" et affiche son soutien indéfectible à la cause palestinienne.
L'incident a ravivé les accusations de "dualité politique" portées contre le régime algérien, qui adopte un discours hostile à la normalisation dans les forums internationaux, tandis que certaines formes de relations commerciales se poursuivent en secret, selon des militants.
En revanche, aucune clarification officielle n'a été émise à ce jour par les autorités algériennes sur le voyage ou la nature des marchandises transportées, ce qui a exacerbé les critiques, notamment en raison du manque de transparence sur les transactions commerciales qui transitent par les ports nationaux.
Certains militants algériens ont exigé des autorités une clarification urgente pour l'opinion publique sur la question de savoir si ce voyage faisait partie d'accords de transport maritime mondial ou s'il s'agissait de transactions directes entre des institutions algériennes et israéliennes. Ils ont également appelé à une enquête pour déterminer les responsabilités et clarifier si ce qui s'est passé constitue une violation de la politique officielle qui refuse toute normalisation économique ou diplomatique avec Israël.
Le régime algérien dévoile son vrai visage...
Alors que les "généraux d'Alger" prononcent des discours qui rappellent l'époque des "révolutions passées", le navire "Capitaine Christos" enlève le masque en accostant directement au port israélien d'Ashdod, comme si l'armée avait décidé de transformer la "diplomatie de résistance" en marchandise vendue sur le marché de la politique !
N'est-ce pas une contradiction flagrante que l'État brandisse des slogans de "solidarité avec la Palestine" tandis que ses entreprises - contrôlées par les services de sécurité - signent des contrats avec "l'armée d'occupation" sous couvert de discours révolutionnaires ?
Comment les militaires algériens expliquent-ils l'exportation de leurs marchandises vers Israël au même moment où ils dénoncent la "course vers la normalisation" ?
Le "Capitaine Christos" n'est-il pas une preuve irréfutable que la "patriotisme" dans leur dictionnaire n'est qu'un prétexte pour détourner l'attention de l'économie parallèle gérée entre les casernes de l'armée et les ports de Tel-Aviv ?
Si la "cause palestinienne est sacrée" comme ils le prétendent, pourquoi sa sainteté est-elle mesurée en fonction du nombre de conteneurs échangés avec l'entité occupante ?
Les informations disponibles proviennent de sites de suivi du trafic maritime international, qui ont montré la route maritime du navire. Cette route a suscité de nombreuses interrogations parmi les observateurs, notamment compte tenu de la position officielle algérienne qui "affirme son rejet catégorique de toute normalisation avec Israël" et affiche son soutien indéfectible à la cause palestinienne.
L'incident a ravivé les accusations de "dualité politique" portées contre le régime algérien, qui adopte un discours hostile à la normalisation dans les forums internationaux, tandis que certaines formes de relations commerciales se poursuivent en secret, selon des militants.
En revanche, aucune clarification officielle n'a été émise à ce jour par les autorités algériennes sur le voyage ou la nature des marchandises transportées, ce qui a exacerbé les critiques, notamment en raison du manque de transparence sur les transactions commerciales qui transitent par les ports nationaux.
Certains militants algériens ont exigé des autorités une clarification urgente pour l'opinion publique sur la question de savoir si ce voyage faisait partie d'accords de transport maritime mondial ou s'il s'agissait de transactions directes entre des institutions algériennes et israéliennes. Ils ont également appelé à une enquête pour déterminer les responsabilités et clarifier si ce qui s'est passé constitue une violation de la politique officielle qui refuse toute normalisation économique ou diplomatique avec Israël.
Le régime algérien dévoile son vrai visage...
Alors que les "généraux d'Alger" prononcent des discours qui rappellent l'époque des "révolutions passées", le navire "Capitaine Christos" enlève le masque en accostant directement au port israélien d'Ashdod, comme si l'armée avait décidé de transformer la "diplomatie de résistance" en marchandise vendue sur le marché de la politique !
N'est-ce pas une contradiction flagrante que l'État brandisse des slogans de "solidarité avec la Palestine" tandis que ses entreprises - contrôlées par les services de sécurité - signent des contrats avec "l'armée d'occupation" sous couvert de discours révolutionnaires ?
Comment les militaires algériens expliquent-ils l'exportation de leurs marchandises vers Israël au même moment où ils dénoncent la "course vers la normalisation" ?
Le "Capitaine Christos" n'est-il pas une preuve irréfutable que la "patriotisme" dans leur dictionnaire n'est qu'un prétexte pour détourner l'attention de l'économie parallèle gérée entre les casernes de l'armée et les ports de Tel-Aviv ?
Si la "cause palestinienne est sacrée" comme ils le prétendent, pourquoi sa sainteté est-elle mesurée en fonction du nombre de conteneurs échangés avec l'entité occupante ?