Par Rachid Boufous
La terre se dérobe, les murs vacillent, se lézardent, avant de s’effondrer.
Le bruit des murs est terrible. Plus on s’approche de l’épicentre et plus la catastrophe est inévitable : le séisme d’une ampleur inédite au Maroc commence à faire ses terribles dégâts.
L’instantanéité de l’internet et des réseaux sociaux permet de suivre, en direct, l’impact du séisme.
Au fil des minutes et des heures, l’ampleur de la catastrophe est immense.
Plusieurs villages dans le Haut Atlas sont rasés par le séisme.
Des existences centenaires, éparpillées dans « l’Adrar N’Dern », nom Amazigh du Haut Atlas, ont cessé d’exister pour toujours…
Le Maroc, une fois de plus, vingt ans après le séisme d’Ait Qamra à Hoceima en 2004, soixante-trois ans après celui d’Agadir en 1960, est une nouvelle fois endeuillé par un tremblement de terre.
Sa Majesté Le Roi veille personnellement à ce que toutes les autorités soient mobilisées pour apporter les secours nécessaires dans les zones atteintes par le séisme.
Les autorités, les forces de secours, les médecins et les associations caritatives sont à pied d’œuvre pour venir en aide aux personnes sinistrées.
Les marocains partout dans toutes les villes se précipitent pour donner leur sang dans les centre de transfusion sanguine.
Du monde entier, parviennent des messages de soutien et de solidarité. Le monde entier veut nous venir en aide.
Pour le moment les autorités et les associations, arrivent à gérer localement les secours.
Beaucoup de pays étrangers rongent leurs freins voulant absolument envoyer leurs secouristes. Nous n’en avons pas besoin pour le moment, les équipes médicales sur place arrivent à gérer le flux de blessés qui arrive dans les hôpitaux de campagne et centres médicaux de la région.
Le Maroc a les moyens de secours qu’il faut et il a une grande expérience dans la gestion des catastrophes naturelles et des séismes.
L’armée, la gendarmerie, la police, les forces auxiliaires, les autorités locales, les élus, le corps médical sont tous mobilisés à travers le Royaume pour venir en aide aux sinistrés.
Le bruit des murs est terrible. Plus on s’approche de l’épicentre et plus la catastrophe est inévitable : le séisme d’une ampleur inédite au Maroc commence à faire ses terribles dégâts.
L’instantanéité de l’internet et des réseaux sociaux permet de suivre, en direct, l’impact du séisme.
Au fil des minutes et des heures, l’ampleur de la catastrophe est immense.
Plusieurs villages dans le Haut Atlas sont rasés par le séisme.
Des existences centenaires, éparpillées dans « l’Adrar N’Dern », nom Amazigh du Haut Atlas, ont cessé d’exister pour toujours…
Le Maroc, une fois de plus, vingt ans après le séisme d’Ait Qamra à Hoceima en 2004, soixante-trois ans après celui d’Agadir en 1960, est une nouvelle fois endeuillé par un tremblement de terre.
Sa Majesté Le Roi veille personnellement à ce que toutes les autorités soient mobilisées pour apporter les secours nécessaires dans les zones atteintes par le séisme.
Les autorités, les forces de secours, les médecins et les associations caritatives sont à pied d’œuvre pour venir en aide aux personnes sinistrées.
Les marocains partout dans toutes les villes se précipitent pour donner leur sang dans les centre de transfusion sanguine.
Du monde entier, parviennent des messages de soutien et de solidarité. Le monde entier veut nous venir en aide.
Pour le moment les autorités et les associations, arrivent à gérer localement les secours.
Beaucoup de pays étrangers rongent leurs freins voulant absolument envoyer leurs secouristes. Nous n’en avons pas besoin pour le moment, les équipes médicales sur place arrivent à gérer le flux de blessés qui arrive dans les hôpitaux de campagne et centres médicaux de la région.
Le Maroc a les moyens de secours qu’il faut et il a une grande expérience dans la gestion des catastrophes naturelles et des séismes.
L’armée, la gendarmerie, la police, les forces auxiliaires, les autorités locales, les élus, le corps médical sont tous mobilisés à travers le Royaume pour venir en aide aux sinistrés.
Si le Maroc a besoin d’aide il le fera savoir aux nations qui se sont proposées et que nous remercions chaleureusement pour leur bonne volonté.
Dans les prochains, jour le gouvernement du Maroc doit déclarer « l’état de catastrophe naturelle », afin d’enclencher le processus d’indemnisation des familles sinistrées, un peu partout, dans le cadre de la Loi 110-14, entrée en vigueur en 2019, à travers le « Fonds de Lutte contre les effets des Catastrophes Naturelles », créé à cet effet.
Les architectes et les ingénieurs prendront le relais après la fin officielle des secours et des déblaiements, pour apporter leur aide à la reconstruction des douars détruits lors du séisme, comme cela fut le cas à Al Hoceima en 2004.
La reconstruction ne se fera peut-être pas sur les mêmes sites, mais doit offrir la sécurité nécessaire aux habitants pour leur vie future.
L’ampleur de la catastrophe a été accentuée par la nature fragile des constructions qui se sont effondrées rapidement sans laisser aucune chance de survie aux habitants.
L’État devra certainement accompagner cette reconstruction, vu que les familles ont tout perdu lors de ce séisme et que la région du sinistre est réputée pour être très pauvre et démunie.
Un compte bancaire de solidarité devra aussi être ouvert par Bank Al Maghrib afin de récolter les dons en argent, qui manqueront pas de venir de partout.
Enfin, les jeunes orphelins en bas âge doivent être déclarés « Pupilles de la Nation » et être pris en charge par l’Etat, comme en temps de guerre, afin de leur assurer un avenir meilleur.
Il y’a lieu aussi d’instaurer une prise charge psychologique et psychiatrique des personnes survivantes, car le choc émotionnel est très fort et ils ont souvent perdu toute leur famille dans le sinistre.
Quant au reste des citoyens marocains, les chaînes de solidarités s’organisent dans tout le pays.
Que Dieu ait en Sa Sainte Miséricorde toutes les victimes de ce terrible drame.
Aujourd’hui plus qu’hier, Aujourd’hui plus qu’à aucune autre époque, Soyons Unis et Solidaires…
Rédigé par Rachid Boufous
Dans les prochains, jour le gouvernement du Maroc doit déclarer « l’état de catastrophe naturelle », afin d’enclencher le processus d’indemnisation des familles sinistrées, un peu partout, dans le cadre de la Loi 110-14, entrée en vigueur en 2019, à travers le « Fonds de Lutte contre les effets des Catastrophes Naturelles », créé à cet effet.
Les architectes et les ingénieurs prendront le relais après la fin officielle des secours et des déblaiements, pour apporter leur aide à la reconstruction des douars détruits lors du séisme, comme cela fut le cas à Al Hoceima en 2004.
La reconstruction ne se fera peut-être pas sur les mêmes sites, mais doit offrir la sécurité nécessaire aux habitants pour leur vie future.
L’ampleur de la catastrophe a été accentuée par la nature fragile des constructions qui se sont effondrées rapidement sans laisser aucune chance de survie aux habitants.
L’État devra certainement accompagner cette reconstruction, vu que les familles ont tout perdu lors de ce séisme et que la région du sinistre est réputée pour être très pauvre et démunie.
Un compte bancaire de solidarité devra aussi être ouvert par Bank Al Maghrib afin de récolter les dons en argent, qui manqueront pas de venir de partout.
Enfin, les jeunes orphelins en bas âge doivent être déclarés « Pupilles de la Nation » et être pris en charge par l’Etat, comme en temps de guerre, afin de leur assurer un avenir meilleur.
Il y’a lieu aussi d’instaurer une prise charge psychologique et psychiatrique des personnes survivantes, car le choc émotionnel est très fort et ils ont souvent perdu toute leur famille dans le sinistre.
Quant au reste des citoyens marocains, les chaînes de solidarités s’organisent dans tout le pays.
Que Dieu ait en Sa Sainte Miséricorde toutes les victimes de ce terrible drame.
Aujourd’hui plus qu’hier, Aujourd’hui plus qu’à aucune autre époque, Soyons Unis et Solidaires…
Rédigé par Rachid Boufous