De la Russie à Israël : les contorsions diplomatiques d’Alge
On pourrait imaginer que la junte militaire algéroise aurait eu une brillante idée à l’aube de l’investiture de Donald Trump : elle se serait empressée de faire des propositions « généreuses » à l’administration américaine. Et quelles propositions ! Si l’on en croit les rumeurs, elle serait prête à se contorsionner dans tous les sens pour séduire Trump.
Un, elle se serait engagée à acheter des armes américaines pour un montant faramineux de 15 milliards de dollars par an. Une contribution charitable, bien sûr, pour maintenir l’industrie militaire américaine en pleine forme.
Deux, dans un élan de solidarité « touchant », elle aurait proposé de verser 500 millions de dollars à l’Ukraine. Évidemment, cela impliquerait de lâcher son précieux allié, la Russie, pourtant remerciée chaleureusement par le président désigné Abdelmadjid Tebboune pour son soutien indéfectible à la sécurité et à la souveraineté de l’Algérie. Mais bon, il faut bien savoir tourner sa veste au bon moment, n’est-ce pas ?
Trois, le régime aurait offert sur un plateau d’argent les officiers du régime Assad réfugiés en Algérie. Comme si cela pouvait être un cadeau de Noël que Trump aurait rêvé de recevoir.
Et alors, tenez-vous bien pour la cerise sur le gâteau : quatre, la junte aurait promis de normaliser ses relations avec Israël. Oui, Israël, ce pays que l’Algérie critique publiquement à longueur de discours. S’engager à cette « trahison stratégique » tout en continuant de soutenir les condamnations de la Cour pénale internationale contre les dirigeants israéliens ? Chapeau bas pour cette schizophrénie diplomatique.
Mais la question qui brûlerait toutes les lèvres serait : qu’aurait demandé Alger en échange de cet alignement spectaculaire ? Ah, rien de moins qu’un doux mirage : que les États-Unis reviennent sur leur reconnaissance de la marocanité du Sahara. Quelle ambition ! Et quelles illusions. Cela aurait déclenché des éclats de rire dans toutes les salles de réunion.
Jamais, dans l’histoire récente, un pays ne se serait montré aussi obséquieux et naïf. Une nation entière serait ainsi tenue en otage par un groupe de généraux terriblement « visionnaires », dictant une politique étrangère à géométrie variable.
Ces révélations, supposément faites par des opposants algériens, auraient jeté une lumière crue sur cette farce géopolitique. Selon eux, ce régime ne vivrait que pour le Polisario, et Tebboune tenterait désespérément de se construire une légitimité sur les ruines d’élections qu’ils décriraient comme une mascarade digne des plus mauvais scénarios de série B.
Les Algériens, fatigués de ce spectacle pathétique, auraient exprimé leur ras-le-bol sur les réseaux sociaux et dans la rue, par des manifestations éclatantes.
Pour détourner l’attention, le régime, fidèle à lui-même, aurait choisi d’alimenter la crise avec son ancienne bienfaitrice, la France, qu’il accuserait d’être derrière tous ses malheurs. Après tout, quoi de mieux qu’un bon vieux complot étranger pour faire taire les contestataires ?
Et pour clore ce chef-d’œuvre de grotesque, un prêcheur illuminé aurait rêvé tout haut de faire de la France la 59ᵉ wilaya de l’Algérie. Le plus drôle ? Il y croirait dur comme fer. Pour lui, la France sans l’Algérie ne serait rien, absolument rien. Avec une telle mentalité, la junte algéroise nous ferait presque regretter les comédies absurdes du cinéma d’antan.
Un, elle se serait engagée à acheter des armes américaines pour un montant faramineux de 15 milliards de dollars par an. Une contribution charitable, bien sûr, pour maintenir l’industrie militaire américaine en pleine forme.
Deux, dans un élan de solidarité « touchant », elle aurait proposé de verser 500 millions de dollars à l’Ukraine. Évidemment, cela impliquerait de lâcher son précieux allié, la Russie, pourtant remerciée chaleureusement par le président désigné Abdelmadjid Tebboune pour son soutien indéfectible à la sécurité et à la souveraineté de l’Algérie. Mais bon, il faut bien savoir tourner sa veste au bon moment, n’est-ce pas ?
Trois, le régime aurait offert sur un plateau d’argent les officiers du régime Assad réfugiés en Algérie. Comme si cela pouvait être un cadeau de Noël que Trump aurait rêvé de recevoir.
Et alors, tenez-vous bien pour la cerise sur le gâteau : quatre, la junte aurait promis de normaliser ses relations avec Israël. Oui, Israël, ce pays que l’Algérie critique publiquement à longueur de discours. S’engager à cette « trahison stratégique » tout en continuant de soutenir les condamnations de la Cour pénale internationale contre les dirigeants israéliens ? Chapeau bas pour cette schizophrénie diplomatique.
Mais la question qui brûlerait toutes les lèvres serait : qu’aurait demandé Alger en échange de cet alignement spectaculaire ? Ah, rien de moins qu’un doux mirage : que les États-Unis reviennent sur leur reconnaissance de la marocanité du Sahara. Quelle ambition ! Et quelles illusions. Cela aurait déclenché des éclats de rire dans toutes les salles de réunion.
Jamais, dans l’histoire récente, un pays ne se serait montré aussi obséquieux et naïf. Une nation entière serait ainsi tenue en otage par un groupe de généraux terriblement « visionnaires », dictant une politique étrangère à géométrie variable.
Ces révélations, supposément faites par des opposants algériens, auraient jeté une lumière crue sur cette farce géopolitique. Selon eux, ce régime ne vivrait que pour le Polisario, et Tebboune tenterait désespérément de se construire une légitimité sur les ruines d’élections qu’ils décriraient comme une mascarade digne des plus mauvais scénarios de série B.
Les Algériens, fatigués de ce spectacle pathétique, auraient exprimé leur ras-le-bol sur les réseaux sociaux et dans la rue, par des manifestations éclatantes.
Pour détourner l’attention, le régime, fidèle à lui-même, aurait choisi d’alimenter la crise avec son ancienne bienfaitrice, la France, qu’il accuserait d’être derrière tous ses malheurs. Après tout, quoi de mieux qu’un bon vieux complot étranger pour faire taire les contestataires ?
Et pour clore ce chef-d’œuvre de grotesque, un prêcheur illuminé aurait rêvé tout haut de faire de la France la 59ᵉ wilaya de l’Algérie. Le plus drôle ? Il y croirait dur comme fer. Pour lui, la France sans l’Algérie ne serait rien, absolument rien. Avec une telle mentalité, la junte algéroise nous ferait presque regretter les comédies absurdes du cinéma d’antan.