Sous le thème évocateur « Quand l’Amour et le Questionnement s’expriment par l’Art », cette exposition met en lumière le talent et la singularité de trois autodidactes, chacun porté par une passion viscérale pour l’art plastique. À travers leurs œuvres, ces artistes explorent des thèmes universels, entre introspection, émotions et quête de sens.
Latifa Benamour : la force de l’expression dans la matière
Latifa Benamour, artiste peintre et art-thérapeute, a trouvé dans la peinture un refuge et une source d’énergie inépuisable. C’est en 1995, alors qu’elle traversait une période difficile, qu’elle s’est tournée vers l’art comme un exutoire. Cette démarche autodidacte l’a conduite à développer une technique singulière, mêlant peinture à l’huile et techniques mixtes, travaillées au couteau. Son style oscille entre figuration et abstraction, avec une prédilection pour les thèmes de la femme, de l’enfant et du père, qu’elle dépeint avec amour et tendresse.
Diplômée de la Faculté de Médecine de Tours et de l’École d’Art de Blois en France, Latifa Benamour a enrichi son parcours artistique par une formation en art-thérapie. Ses œuvres, exposées au Maroc et en France depuis 1997, témoignent d’une sensibilité profonde et d’une maîtrise technique qui invitent à la contemplation et à l’émotion.
Dounia Benamour : une vision cubiste de l’âme marocaine
Originaire de Fès, Dounia Benamour s’inscrit dans un style cubiste empreint de surréalisme. Ses toiles, souvent inspirées par la médina ancestrale de Fès, transportent le spectateur dans un univers où les ruelles labyrinthiques et les portes de la ville spirituelle prennent vie. Selon le critique d’art Daniel Couturier, ses œuvres permettent une exploration imaginative, conjuguant des perspectives limitées et une explosion de couleurs.
Dounia Benamour ne se contente pas de représenter la réalité, elle la transforme en un jeu visuel complexe où chaque élément devient une entité autonome. Avec plus de trente expositions à son actif, elle continue de fasciner par son approche unique, qui mêle tradition marocaine et modernité artistique.
Farid Lakehal : l’art abstrait comme miroir de l’âme
Farid Lakehal, chirurgien-dentiste de profession, a découvert tardivement sa vocation pour la peinture. Inspiré par les mots de Picasso – « L’art est un mensonge qui nous permet de dévoiler la vérité », il s’est lancé dans l’art abstrait il y a deux ans seulement. Pour Lakehal, la peinture est une manière de libérer un vécu enfoui et de donner forme à des émotions profondes.
Son travail se caractérise par une gestuelle spontanée et une recherche constante de sincérité dans l’acte créatif. Bien qu’il prenne occasionnellement des cours auprès d’artistes confirmés, Lakehal reste fidèle à une approche intuitive, où chaque coup de pinceau reflète une part de son histoire personnelle.
Une exposition à ne pas manquer
Cette exposition au Centre Culturel d’Anfa est bien plus qu’un simple événement artistique. Elle est une célébration de l’amour, du questionnement et de l’expression individuelle. Les trois artistes, chacun avec son parcours et sa vision, offrent au public une expérience immersive, où l’art devient un langage universel, capable de transcender les frontières et les différences.
Latifa Benamour : la force de l’expression dans la matière
Latifa Benamour, artiste peintre et art-thérapeute, a trouvé dans la peinture un refuge et une source d’énergie inépuisable. C’est en 1995, alors qu’elle traversait une période difficile, qu’elle s’est tournée vers l’art comme un exutoire. Cette démarche autodidacte l’a conduite à développer une technique singulière, mêlant peinture à l’huile et techniques mixtes, travaillées au couteau. Son style oscille entre figuration et abstraction, avec une prédilection pour les thèmes de la femme, de l’enfant et du père, qu’elle dépeint avec amour et tendresse.
Diplômée de la Faculté de Médecine de Tours et de l’École d’Art de Blois en France, Latifa Benamour a enrichi son parcours artistique par une formation en art-thérapie. Ses œuvres, exposées au Maroc et en France depuis 1997, témoignent d’une sensibilité profonde et d’une maîtrise technique qui invitent à la contemplation et à l’émotion.
Dounia Benamour : une vision cubiste de l’âme marocaine
Originaire de Fès, Dounia Benamour s’inscrit dans un style cubiste empreint de surréalisme. Ses toiles, souvent inspirées par la médina ancestrale de Fès, transportent le spectateur dans un univers où les ruelles labyrinthiques et les portes de la ville spirituelle prennent vie. Selon le critique d’art Daniel Couturier, ses œuvres permettent une exploration imaginative, conjuguant des perspectives limitées et une explosion de couleurs.
Dounia Benamour ne se contente pas de représenter la réalité, elle la transforme en un jeu visuel complexe où chaque élément devient une entité autonome. Avec plus de trente expositions à son actif, elle continue de fasciner par son approche unique, qui mêle tradition marocaine et modernité artistique.
Farid Lakehal : l’art abstrait comme miroir de l’âme
Farid Lakehal, chirurgien-dentiste de profession, a découvert tardivement sa vocation pour la peinture. Inspiré par les mots de Picasso – « L’art est un mensonge qui nous permet de dévoiler la vérité », il s’est lancé dans l’art abstrait il y a deux ans seulement. Pour Lakehal, la peinture est une manière de libérer un vécu enfoui et de donner forme à des émotions profondes.
Son travail se caractérise par une gestuelle spontanée et une recherche constante de sincérité dans l’acte créatif. Bien qu’il prenne occasionnellement des cours auprès d’artistes confirmés, Lakehal reste fidèle à une approche intuitive, où chaque coup de pinceau reflète une part de son histoire personnelle.
Une exposition à ne pas manquer
Cette exposition au Centre Culturel d’Anfa est bien plus qu’un simple événement artistique. Elle est une célébration de l’amour, du questionnement et de l’expression individuelle. Les trois artistes, chacun avec son parcours et sa vision, offrent au public une expérience immersive, où l’art devient un langage universel, capable de transcender les frontières et les différences.